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    Hemiasteridae 
    Clark, 1917, p.59 
    
    Genre type : Hemiaster
    Ag. in 
    Ag. & Desor, 1847, p.16 
    
    Description succinte de la famille : Ambulacres 
    pétaloïdes. Appareil apical ethmophracte. Présence du seul fasciole 
    péripétale. 
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    Genre  
    
    Hemiaster
    
    
    
     Ag.
    in Ag. & Desor, 1847 
    Catalogue raisonné des 
    espèces, des genres et des familles d'échinides 
    Espèce type
     Spatangus bufo
    Brongniart in
    Cuvier, 1822
     
    Description géologique 
    des environs de Paris, p.84 (désignation subséquente de
    Savin, 1903, p.22) 
    Extension 
    stratigraphique (bibliographique, 
    non vérifiée) : Albien - 
    Crétacé supérieur 
    Syn. 
    
     
      - 
    
    Leucaster
    Gauthier, 1887, 
    p.242 ; espèce type : Leucaster remenensis 
    Gauthier,1887, p.213 ; synonyme subjectif plus récent. (= 1ère 
    section de Lambert & Thierry "Hemiaster 
    typiques")  
      - 
    
    Peroniaster
    Gauthier, 1887, p.245 ; espèce 
    type : Peroniaster cottteaui 
    Gauthier,1887, p.246 ; synonyme subjectif plus récent.  
      - 
    
    Integraster
    Lambert & Thierry,1924, 
    p.504 ; espèce type : Hemiaster ligeriensis 
    d'Orb.,1853 ; synonyme subjectif plus récent. (=5ème section de
    Lambert & Thierry).  
     
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    | 
    diagnose originale du 
    genre par Agassiz | 
  
  
    | 
    Catalogue raisonné des 
    espèces, des genres et des familles d'échinides, p.16 | 
  
  
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          lxxx. 
          HEMIASTER 
          Desor. 
          (Pl. 16 [tome VI], fig. 7.) 
               Oursins 
          de petite taille, renflés. Sommet ambulacraire excentrique en arrière. 
          Ambulacres situés dans des sillons évasés et peu profonds ; les 
          postérieurs sensiblement plus courts que les antérieurs. Fasciole 
          péripétale anguleux entourant l'étoile ambulacraire. Point de fasciole 
          sous-anal. Diffère du genre Micraster par sa forme plus renflée 
          et par son fasciole péripétale, et du genre Brissopsis par ses 
          ambulacres plus inégaux et par l'absence d'un fasciole sous-anal. 
          Toutes les espèces sont de la craie et du terrain nummulitique.  | 
         
       
      
     
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    | 
    diagnose originale du 
    genre par Desor, 1858 | 
  
  
    | 
    Synopsis des échinides 
    fossiles, p.371 | 
  
  
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          angustipneustes Desor. Syn. Hemiaster Stella d'Orb. (non 
          Desor) Paléont. franç. Echin. p. 245. Tab. DCCCLXXXII. Oursin du type 
          de l'H. Prunella mais plus déprimé. Ambulacres pairs 
          excessivement grêles, droits, les antérieurs seulement d'un quart plus 
          longs que les postérieurs. Tubercules scrobiculés. Fasciole très 
          ample, de forme uvale, sans coude sensible. 
     Craie blanche de Tours, Villedieu (Loir et Cher) 
          environs de Périgueux. 
     Coll. d'Orbigny, d'Archiac. 
               
          NOTA. Nous pensons que 
          c'est à tort que d'Orbigny identifie cet oursin avec l'espèce 
          américaine.   | 
         
       
      
     
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          Hemiaster 
          angustipneustes
          Desor,1858 - 
          Santonien inférieur, Craie de Villedieu, Sarthe, 16 mm  | 
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        Hemiaster aragonensis
        Lambert,1910  | 
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    | 
    diagnose originale de 
    l'espèce par Lambert,1910 | 
  
  
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    Note sur quelques 
    échinides recueillis par M. Dalloni dans les Pyrénées de l'Aragon, p. | 
  
  
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          Hemiaster aragonensis 
          Lambert n. sp. 
          Pl. XV, fig. 
          6-7. 
               
          Assez grande espèce, mesurant 43 mm. de longueur, sur 40 de largeur et 
          30 de hauteur, subpolygonale, à sillon antérieur très atténué et 
          obliquement tronquée en arrière. Face supérieure renflée, déclive en 
          avant et ayant sa plus grande hauteur au-dessus du périprocte. Face 
          inférieure à contours arrondis, et péristome semilunaire, excentrique 
          en avant, sans saillie du labrum. Face postérieure oblique, à 
          périprocte ovale, très haut, apex excentrique en avant, à quatre pores 
          génitaux et madréporide ne séparant pas les génitales postérieures. 
          Pétale impair étroit, composé de très petits pores ronds séparés par 
          un granule et disposés par paires très espacées ; pétales pairs 
          inégaux, les antérieurs flexueux, comprenant 30 paires de pores dont 
          les périapicaux atrophiés dans la branche d'avant ; pétales 
          postérieurs plus courts et moins divergents, avec 21 paires de pores ; 
          zones porifères assez larges, à pores allongés, égaux  ; zones 
          interporifères de même largeur, presque lisse, avec granules épars. 
          Tubercules scrobicules épars, plus gros et plus serrés sur le plastron 
          ; granules intermédiaires très fins, assez espacés. Fasciole 
          péripétale régulièrement ovale, non sinueux, assez large surtout aux 
          extrémités des pétales pairs. 
               
          Cette espèce présente une vague analogie avec H. Toucasi d'Orbigny, 
          dont les pétales pairs sont plus développés (à taille égale 39 paires 
          de pores au lieu de 30), dont les pores de l'ambulacre impair sont 
          plus serrés, différemment disposés et qui est moins arrondi en 
          arrière, en dessous plus plat, avec péristome plus rapproché du bord.
          H. Baroni Fallot 
          n'a ni les pétales, ni le fasciole 
            | 
            | 
          
           arrondi de 
          notre espèce. La disposition de l'ambulacre impair du H. 
          aragonensis, déjà visible chez H. bufo
          Brongniart (Spatangus) 
          se retrouve chez mon H. icaunensis, à apex subcentral, pétales 
          plus étroits, à branches plus inégales, mais ne se rencontre chez 
          aucune des nombreuses espèces algériennes figurées par Gauthier. 
               
          Un individu de cette espèce provient de la localité de Inglada ; les 
          autres sont de Sopeira. 
          
          Pl. XV (extrait) 
          
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          Hemiaster aragonensis
          Lambert,1910 - 
          Cénomanien, Aragon, Espagne, 45 mm  | 
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        Hemiaster 
          arnaudi
          Cotteau,1883  | 
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    | 
    diagnose originale de 
    l'espèce par Cotteau | 
  
  
    | 
    Echinides jurasiques, 
    crétacés et tertiaires du sud-ouest de la France, 1883 | 
  
  
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          | 
           N° 212. 
          Hemiaster arnaudi, Cotteau, 1883. 
          Pl. X, fig. 
          6-8. 
               
          Espèce de taille moyenne, sub-cordiforme, aussi large que longue, 
          arrondie et légèrement échancrée en avant, sub-acuminée en arrière, 
          ayant sa plus grande largeur au milieu de sa longueur ; face 
          supérieure haute, renflée, presque partout d'égale épaisseur ; face 
          postérieure sub-tronquée. Sommet apical sub-central, un peu rejeté en 
          arrière. Sillon antérieur médiocrement creusé, très large, s'atténuant 
          vers l'ambitus. Aire ambulacraire impaire droite, formée de pores 
          petits, simples, séparés par un renflement granuliforme, disposés par 
          paires obliques et d'autant plus espacées qu'elles s'éloignent du 
          sommet. Aires ambulacraires paires fortement creusées, larges, 
          sub-flexueuses, arrondies à leur extrémité, inégales, les postérieures 
          plus courtes que les autres. Zones porifères formées de pores 
          allongés, étroits, séparés par des bandes granuleuses. Chaque zone 
          porifère est plus développée que la zone qui la sépare. Aires 
          interambulacraires saillantes et resserrées aux approches du sommet. 
          Tubercules de petite taille, espacés, épars, plus ou moins abondants ; 
          les plus gros se trouvent sur le bord du sillon antérieur et dans la 
          région infra marginale. Péristome inconnu. Périprocte ovale, situé au 
          sommet de la face postérieure. Fasciole assez large, peu flexueux. 
              
          Rapports et différences. 
          - Nous ne connaissons qu'un seul exemplaire de cette espèce ; il nous 
          a paru se distinguer nettement de ses congénères par sa forme générale 
          haute, renflée, partout d'égale épaisseur, par sa face postérieure
           
           | 
            | 
          
           tronquée 
          verticalement, par la largeur de son sillon antérieur, par ses aires 
          ambulacraires paires bien développées et fortement excavées, par ses 
          aires interambulacraires aiguës et saillantes vers le sommet. 
              
          Localité. - Piédemont 
          (Charente inférieure). Très rare. Cénomanien. 
               
          Collection Arnaud. 
              
          Explication des figures. 
          - Planche XI, fig. 6, Hemiaster arnaudi, vu de côté ; fig. 7, 
          face supérieure ; fig. 8, aire ambulacraire paire antérieure, grossie. 
          
          Pl. XI (extrait) 
          
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    | 
        paratype, conservé 
        au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris 
     | 
  
  
    | 
        figuré in
        cOTTEAU, 1883, 
        
        Echinides jurassiques, crétacés et éocènes du Sud-Ouest de la France, 
        p.172 | 
  
  
    | 
     
        figuré in
    Devries, 1973,Suite 
    aux échinides d'Algérie, p.75  | 
  
  
    | 
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          Hemiaster 
          arnaudi
          Cotteau,1883 - 
          Cénomanien, Charente maritime, 34 mm  | 
            | 
         
       
      
     
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          Hemiaster batalleri 
        Lambert, 1933  | 
            | 
         
       
      
     
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    | 
    diagnose originale de 
    l'espèce par Lambert | 
  
  
    | 
    Supplément à la 
    révision des échinides fossiles de la Catalogne, 1933, p.187 | 
  
  
    | 
      | 
  
  
    
    
      
      
        
          | 
            
          Hemiaster Batalleri, Lambert 
          (nov. spec.) 
          Pl. 1, fig. 14 à 16 
               
          Petite espèce du  Maestrichtien de Falgars, Barcelona (N.°7851), 
          représentée par quelques individus dont aucun ne permet de reconnaître 
          les fascioles en raison de leur état fruste et un peu mutilé à 
          l'extrémité du plastron. Sa position générique reste donc incertaine 
          et elle est provisoirement rapportée au genre Hemiaster. 
               
          Test mesurant 22 mill. de longueur, sur 21 de largeur et 15 de hauteur, 
          ovale, sans sillon antérieur, arrondi en avant, un peu rétréci et 
          subtronqué en arrière. Face inférieure presque plane avec péristome 
          excentrique en avant, transverse et faiblement labié. Face supérieure 
          acuminée et verticalement tronquée en arrière, ayant son sommet sur la 
          carène postérieure un peu en arrière de l'apex ; ce dernier légèrement 
          excentrique en avant montre quatre pores génitaux rapprochés, le 
          madréporide ne séparant pas les génitales postérieures. Pétales 
          courts, déprimés, dans des sillons assez larges ; l'impair plus étroit 
          est composé de petits pores ronds séparés par un granule ; les pairs 
          sont formés de pores inégaux, les externes allongés, conjugués ; zone 
          interporifère aussi large que l'une des zones porifères, d'apparence 
          lisse, mais très finement granuleuse ; les pétales latéraux à peine 
          plus longs que les postérieurs. Tubercules scrobiculés un peu plus 
          gros à la face orale, petits, épars en dessus dans une fine 
          granulation miliaire ; zones périplastronales paraissant lisses. 
           | 
            | 
          
           
               Malgré 
          l'incertitude de sa position générique, nous faisons connaître cette 
          espèce, parce qu'elle ne saurait à notre avis être confondue avec 
          aucune autre. Nous avions pensé en faire un Isopneustes, mais 
          le type des Isopneustes, sans sillon ni fascioles, serait 
          pourvu d'un pétale impair à peu près semblable aux autres. Notre 
          nouvelle espèce n'est donc pas un Isopneustes et ce n'est pas 
          davantage soit un Micraster prymnodesme et pourvu d'un sillon 
          antérieur, soit un Cyclaster à apex avec trois pores génitaux 
          et fasciole semipéripétale. Dans ces conditions et ne voulant pas 
          créer encore un genre nouveau dont certains caractères n'auraient pu 
          être précisés, j'ai cru devoir, au moins provisoirement, rattacher 
          l'espèce de Falgars au genre Hemiaster, car on ne peut la 
          rapprocher du Cyclaster lucenitnus Cotteau de l'Eocène pour en 
          faire un Adelaster, en raison de sa forme générale, de celle de 
          son péristome et de son périprocte ne paraissant pas transverse. 
          
          planche I [IV] 
          (extrait) 
          
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          Hemiaster batalleri 
          Lambert, 1933 - 
          "Sénonien", Espagne, 17 mm  | 
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          Hemiaster batalleri 
          Lambert, 1933 - Sénonien, Sierra de Montsec, Lérida, Espagne, 
          24 mm  | 
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          Hemiaster bexari 
          Clark,1915  | 
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    | 
    diagnose originale de 
    l'espèce par Clark, in Clark & Twitchell,1915 | 
  
  
    | 
    The Mesozoic and 
    Cenozoic Echinodermata of the United States, p.89 | 
  
  
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          Hemiaster bexari Clark, 
          n. sp. 
          Plate XLVI, 
          figures 1 a-e. 
              
          Determinative characters.—Test small, upper surface nearly 
          flat, elevated, lower surface rounded ; sides inflated ; apex nearly 
          central, posterolateral ambulacra very short, interambulacra prominent. 
          Peristome small, only slightly clepressed, near anterior margin. 
          Periproct small, situated high on truncated surface of posterior 
          margin. 
              
          Dimensions.—Length 22.5 millimeters; width 21.25 millimeters; 
          height 15.5 millimeters. 
              
          Description.—This small species has a broad, nearly flat upper 
          surface, rising toward the center, which is slightly elevated. The 
          lower surface is rounded, sloping from near the center in all 
          directions. The sides are inflated. 
               
          The ambulacra are unequal, the posterolateral pair being very short. 
          The poriferous zones are broad and shallow and but little depressed. 
          The anterior ambulacrum is broad and shallow. The surface is coverecl 
          with small tubercles. The peripetalous fasciole is distinct.  | 
            | 
          
                
          The peristome is small, only slightly depressed, and near the anterior 
          margin. The periproct is small and situated high on the truncated 
          surface of the posterior margin. Locality.—Bexar County, Tex. 
              
          Geologic horizon.—Washita group of the Comanche series, 
          Cretaceous. 
              
          Collection.—U. S. National Museum (8330). 
          
          Pl. XLVI (extrait) 
          
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    | 
        Holotype, conservé 
        au Smithsonian National Museum of Natural History | 
  
  
    | 
        figuré in
        Clark in 
        Clark & Twitchell, 1855,   Mesozoic and 
    Cenozoic Echinodermata of the United States, p.89 | 
  
  
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          Hemiaster bexari Clark,1915
          - Bexcar county, Texas, USA, Maastrichtien, 19 mm  | 
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          Hemiaster bexari Clark,1915
          - Maastrichtien, Corsicana formation, Bexar county, Texas, USA, 
          22 mm  | 
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        Hemiaster bufo
          (Brongniart,1822)  | 
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    | 
    diagnose originale de 
    l'espèce par Brongniart | 
  
  
    | 
    Description géologique 
    des environs de Paris, 1822 | 
  
  
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           Fig. 
          4, A, B, C. Spatangus Bufo,
          A. Br.  .  .  
          .  .  .  .  .  .  .  .  (Pag. 
          84.) 
               
          Il est presque globuleux, sans gouttière antérieure, ayant les 
          ambulacres courts et enfoncés, l'anus très-relevé dans une face 
          marginale large. On pourroit présumer que cette espèce soit la même 
          que le Sp. Prunella, 
          Lamarck ; mais ni la phrase extrêmement brève qui la désigne, 
          ni la figure très-imparfaite, n°. 2, pl. XXX, de l'ouvrage de Faujas 
          sur la montagne de Saint-Pierre, près Maestricht, ni la figure encore 
          plus imparfaite de l'Encyclopédie méthodique, pl. CLVIII, fig. 3-6, 
          que M. de Lamarck cite, ne peuvent suffire pour établir cette 
          identité. 
           | 
            | 
          
           
          Pl. V (extrait) 
          
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      | 
  
  
    | 
    description de 
    l'espèce par d'Orbigny | 
  
  
    | 
    Paléontologie 
    française, terrains crétacés, tome VI, p. 227 | 
  
  
    | 
      | 
  
  
    
    
      
      
        
          | 
           N° 2171. Hemiaster Bufo, Desor, 1847. 
          Pl. 873. 
          
              
          Dimensions. Longueur totale, 32 millimètres. Par rapport à la 
          longueur : largeur, 100 centièmes ; hauteur, 75 centièmes. 
              
          Coquille aussi large que longue, un peu polygone, tronquée 
          largement et à peine sinueuse en avant, rétrécie et tronquée en 
          arrière, dont le grand diamètre transversal est au milieu de la 
          longueur. Dessus arrondi en avant, et de là offrant une courbe 
          à grand rayon jusqu'à l'area anale, tronquée obliquement, mais presque 
          verticale. Le sommet est presque au milieu de la longueur, et le point 
          le plus élevé se trouve en arrière du sommet, très-près de l'area 
          anale. Le pourtour a sa convexité inférieure. Dessous 
          très-plat, pourtant plus élevé à la région médiane postérieure. 
          Sillon antérieur marqué près du sommet, peu appréciable au bord.
          Bouche en demi-lune très-fortement bordée de bourrelets, placée 
          en arrière du tiers antérieur. Anus ovale, , longitudinal, 
          situé à la région supérieure d'une aréa anale, étroite, mais 
          circonscrite. Ambulacre impair, aussi large que les autres, 
          formé de zones très-étroites, de paires écartées, de pores rapprochés, 
          ovales, séparés par un tubercule. Ambulacres pairs inégaux, les 
          antérieurs plus longs d'un tiers que les postérieurs, tous droits, peu 
          creusés, les zones un peu plus larges en arrière et moins larges que 
          l'intervalle qui les sépare ; les zones et leur intervalle est lisse, 
          les paires de pores écartées, non conjugués, formées de pores étroits, 
          obliques, non bordés. Tubercules très-inégaux, épars et 
          écartés. Fasciole presque pentagone dans son ensemble et peu 
          marqué. 
              
          Rapports et différences.  Cette espèce, à la première vue, 
          se rapproche beaucoup de l'H. minimus ; mais elle s'en 
          distingue bien nettement par ses détails, par son grand diamètre 
          transversal plus en arrière, par son dessus moins plat, par sa région 
          anale plus verticale, par sa bouche plus en arrière, par ses 
          ambulacres moins inégaux, par ses zones porifères aux ambulacres 
          pairs, moins larges que leur   
           | 
            | 
          
           intervalle, 
          enfin par la forme de ses pores et le manque de granules entre les 
          pores. Avec de l'attention, il n'est pas possible de les confondre. M. 
          Desor a donné, sous le nom de Pisum, un très-jeune individu du Mans, que nous croyons 
          devoir réunir à l'espèce type ; car nous n'avons pu lui reconnaître de 
          différences spécifiques. 
              
          Localité. Cette espèce est caractéristique, s'il en fut jamais, 
          du 20e étage ou étage cénomanien (craie chloritée et grès verts 
          supérieurs). Elle a été recueillie par nous, à Villers-sur-Mer 
          (Calvados) ; au Cap de la Hève, près du Havre, (Seine-Inférieure) ; au 
          Port des Barques (Charente-Inférieure) ; à la Malle (Var) ; et à 
          Gourdon (Lot). M. d'Archiac l'a rencontrée à Gacé (Orne), et à Cassis 
          (Bouches-du-Rhône). C'est à tort que M. Agassiz l'indique à 
          Saint-Christophe, à Fécamp et à Sainte-Maure ; elle ne se trouve pas 
          dans ces localités. 
              
          Explication des figures. Pl. 873, fig. 1, grandeur naturelle ; 
          fig. 2, dessus, grossi ; fig. 3, dessous ; fig. 4 ; profil 
          longitudinal ; fig. 5, profil transversal, du côté de la bouche ; fig. 
          6, le même, du côté de l'anus ; fig. 7, ambulacres grossis ; fig. 8, 
          zone de l'ambulacre pair antérieur, grossie ; fig. 9, zone de 
          l'ambulacre impair, grossie ; fig. 10, plaque interambulacraire, 
          grossie. De notre collection. 
          
            
          
          Pl. 873 (extrait) 
          
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        figuré, conservé 
        au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris 
     | 
  
  
    | 
        figuré in
        d'Orbigny, 1854, 
        
        Paléontologie française - Terrains crétacés - Echinodermes, t. 6, 
        p.227 | 
  
  
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          Hemiaster bufo
          (Brongniart,1822) - 
          Cénomanien, Calvados, 21 mm  | 
            | 
         
       
      
     
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        Hemiaster 
          calvini
          Clark,1893  | 
            | 
         
       
      
     
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      | 
  
  
    | 
    diagnose originale de 
    l'espèce par Clark | 
  
  
    | 
    Mesozoic Echinodermata 
    of the United States, 1893, p.90 | 
  
  
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          | 
           
          Hemiaster calvini Clark 
          Plate XLIX, 
          Figs. 2a-i. 
              
          Determinative characters. - Test oval, cordate, inflated ; 
          upper surface elevated ; lower surface flat ; posterior margin 
          obliquely truncated. Ambulacra moderately depressed on the upper 
          surface. Mouth opening transversely oval. Anal opening oval, high on 
          truncated posterior border.  
              
          Dimensions. - Length, 1 1/2 inches ; width, 1 1 /4 inches ; 
          height, 7/8 inch. 
              
          Description. - This species has an elevated test that is oval, 
          cordate, and broadly truncated on the posterior margin. The anterior 
          sulcus is shallow, and produces but a feeble groove on the anterior 
          margin. The base is flat. 
               
          The ambulacral areas are narrow. The poriferous zones are broad ; the 
          petals moderately depressed and o food length ; the pores in the 
          petaloidal portions of the paired ambulacra elongated, slit-like (Pl. 
          XLIX, Fig. 2e), those of the unpaired ambulacrum small and 
          approximated (Pl. XLIX, Fig. 2g). Beyond the petals the pores are very 
          small, and occupy the lower outside corner of each plate (Pl. XLIX, 
          Fig. 2f). 
               
          The surface of the plates is overed with small perforated tubercles, 
          rather widely scattered, between which a  microscopic granulation 
          intervenes. The peripetaleous fasciole is indistinct. 
               
          The apical disk is small, compact, and nearly central (Pl. XLIX, Fig. 
          2i). 
               
          The mouth opening is small, transversely oval, and situated at a 
          distance from the margin. 
           | 
            | 
          
                
          The anal opening is oval and situated high on the truncated surface of 
          the posterior margin. 
              
          Related forms. - Hemiaster Calvini is most closely 
          related to H. texanus, from which, however, it is separated by its 
          more elevated form and small, narrow, anterior sulcus. The apical disk 
          is also more excentric. 
              
          Locality and geological horizon. - Hemiaster Calvini is 
          from the Shoal creek limestone at the top of the Comanche series (lower 
          Cretaceous) of Texas. It is found in Travis county. 
              
          Collections. - U. S. National Museum ; University of Iowa. 
          
          Pl. XLIX (extrait) 
          
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      | 
  
  
    | 
        spécimen  
        conservé au Yale Peabody Museum of Natural History, Invertebrate 
        paleontology Division | 
  
  
    | 
        sans statut 
        déclaré | 
  
  
    | 
      | 
  
  
    | 
                  
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          Hemiaster 
          calvini
          Clarck,1893 - 
          Cénomanien, Grayson formation, Texas, 44 mm  | 
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        Hemiaster 
          cenomanensis
          Cotteau,1856  | 
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    description de 
    l'espèce par Cotteau in Cotteau & Triger | 
  
  
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    Echinides du 
    département dela Sarthe, p.210 | 
  
  
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           N° 41.
          hemiaster cenomanensis,
          Cotteau, 1856. 
          Pl. XXXIV, fig. 7.8. 
          Hemiaster Cenomanensis, 
          Cot. Davoust, Note sur les foss. spéciaux à la Sarthe, p. 9, 
          1856. 
              
          V. 95. 
               
          Hauteur, 19 millimètres ; diamètre transversal, 35 millimètres ; 
          diamètre antéro-postérieur, 34 millimètres. 
               
          Espèce de grande taille, subcordiforme, presque carrée, un peu plus 
          large que longue, légèrement rétrécie en arrière, ayant son plus grand 
          diamètre transversal à peu près au milieu de sa longueur, et sa plus 
          grande hauteur en arrière de l'appareil apicial ; face supérieure 
          subdéprimée en avant, plus élevée dans la région postérieure qui est 
          tronquée obliquement ; face inférieure presque plane, très-légèrement 
          renflée en arrière ; sillon antérieure profond, largement évasé, 
          échancrant sensiblement l'ambitus, très-atténué dans la région 
          infra-marginale. Ambulacre impair long et droit, formé de pores 
          ovales, obliquement disposés et séparés par un renflement granuliforme 
          très-apparent. Ambulacres pairs subflexueux, larges, excavés, inégaux, 
          les antérieurs beaucoup plus longs que les postérieurs ; zones 
          porifères à peu près de même largeur que l'intervalle qui les sépare, 
          formées de deux rangées de pores allongés, transverses, la rangée 
          externe plus développée que l'autre. Tubercules inégaux, épars, 
          espacés. Anus longitudinal, elliptique, situé à la partie supérieure 
          de la face postérieure. Péristome bilabié, transverse, s'ouvrantà peu 
          de distance du bord antérieur. Fasciole large, apparent, entourant les 
          tubercules sans en suivre les contours. 
              
          Rapports et différences. 
          - Cette espèce est voisine de l'Hemiaster bufo qu'on rencontre dans le 
          même étage, mais à un horizon plus inférieur ; elle nous a paru s'en 
          distinguer par sa taille plus forte et plus déprimée notamment dans 
          lea région postérieure, par son sillon antérieur plus évasé, plus 
          profond vers l'ambitus,  
           | 
            | 
          
           par ses 
          ambulacres plus excavés et plus allongés, ses zones porifères plus 
          développées et son fasciole plus large. 
              
          Loc. Le Mans (carr. de 
          la Butte), Yvré-l'Evêque. Rare. 
               
          Tabl. de M. Triger, groupe de l'Ammonites navicularis et de l'Archiacia 
          sandaline, ass. n° 3. 
               
          Coll. Davoust, Chaudron, Triger. 
              
          Expl. des fig. - Pl. 
          XXXIV, fig. 7, Hemiaster Cenomanensis, vu de côté, de la coll. de M. 
          l'abbé Davoust. - Fig. 8, le même, vu sur la face supérieure. 
          
          Pl. XXXIV (extrait) 
          
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          Hemiaster 
          cenomanensis
          Cotteau,1856 - 
          Cénomanien supérieur, Port-des-Barques, Charente Maritime, 27 mm  | 
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          Hemiaster 
          cenomanensis
          Cotteau,1856 - 
          Cénomanien, Maine & Loire, 34 mm  | 
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        Hemiaster 
          corculum
          Laube, 1868  | 
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    diagnose originale de 
    l'espèce par Laube | 
  
  
    | 
    Ein Beitrag zur 
    Kenntnis der Echinodermen des vicentinischen Tertiärgebietes, 1868, p.26 | 
  
  
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          Hemiaster corculum 
          Laube. 
          Tab. VI, Fig. 
          2. 
               
          Schale ziförmig, sehr stark augebläht, fast kugelähnlich. Stirnfurche 
          sehr kurz, aber tief und von zwei hohen Wällen begrenzt, gegen den 
          Rand hin vershwindet sie fast gänzlich. Petalen sehr ungleich, die 
          vorderen dreimal so lang als di hinteren. Erstere in einer breiten 
          Furche, letztere fast eben, kaum vertieft, Poren quergeschlitzt, durch 
          einwärts geknickte Linien conjugirt, das Interporiferenspatium ist 
          glatt une etwas augehöhlt. Die Basis ist schwch gewölbt, der Mund lieg 
          in einer tifen Grube, ist stark halbmondförmig gebogen une hat eine 
          stark vorragende Lippe. Das Periproct liegt horch auf der Unterseite 
          une lässt einen breiten Anaraum unter sich. Eine zeimlich breite 
          Fasciole umschreibt die Petalen. 
               
          Oberseite fein grenulirt, das Schild auf der Unterseite mi stärkeren 
          Warzen bedeckt. Von der ARt besitze ich dermalen ein Exemplar, welches 
          leider etwas zusammengedrückt ist. In wie weit dieselbe mit 
          Hemiaster foveatus Agass.  verwandt ist, kann ich nicht genau 
          angeben, da mir weder Exemplare noch Abbildungen davon zu Gebote 
          stehen. Nach der Diagnose bei Desor würde sich 
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           die Art aber 
          in der Weise untercheiden, dass di Pelalen veil ungleicher un weniger 
          tief bei der vorliegenden Art beschaffen sind. 
               
          Von Val Scaranto mit Ostraea Martinsii. 
               
          Länge des Exemplare 42 Millim. Brete 39 Millim., Höhe 31 Millim. Länge 
          der vorderen Petalen 3 Millim., Länge der hinteren 5 Millim.  
          
          Tab. VI (extrait) 
          
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          Hemiaster 
          corculum
          Laube, 1868 - 
          Eocène, Vicence, Italie, 20 mm  | 
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        Hemiaster dalloni
          Lambert,1933  | 
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    | 
    diagnose originale de 
    l'espèce par Lambert | 
  
  
    | 
    Supplément à la 
    révision des échinides fossiles de la Catalogne, 1933, p.187 | 
  
  
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           Hemiaster 
          Batalleri Lambert 
          (nov. spec.) 
          PI. 1, fig. 14 à 16 
               
          Petite espèce du Maestrichtien de Falgars, Barcelona (N.° 7851), 
          représentée par quelques individus dont aucun ne permet de 
          reconnaître les fascioles en raison de leur état fruste et un peu 
          mutilé à l'extrémité du plastron. Sa position générique reste donc 
          incertaine et elle est provisoirement rapportée au genre Hemiaster. 
               
          Tet mesurant 22 mill. de longueur, sur 21 de largeur et 15 de hauteur, 
          ovale, sans sillon antérieur, arrondi en avant, un peu rétréci et 
          subtronqué en arrière. Face inférieure presque plane avec péristome 
          excentrique en avant, transverse et faiblement labié. Face supérieure 
          acuminée et verticalement tronquée en arrière, ayant son sommet sur la 
          carène postérieure un peu en arrière de l'apex; ce dernier légèrement 
          excentrique en avant montre quatre pores génitaux rapprochés, le 
          madréporide ne séparant pas les génitales postérieures. Pétales 
          courts, déprimés, dans des sillons assez larges; l'impair plus étroit 
          est composé de petits pores ronds séparés par un granule; les pairs 
          sont formés de pores inégaux, les externes allongés, conjugués; zone 
          interporifère aussi largs que l'une des zones porifères, d'apparence 
          lisse, mais très finement granuleuse; les pétales lateraux à peine 
          plus longs que les postérieurs. Tubercules scrobiculés un peu plus 
          gros à la face orale, petits, épars en dessus dans une fine 
          granulation miliaire; zones périplastronales paraîssant lisses.  | 
            | 
          
                
          Malgré l'incertitude de sa position générique, nous faisons connaître 
          cette espèce, parce qu'elle ne saurait à notre avis être confondue 
          avec aucune autre. Nous avions pensé en faire un Isopneustes, 
          mais le type des Isopneustes, sans sillon ni fascioles, serait 
          pourvu d'un pétale impair à peu près semblable aux autres. Notre 
          nouvelle espèce n'est donc pas un Isopneustes et ce n'est pas 
          davantage soit un Micraster prymnodesme et pourvu d'un sillon 
          antérieur, soit un Cyclaster à apex avec trois pores génitaux 
          et fasciole semipéripétale. Dans ces conditions et ne voulant pas 
          créer encore un genre nouveau doht certains caractères n'auraient pu 
          être précisés, j'ai cru devoir, au moins provisoirement, rattacher 
          l'espèce de Falgars au genre Hemiaster, car on ne peut la 
          rapprocher du Cyclaster lacenitnus Cotteau de l'Éocène pour en 
          faire un Adetaster, en raison de sa forme générale, de celle de 
          son péristome et de son périprocte ne paraîssant pas transverse. 
          planche 1 
          extrait   
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          Hemiaster dalloni
          Lambert,1933 - 
          Huesca, Espagne, Cénomanien, 37 mm  | 
            | 
         
       
      
     
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        Hemiaster 
          garumnicus
          (Lambert,1907)  | 
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    | 
    diagnose originale de 
    l'espèce par Lambert | 
  
  
    | 
    Note sur quelques 
    échinides de la Haute-Garonne, 1907, p.721 | 
  
  
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          De l'examen de tous ces petits Hemiaster il résulte qu'il 
          existe dans le garumnien au Tuco, à Marsoulas. Cerizols et Tourtouse, 
          trois formes d'Hemiaster, dépourvus de sillon antérieur à l'ambitus et 
          tous tellement voisins de l'H. punctatus que si on les compare 
          à une bonne série de ce dernier recueillie, soit dans les localités 
          classiques du Campanien des Charentes, soit dans le Sénonien supérieur 
          à Orbitolines de Roquefort près Boussens, il n'est pas possible de les 
          en séparer spécifiquement. 
               
          La première forme, figurée par Cotteau dans ses Echinides de la 
          Colonie (pl. VI, fig. 19, 20), diffère du type de d'Orbigny par sa 
          taille un peu plus forte, son test plus allongé, sa face supérieure 
          légèrement déprimée dans la région des pétales, ses pores 
          proportionnellement un peu moins serrés, mais rigoureusement de même 
          nombre à taille égale. Ces différences s'atténuent chez d'autres 
          individus et elles sont trop relatives pour légitimer une séparation 
          que Cotteau n'avait pas admise. Les individus les plus aberrants 
          pourraient seulement être distingués comme variété garumnica. 
          Cette forme se rencontre assez fréquemment à Maroulas et surtout à 
          Cerizols, où ses caractères s'exagèrent un peu. M. Carez l'a trouvé à 
          Mauran. 
               
          La seconde forme large, subcirculaire, d'assez forte taille (longueur 
          et largeur 32 mm. hauteur 21) représente encore assez exactement l'H. 
          punctatus type, dont elle paraît un agrandissement. On pourrait 
          lui donner le nom de variété arizensis ; elle est surtout bien 
          caractérisée à Tourtouse et se retrouve à Marsoulas et au Tuco. 
           | 
            | 
          
                
          La troisième forme est plus trapue, subglobuleuse et ses ambulacres 
          antérieurs pairs semblent un peu plus divergents. On pourrait la 
          nommer variété spissa ; elle paraît rare au TucoI. 
          I. Il résulte 
          de nouvelles observations que ces première et troisième variétés sont 
          en réalité spécifiquement distinctes du H. punctatus et doivent 
          prendre les noms de H. garumnicus et H. spissus. La 
          première a, au dessous du fasciole, ses tubercules plus petits, moins 
          serrés, épars dans une fine granulation. Ces tubercules sont un peu 
          plus serrés chez la seconde et ils se dressent sur un petit socle 
          oblique semblable à ceux des Schizaster. Chez H. punctatus les 
          granules ne forment plus qu'une crête étroite séparant les scrobicules 
          et les tubercules sont bien plus serrés. - Voir
          Lambert : Echinides de 
          Gosau, Bull. S. Belge Géol. Paléont. Hydrol., t. XXI, p.91 et 
          92, 1907 (Note ajoutée pendant 
          l'impression). 
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        figuré, conservé 
        au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris 
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        figuré in
        Lambert, 1936, 
        
        Observations critiques sur quelques Hemiaster du Sud-Ouest de la France, 
        p.91 | 
  
  
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          Hemiaster 
          garumnicus
          (Lambert,1907) - 
          Thanétien inférieur, Haute-Garonne, 25 mm  | 
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     Nous ne considérons pas ici H. 
    punctatus var. garumnica comme un nomen nudum. D'autre part, 
    l'espèce ayant été publiée avant 1931 elle satisfait aux exigences des 
    l'articles 12 (12.1) et 11 de l'ICZN. Au sens de l'article 45.6.4, 
    l'épithète garumnica, de par la présence non ambiguë du terme "var.", doit 
    être considérée comme de rang subspécifique,  puisque Lambert ne l'a 
    pas considérée expressément comme infra-subspécifique dans le texte (cf. 
    également art.45.6.4.1) et est donc régi par le code (art.1.3.4). On doit le 
    nommer H. garumnicus (47.2).  | 
  
  
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        Hemiaster hattaensis
        Ali,1989  | 
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    diagnose originale de 
    l'espèce par Ali,1989 | 
  
  
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    Late Cretaceous 
    echinoids from Gebel El Rowdah, Hatta area, U.A.E, p.[409] | 
  
  
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           Hemiaster (Bolbaster) 
          hattaensis n. sp. 
          Fig. 6 (5-8) 
               
          Material : Eleven specimens. 
               
          Shape : Test of medium size, 21.7 - 25.7 mm long; width 84.6 - 87.5 % 
          T.L.; height 66.5 - 70 % T.L.; test ovoid in marginal outline with 
          greatest width anterior of center, slightly pointed posteriorly; 
          anterior margin rounded; no anterior notch; posterior truncation 
          vertical; aboral surface inclined anteriorly; oral surface moderately 
          inflated at plastron. 
               
          Apical system: Posterior, distance from center of apical system to 
          anterior margin 62.8 - 63 % T.L.; ethmophract, with 4 genital pores, 
          anterior pair more closely spaced than posterior. 
               
          Ambulacra : Anterior ambulacrum (III) moderately depressed near apical 
          system, flush at ambitus, with moderately long poriferous zone, 38 % 
          T.L. long; width 3.6 - 3.9 % T.L.. Petals short; anterior paired 
          petals (II and IV) slightly depressed, length 30.4 - 33.6 % T.L., 
          narrow, width 8.7 - 8.9 % T.L.; divergent, subtending an angle of 81 
          degrees; poriferous zone approximately as width of interporiferous 
          zone; pores elongated, not conjugated; posterior paired petals (I and 
          V) shortest, length 13 - 14.8 % T.L., slightly narrower than anterior 
          paired, width 7.4 - 7.5 % T.L., subtending an angle of 85 degrees; 
          poriferous zone as in anterior paired petals. 
               
          Peristome : Anterior, distance from center of peristome to anterior 
          margin 24.5 - 28.8 % T.L., semicircular, width 16.3 - 17.4 % T.L., 
          length 7.8 - 8.7 % T.L.; opening slightly sunken. Phyllode with 7 
          isopores in ambulacra II and IV, 4-5 in ambulacrum III, and 6 in 
          ambulacra I and V. Plastron gently convex, slightly inflated, length 
          67.9 % T.L., width 45.4 % T.L.. 
               
          Periproct : Small, oval, located at top of posterior truncation, not 
          visible from above or below, longitudinal. height 12.8 % T.L., width 
          9.7 % T.L.. 
               
          Fasciole: Peripetalous fasciole not idented between petals, relatively 
          broad, width 3 % T.L. at ends of petals.  | 
            | 
          
                 
          Comparison with other species : Among all the Late Cretaceous species 
          of this subgenus, the new species has some similarity to Hemiaster 
          (Bolbaster) paronai CHECCHIA-RISPOLI, reported from the 
          Maestrichtian of Libya. However, , H. (B.) hattaensis is 
          easily distinguished by its slightly elongated and depressed test (mean 
          width 86.1 % T.L., mean height 68.3 % T.L.), whereas in H. (B.) 
          paronai, the width sometimes exceeds the length and the test is 
          more elevated (mean width 99 % T.L., mean height 83.7 % T.L.). In the 
          new species, the peristome is located more anteriorly at about 26.7 % 
          T.L. from the anterior margin, whereas in H. (B.) paronai it is 
          located at 41.2 % T.L.. Furthermore, the posterior truncation is 
          strongly vertical in the new species, whereas it is slightly curved in
          H. (B.) paronai. Finally, the aboral surface is inclined 
          anteriorly in the new species, almost flat in the Libyan one. 
               
          Occurrence  : Late Maestrichtian, Simsima Formation, Gebel El Rowdah. 
          
          Figure 6 
          (extrait) 
          
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          Hemiaster hattaensis
        Ali,1989 - Maastrichtien, 
          Simsima Fm, Jebel Buhays, Emirats Arabes Unis, 23 mm  | 
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          Hemiaster 
          micranthus
          Lambert,1919  | 
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    diagnose originale de 
    l'espèce par Lambert, 1919 | 
  
  
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    Echinides 
    des environs de Santander recueillis par M.L. Mengaud, p.48 | 
  
  
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          Hemiaster 
          micranthus Lambert. 
          (Pl. II, flg. 16, 17.) 
          
           
     Petite espèce, mesurant 19 millimètres de longueur sur 
          18 de largeur et 15 de hauteur, renflée, complètement dépourvue de 
          sillon antérieur, arrondie en avant, tronquée en arrière ; face 
          supérieure à bords convexes, mais déclive en dessus d'arrière en avant 
          et ayant son sommet entre l'apex et le périprocte ; face inférieure 
          subconvexe ; face postérieure assez large, avec area déprimé sous le 
          périprocte. Apex très excentrique en arrière, avec pétale impair 
          étroit, à pores espacés, séparés par un granule. On compte, pour I, 8 
          paires de pores, pour II, 16 paires et, pour III, 12 paires ; pétales 
          pairs peu déprimés, très divergents, très inégaux, les antérieurs 
          droits à branches inégales, les postérieurs très courts. Tubercules 
          voisins de l'apex scrobiculés et très développés dans les 
          interambulacres antérieurs. Péristome réniforme, enfoncé. Fasciole 
          circulaire, peu apparent. 
     Cette petite espèce, en raison de ses pétales peu 
          déprimés, très divergents, courts et de la petitesse des postérieurs, 
          ne saurait être confondue avec aucune autre. H. spissus 
          Lambert, du Danien, avec une forme voisine, à ses pétales plus 
          déprimés et une disposition différente de ses tubercules. 
     Localités : Santa-Marina, un seul individu, recueilli 
          avec Cardiaster integer ; étage santonien
           
  
          
          Planche II 
          (extrait) 
          
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        holotype, conservé 
        au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris 
     | 
  
  
    | 
        figuré in
        Lambert, 1919,  
        
        Echinides des environs de Santander recueillis par M.L. Mengaud, p.48 | 
  
  
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          Hemiaster 
          micranthus
          Lambert,1919 
          - Santonien, Navarre, Espagne, 9 mm  | 
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        Hemiaster cf. 
        morrisi
        Forbes,1854  | 
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    | 
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    | 
    description de 
    l'espèce par Wright, 1875 | 
  
  
    | 
    Monograph of the 
    British fossil Echinodermata from the Cretaceous Formations, vol. I, 
    Echinoidea, p.262 | 
  
  
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          HEMIASTER 
          MORRISII, 
          Forbes, 1854. Pl. LXI, fig. a-k.   
          
          
          SPATANGUS 
          PRUNELLA,           
          Mantell. Geology of Sussex, pl. xvii, figs. 22, 23, 1822. 
          
          
          HEmIASTER        -                     
           Desor. (pars) Cat. raisonée, p. 122, 1847. 
          
          
          ECHINOSPATANGUS CORDIFORMIS,
          Mantell (pars). Geol. Sussex, p. 108, 1822. 
          
          
          SPATANGUS COMPLANATUS, 
          Mantell. Medals, p. 355. 
          
          
          HEMIASTER PUNCTATUS,  
          d'Orbigny. Pal. Franc. Ter. Cret., pl. 886, 1854. 
          
                   
          -         MORRISII,  
          Forbes. Morris, Cat. Brit. Foss., 2nd ed., p. 81, 1854. 
          
                   
          -                  
          -           
          Woodward. Mem. Geol. Surv., decade v, pl. ix, 1856. 
          Diagnosis.—Test 
          oval, polygonal, or cordiform, inflated, obtusely rounded before and 
          obliquely truncated behind, sides nodulated ; ambulacra straight, 
          narrow, moderately depressed, anterior pair twice as long as posterior, 
          anteal sulcus short, shallow, dorsal ; apical dise excentrai backwards 
          ; vertex uear posterior border, which is flat and obliquely truncated 
          ; periprocte oval, supra-marginal ; base convex, with a slight 
          dépression near the mouth, which is bilabiate and opens near the 
          border ; fasciole narrow, distinct, closely snrrounding the petals. 
          Dimensions.—Antero-posterior 
          diameter one inch and six tenths ; breadth one inch and five tenths ; 
          height one inch. 
          
          Description.—This Urchin has been long known to collectors of 
          Cretaceons fossils by many incorrect naines. I have now figured it 
          with ample anatomical details for the first time, which for the future 
          wili make it impossible to mistake it for any other. 
          The outline 
          is oval, slightly polygonal, or inclining to a cordate shape ; the 
          anteal sulcus is broad and obscure, and impresses slightly the 
          anterior border, which is obtusely rounded and sometimes flattened ; 
          the posterior border is obliquely and flatly truncated, and slopes at 
          an angle of 70° ; sometimes this border becomes slightly concave in 
          large shells, and it is conspicuously so in three specimens in my 
          collection. 
          The 
          ambulacral petals arc small and moderately depressed, the anterior 
          incline 45°; are nearly twice as long as the posterior pair (fig. 1 a) 
          ; the poriferous zones arc narrow, and the pores foret oblique 
          transverse slits in them ; the single area is about sanie length as 
          the anterior, and is lodged in the anteal sulcus ; there are from 
          twelve to fourteen pairs of pores in each zone, with a prominent 
          granule between cadi of the pores forming a pair (fig. 1 a) ; the 
          anteal sulcus widens out and disappears at the anterior border. 
          The inter-ambulacral 
          areas present a remarkable nodulated appearance in this species ; in 
          each area there are two rows of these clevations ; thosc at the sides 
          are seen in fig. 1 a, c ; in the front in fig. 1 e ; and the back fig. 
          1 d; in fig. 1 h the appearance of these nodules present is admirably 
          shown in three inter-ambulacral plates taken from the ambitus and 
          magnified three diameters. 
          The 
          peripetalous fasciole is very well defined in this species ; it passes 
          straight from point to point with scarcely any curvature, and forms a 
          bold line among the numerous tubercles ; fig. 1 9 shows this 
          structure.  | 
            | 
          
           The tubercles 
          are small, very numerous, and set irregularly on the plates ; they are 
          ail perforated, and raised on bosses surrounded by well-defined 
          areolas ; fig. 1 i shows the tubercles on the upper surface, and fig. 
          1 k, those on the under surface, where the larger tubercles have the 
          bosses crenulated ; besides the tubercles the entire surface of the 
          plates is closely covered with miliary granules. 
          The apical 
          dise is small and excentrai, the four genital plates are perforated, 
          and the antero-lateral carnes the spongy body (fig. 1 f) ; the five 
          ocular plates are very small, as shown in fig. 1f. 
          The oval 
          periprocte occupies the upper third of the oblique posterior border 
          (fig. 1 d), and the vertex is seen rising above it ail, as show]] in 
          fig. 1 c, d). 
          The base is 
          couves transversely behind the mouth (fig. 1 b, c), and flat before 
          that aperture. The basal portions of the ambulacral areas, especially 
          the postero-lateral pair, which first descend backwards towards the 
          ambitns, bend round the border forming an obtuse angle there, and male 
          a sinuons course to the mouth. The anterior pair and the single area 
          have a more direct course ; the basal portions of the postero-latcrals 
          are destitute of tubercles and granules (fig. 1 b). 
          The mouth-opening 
          is situated at the anterior fourth of the base ; it is transversely 
          arched and bilabiate, the lower lip being the most prominent, and the 
          peristome is surrounded by a narrow calcareous band. 
          The tubercles 
          on the basal portion of the inter-ambulacrum have a remarkable 
          arrangement. They form a series of curved rows that radiate from a 
          central nodule near the posterior border and from a kind of fan-shaped 
          tubercular sculpture betwcen the two smooth winding paths formcd by 
          the sinuous ambulacra (fig. b). The tubercles on the other portions of 
          the inter-ambulacra have a much less regular arrangement. 
          Affinities 
          and Differences.—This species resembles H. prunella, Desor, 
          with which it has been confounded ; it differs from that species, 
          however, in being much larger, less globular and inflated, having the 
          posterior border obliquely truncated, the dorsum much more inclined, 
          and having the tubercles smaller and more numerous, and the 
          interambulacra nodulated around the sides. 
          Locality 
          and Stratigraphical Position.—This species is found only in the 
          Grey Chalk near Folkestone, the Lower Chalk at Hamsey, Sussex, and in 
          the Grey Chalk of Ventnor, Isle of Wight. 
          
          Planche LXI 
          (extrait) 
          
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          Hemiaster cf. 
          morrisi
          Forbes,1854 - 
          Cénomanien, Aspe, Alicante, Espagne, 18 mm  | 
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        Hemiaster 
          nasutulus
          Sorignet,1850  | 
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    diagnose originale de 
    l'espèce par Sorignet | 
  
  
    | 
    Oursins fossiles de 
    deux arrondissements du département de l'Eure, 1850, p.53 | 
  
  
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           65. 
          Nasutulus. 
          (Nobis). An. Hemiaster Prunella ? Desor. - Diamètre 
          antéro-postérieur 13 millim. diamètre transverse 11 millim., hauteur 9 
          millim.- Il se rapproche un peu de l'H. Bufo ; mais ici la 
          taille est beaucoup plus petite, la bouche n'est plus annulaire, et la 
          forme générale est plus globuleuse, sans l'être autant, à beaucoup 
          près, que dans l'H. Prunella. La face supérieure est aussi 
          moins déclive en avant ; la facette anale n'est pas uniformément 
          verticale comme dans les deux espèces précitées, mais en forme 
          d'arceau, et coupée longitudinalement par un petit sillon à 
          l'extrémité supérieure duquel est logé l'anus, ce qui le fait paraître 
          très-relevé. Les bords supérieurs de cet organe sont légèrement 
          renflés par l'épanouissement de la carène sur-anale qui forme le 
          sommet dorsal, tandis que le sommet génital est à peu près central. Un 
          fasciole  
           | 
            | 
          
           péripétale 
          très-apparent et anguleux entoure les ambulacres dont les postérieurs 
          sont extrêmement courts. Les pores de l'ambulacre impair sont 
          apparents et très-espacés. A l'ambitus, le sillon antérieur est 
          superficiel et très-évasé. Le test est un peu moins large en avant 
          qu'au milieu ; sa face inférieure est beaucoup moins convexe que celle 
          de l'H. Prunella ; il est couvert de tubercules distinctement 
          scrobiculés, serrés, non sériés et non saillants. 
               
          Craie blanche inférieure : Vrnonnet, Petit-Andely. - Rare. 
             | 
         
       
      
     
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        figuré, conservé 
        au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris 
     | 
  
  
    | 
        figuré in
        Cotteau, 18976, 
        
        Etudes 
        sur les échinides fossiles du département de l'Yonne, p.89 | 
  
  
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          Hemiaster 
          nasutulus
          Sorignet,1850 
          - Sénonien, Espagne, 13 mm  | 
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        Hemiaster cf. 
        phrynus
        Desor,1847  | 
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    description de 
    l'espèce par Desor, 1858 | 
  
  
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    Synopsis des échinides 
    fossiles, p.368 | 
  
  
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          Hemiaster Phrynus Desor (Tab. XLII. fig 1-4). 
               
          Desor Catal. rais. p. 122. - Syn. ? Hemiaster Ricordeanus d'Orb. 
          Paléont. franç. p. 223. Tab. DCCCLXXI. Petite espèce renflée, mais peu 
          déclive. Fasciole très fruste, régulier, non anguleux, rarement 
          visible. ommet ambulacraire au tiers postérieur. Pétales antérieurs à 
          peu près du double plus longs que les postérieurs. Zônes porifères 
          égalant la largeur de l'espac interporifère. 
               
          Aptien supérieur de la Perte du Rhône. 
               
          Gault de Seignelay (Yonne), Clar près d'Escragnolles. 
               
          Coll. Renevier, Michelin, Mus. Genève, Coll. Ricordeau, Koechlin-Schlumberger. 
            
             NOTA. Il se pourrait que 
          cette espèce ne fut en définitive qu'une vairété du H. minimus M. 
          Renevier ne la cite cependant que dans l'Aptien supérieur, où elle 
          serait même rare. 
          
          Pl. XLII (extrait) 
          
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          Hemiaster cf. 
          phrynus
          Desor,1847 - Aptien, 
          Morella, Castellon, Espagne, 24 mm  | 
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          Hemiaster 
          phrynus
          Desor,1847 - Aptien, 
          Morella, Castellon, Espagne, 22 mm  | 
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        Hemiaster 
          punctatus
          d'Orbigny,1854  | 
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    | 
    diagnose originale de 
    l'espèce par d'Orbigny | 
  
  
    | 
    Paléontologie 
    française, terrains crétacés, échinides irréguliers, tome VI, 1854, p.251 | 
  
  
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           N° 2185.
          Hemiaster punctatus, 
          d'Orb., 1854. 
          Pl. 886. 
          
              
          Dimensions. Longueur totale des plus grands, 30 millimètres. 
          Par rapport à la longueur : largeur, 96 centièmes; hauteur, 75 
          centièmes. 
              
          Coquille ovale, plus longue que large, très-renflée, non 
          sinueuse et un peu tronquée en avant, dont la hauteur a les 75 
          centièmes de la longueur, et dont le grand diamètre transversal est un 
          peu en arrière du milieu. Dessus très-arrondi en avant, la 
          courbe se prolongeant jusqu'au sommet légèrement déprimé, puis 
          s'élevant pour offrir la plus grande hauteur en arrière, ou une courge 
          s'étend jusqu'à la région anale coupée verticalement. Le sommet est 
          très en arrière. Le pourtour très-convexe montre la plus grande 
          convexité près de la base. Dessous convexe, avec une légère 
          dépression en avant de la bouche. Une saillie conique se voit à la 
          région postérieure médiane. Sillon antérieur marqué seulement 
          près du sommet. Bouche transverse, arquée, placée en avant du 
          tiers antérieur. Anus ovale, transverse, placé au-dessus des 
          deux tiers de la hauteur, sans aréa spéciale. Ambulacres 
          inégaux, assez profondément creusé. L'ambulacre impair, dans un 
          sillon, offre de 12 à 13 paires de pores. Chacune de celles-ci est 
          entourée d'une dépression et séparée d'un tubercule saillant. 
          Ambulacres pairs, longs, assez larges, les antérieurs le double 
          plus longs que les autres, profonds et sinueux, on leur compte 22 
          paires de pores, sur des zones inégales, la plus large en dehors. Les 
          pores conjugués sont ovales et transverses, réunis par une dépression. 
          Une rangée de tubercules se voit entre chaque paire de pores. Les 
          tubercules sont très-nombreux, très-rapprochés, à large scrobicule 
          autour, grossissant des parties supérieures au inférieures. Le 
          fasciole large, arrondi en avant, un peu sinueux sur les côtés. 
              
          Rapports et différences. Cette espèce a été confondue avec l'H. 
          prunella, dont elle a, en effet la forme, l'anus transverse et les 
          tubercules, mais nous avons reconnu qu'elle en diffère par ses 
          proportions moins hautes, par sa plus grande hauteur en arrière du 
          sommet, par sa région anale plus tronquée, par ses  
           | 
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           ambulacres 
          creusés, plus inégaux, plus larges et plus sinueux, par leurs zones 
          inégales, par un bien plus grand nombre de paires de pores, autrement 
          ornés. Pour nous, ce sont bien deux espèces distinctes. C'est 
          évidemment l'H. prunella de M. Mantell, mais non celui de 
          Lamarck. M. Desor l'a confondu avec l'H. prunella ; c'est de 
          celui-ci qu'il parle quand il cite les localités du sud-ouest de la 
          France. 
              
          Localité. C'est l'espèce la plus commune dans l'ouest et le 
          sud-ouest de la France, dans l'étage sénonien. Nous l'avons recueillie 
          successivement à Talmont, à Mirambeau, à Saint-Geores, à Mescher et à 
          Royan (Charente-Inférieure) ; à Saint-Colombe, à Orgiande (Manche) ; 
          aux environs de Tours (Indre-et-Loire) ; à Vendôme (Loir-et-Cher) ; à 
          Saumur (Maine-et-Loire) au sommet des côteaux, M. d'Archiac et nous, 
          l'avons rencontré à Sainte-Mêmes, aux environs de Périgueux 
          (Dordogne). 
              
          Explication des figures. Pl. 886, fig. 1, grandeur naturelle ; 
          fig. 2, coquille en dessus, grossie ; fig. 3, dessous ; fig. 4, profil 
          longitudinal ; fig. 5, profil transversal, du côté de la bouche ; fig. 
          6, le même, du côté opposé ; fig. 7, ambulacres grossis ; fig. 8, 
          pores de l'ambulacre impair, grossis ; fig. 9, pores des ambulacres 
          pairs antérieurs ; fig. 10, tubercules du dessus. De notre collection. 
          
          Pl. 886 (extrait) 
          
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        syntypes, 
        conservés au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris 
     | 
  
  
    | 
        figurés in
        d'Orbigny, 1854,  Paléontologie 
        française - Terrains crétacés - Echinodermes, t. 6, p.251 | 
  
  
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          Hemiaster 
          punctatus
          d'Orbigny,1854 - 
          Campanien supérieur, Charente Maritime, 19 mm  | 
            | 
         
       
      
     
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        Hemiaster 
        regulusanus
          d'Orbigny,1854  | 
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    | 
    diagnose originale de 
    l'espèce par d'Orbigny | 
  
  
    | 
    Paléontologie 
    française, terrains crétacés, échinides irréguliers, tome VI, p.248 | 
  
  
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          | 
           N° 2183.
          Hemiaster Regulusanus, 
          d'Orb., 1854. 
          Pl. 884. 
              
          Dimensions. Longueur, 32 millimètres. Par rapport à la longueur 
          : largeur, 93centièmes ; hauteur, 75 centièmes. 
              
          Coquille ovale, très-renflée, un peu moins large que longue, 
          non sinueuse en avant, tronquée en arrière, dont la hauteur a les 75 
          centièmes de la longueur, et dont le grand diamètre transversal se 
          trouve presque au milieu. Dessus convexe, très-arrondi en 
          avant, et s'élevant ensuite en courbe régulière jusqu'au sommet un peu 
          déprimé, puis s'élevant de nouveau en arrière, où il montre la plus 
          grande hauteur, et s'abaisse vers la région anale tronquée obtusément. 
          Le sommet est en arrière du centre ; le pourtour, très-convexe, 
          arrondi, offre sa plus grande convexité près de la base. Dessous 
          très-plat, à peine convexe, sur la région médiane postérieure. 
          Sillon antérieur assez profond du sommet jusqu'au fasciole, où il 
          s'efface presque entièrement. Bouche transverse placée en avant 
          des trois quarts antérieurs. Anus ovale longitudinalement, 
          placé près du dessus, à l'extrémité supérieure d'une aréa étroite à 
          peine prononcée. Ambulacres peu creusés, très inégaux. L'ambulacre 
          impair étroit, est formé de paires de pores rapprochées, chacune 
          avec un très-fort tubercule entre les pores. Ambulacres pairs 
          très-larges, très-inégaux ; les antérieurs, le double des postérieurs, 
          sont larges, un peu sinueux, dont les zones sont égales en largeur à 
          l'intervalle qui les sépare. Les paires de pores ne sont pas 
          conjuguées, les pores sont virgulaires transverses. On voit sur le 
          milieu de la largeur de chaque plaque un sillon longitudinal médian, 
          tout à fait caractéristique. L'ambulacre postérieur est ovale 
          ou plutôt pyriforme. Les tubercules sont petits, espacés en 
          dessus ; mais ils grossissent beaucoup aux régions antérieures et en 
          dessous. Le fasciole est large, arrondi en avant, très-sinueux 
          sur les côtés. 
           | 
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          Rapports et différences. Par sa forme, cette espèce rappelle l'H. 
          prunella, tandis que par l'inégalité de ses ambulacres pairs, elle 
          rentre dans la série des H. Leymeriei ; elle se distingue donc 
          de la première par ses ambulacres très-inégaux, par ses pores et par 
          ses tubercules espacés. Elle se distingue de la seconde, par sa forme 
          arrondie, par ses ambulacres plus superficiels, par les sillons 
          transverses des zones des ambulacres impairs, et enfin par ses 
          tubercules espacés. 
              
          Localité. M. le docteur liegulus Toucas a découvert cette 
          espèce au environs du Beauset (Var), dans la couche à Ostrea gallo-provincialis, 
          que nous rapporton au 22e étage sénonien ou craie blanche. 
              
          Explication des figures. Pl. 884, fig. 1, grandeur naturelle ; 
          fig. 2, coquille grossie, vue en dessus ; fig. 3, dessous ; fig. 4, 
          profil longitudinal ; fig. 5, profil transversal du côté de la bouche 
          ; fig. 6, le même, du côté de l'anus ; fig. 7, ambulacres grossis ; 
          fig. 8, zone de l'ambulacre impair grossi ; fig. 9, zone de 
          l'ambulacre pair antérieur grossi. De notre collection. 
          
          Pl. 884 (extrait) 
          
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          Hemiaster 
          regulusanus
          d'Orbigny,1854  
        - Cénomanien, 
          Alicante, Espagne, 36 mm  | 
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        Hemiaster ricordeauanus
        Cotteau,1863  | 
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    diagnose originale de 
    l'espèce par Cotteau,1863 | 
  
  
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    Paléontologie 
    française, terrains crétacés, échinides irréguliers, tome VI, p.223 | 
  
  
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           N° 2169.
          Hemiaster ricordeauanus, 
          d'Orb., 1853. 
          Pl. ,871. 
              
          Dimensions. Longueur totale 35 millimètres, par rapport à la 
          largeur : largueur 95 centièmes , hauteur 65 centièmes.  
              
          Coquille ovale, moins large que longue, élargie et sinueuse en 
          avant, rétrécie et tronquée en arrière, dont la hauteur a les 65 
          centièmes de la longueur, et dont le grand diamètre transversal, est 
          au tiers antérieur. Dessus arrondi en avant, et de ce point en 
          surface plane, décline jusqu'à l'aréa anale, en pente inverse et plus 
          rapide. Le sommet est a peu près an milieu et la région la plus haute 
          est en arrière près de l'aréa anale. Le pourtour est arrondi, sa 
          convexité est à la base. Dessous plat presque partout. 
          Sillon antérieur assez creusé sur toute sa longueur. Bouche, 
          placée en avant du tiers antérieur. Anus ovale, longitudinal, 
          placé à lu partie supérieure d'une aréa ovale, circonscrite de légères 
          protubérances. Ambulacre impair plus large que les autres, peu 
          creusé. Les zones sont étroites, formées de paires de pores 
          transverses, avec un bourrelet au milieu. Ambulacres pairs 
          très-inégaux, les antérieurs bien plus grands que les autres, tous 
          superficiels, les zones presque égales, et aussi larges que leur 
          intervalle. Les pores sont oblongs transverses, bordés d'un bourrelet, 
          ce qui détermine une légère cavité allongée entre chaque paire. Les 
          tubercules sont inégaux et épars les plus gros en-dessous. Le 
          fasciole, peu visible, passe à l'extrémité des ambulacres pairs.
           
              
          Rapports et différences. Les bourrelets des zones dcs 
          ambulacrcs pairs, bordés d'un bourrelet qui s'étend d'un pore à 
          l'autre, et laisse une cavité oblongue entre chaque paire, suffit, 
          avec des détails de formes, pour distinguer parfaitement cette espèce.  | 
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          Localité. Elle est propre a notre \9' étage : Abien ou du Gault. 
          Elle a été recueillie aux environs de Seignelay (Yonne) par M. 
          Ricordeau, a qui nous nous empressons de le dédier. M. Koechlin nous 
          l'a communiqué de Clar, prés d'Escraquolles (Var). 
              
          Explication des figures. Pl. 871. fig. 1, coquille dc grandeur 
          naturelle, vue en dessus; fig. 2, dessous; fig. 3, prolil 
          longitudinal; fig. 4, profil transversal, du côté de la bouche ; 
          fig.5, le même du côté de l'anus; fig. 6, ambulacres grossis; fig. 7, 
          zone de l'ambulacre pair, grossie. fig. 8, zone de l'ambulacre impair, 
          grossie. De notre collection. 
          
          Pl. 871 (extrait) 
          
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        Hemiaster ricordeauanus
        Cotteau,1863  
        - Albien moyen, 
        Argiles tégulines, Courcelles, Villemoyenne, Aube, 46 mm  | 
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        Hemiaster 
        sexangulatus
        (d'Orbigny,1854)  | 
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    diagnose originale de 
    l'espèce par d'Orbigny | 
  
  
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    Paléontologie 
    française, terrains crétacés, échinides irréguliers, tome VI, p.256 | 
  
  
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           N° 2188.
          Hemiaster SEXANGULATUS, 
          d'Orb., 1854. 
          Pl. 889. 
              
          Micraster sexangulatus, d'Orb., 1846. Voy. au pôle sud de 
          l'Astrolabe ; Paléont. pl. 5, fig. 47-49. 
              
          Dimensions. Largeur tatale 29 millimètres par rapport à la 
          largeur ; longueur, 99 centièmes ; hauteur, 71 centièmes. 
              
          Coquille hexagone, plus large que longue, très sinueuse et à 
          trois faces en avant, et trois en arrière, rétrécie aux extrémités 
          dont la postérieure est tronquée, dont la hauteur a les 71 centièmes 
          de la largeur, et dont le grand diamètre transversal est à la moitié, 
          formé d'un angle saillant de chaque côté. Dessus convexe, 
          arrondi en avant, de la s'élevant jusqu'au sommet excentrique placé en 
          avant, et ensuite jusqu'à l'intervalle compris entre le sommet et la 
          région anale, où se trouve la partie la plus élevée ; aréa anale 
          coupée obliquement. Le pourtour arrondi offre la plus grande convexité 
          presque à la base. Sillon antérieur assez large et progond, se 
          continuant de la bouche au sommet. Bouche transverse, placée 
          près du tiers antérieur. Anus ovale longitudinalement, placé au 
          sommet d'une aréa assez marquée. Ambulacre impair, plus étroit 
          que les autres, placé dans un sillon, formé de zones étroites, 
          composées de pores ovales, obliques, séparés par un léger tubercule.
          Ambulacres pairs assez larges, profonds, très-inégaux, les 
          antérieurs deux fois aussi longs que les postérieurs, très-divergents 
          et un peu arqués en arrière ; zones beaucoup plus larges que 
          l'intervalle qui les sépare, formées de pores allongés, transverses.
          Fasciole triangulaire dans son ensemble. Tubercules 
          épars. 
              
          Rapports et différences. La forme de cette espèce nous l'avait 
          fait confondre avec l'H. Rana, mais elle s'en distingue bien 
          nettement par sa forme plus hexagone, par son dessus en pente et 
          très-relevé en arrière, par son sommet excentrique en avant, par son 
          aréa anale plus déclive, et surtout par ses ambulacres pairs 
          infiniment plus inégaux. 
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          Localité. Elle a été recueillie aux environs de Pondichéry, 
          avec les trois espèces suivantes, dans des couches que, d'après sa 
          faune, nous classons dans notre 22e étage sénonien ou de la craie 
          blanche. 
              
          Explication des figures. Pl. 889, fig. 1, grandeur naturelle ; 
          fig. 2, coquille grossie, vue en dessus ; fig. 3, dessous ; fig. 4, 
          profil longitudinal ; fig. 5, profil transversal, du côté de la bouche 
          ; fig. 6, le même, du côté de l'anus ; fig. 7, ambulacres grossis ; 
          fig. 8, zone de pores de l'ambulacre impair grossie ; fig. 9, zone de 
          l'ambulacre pair grossie. De la collection paléontologique du Museum. 
          
          Pl. 889 (extrait) 
          
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          Hemiaster 
        sexangulatus
        (d'Orbigny,1854)  
        - Maastrichtien, 
          Luchente, Valence, Espagne, 26 mm  | 
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        Hemiaster stella
        (Morton,1860)  | 
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    description de 
    l'espèce par d'Orbigny | 
  
  
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    Paléontologie 
    française, terrains crétacés, échinides irréguliers, tome VI, p.245 | 
  
  
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           N° 2181.
          Hemiaster stella, 
          Desor., 1847. 
          Pl. 882. 
          
              
          Dimensions. Longueur totale, 22 millimètres. Par rapport à la 
          longueur : largeur, 90 centièmes ; hauteur, 70 centièmes. 
              
          Coquille ovale, déprimée, un peu moins large que longue, 
          élargie et tronquée en avant, un peu acuminée et obtuse en arrière, 
          dont la hauteur a les 70 centièmes de la longueur, et dont le grand 
          diamètre transversal est en avant de la moitié. Dessus 
          très-déclive des régions postérieures aux antérieures, très-déprimé, 
          mais obtus en avant, de là s'élevant toujours jusque bien en arrière 
          du sommet, où se trouve la partie la plus haute, s'abaissant un peu de 
          ce point jusqu'à l'aréa anale perpendiculaire ou même un peu rentrant. 
          Le sommet est très-en arrière du centre ; le pourtour arrondi montre 
          son grand diamètre à la base. Dessous très-plat, très-excavé en 
          avant et sur les côtés de la bouche, un peu convexe sur la région 
          médiane postérieure. Sillon antérieur nul, seulement indiqué 
          près du sommet. Bouche transverse, pourvue de fortes lèvres, 
          placée aux deux tiers antérieurs. Anus ovale longitudinalement, 
          placé près du dessus, à la partie supérieure d'une aréa étroite, peu 
          prononcée. Ambulacres à peine creusés, peu inégaux. 
          Ambulacre impair très-étroit, formé de zones étroites, portant, 
          espacées sur leur longueur, huit ou neuf paires de pores placés dans 
          un enfoncement et séparés par un tubercule saillant. Ambulacres 
          pairs, droits, étroits, lancéolés, peu inégaux, les antérieurs, 
          seulement un peu plus longs, dont les zones inégales, l'interne la 
          plus large de plus de largeur que l'intervalle, est formée de paires 
          de pores conjugués, ovales, séparés entre eux par une côte sur la 
          conjugaison même. Les tubercules sont petits et très-rapprochés 
          en dessus, et entourés de scrobicules profonds. Les inférieurs sont 
          énormes, surtout en avant et sur les côtés de la bouche. Le 
          fasciole est très-large, arrondi et placé très-près du bord en 
          avant, prolongé en arrière, et sans coude. 
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          Rapports et différences. Cette rappelle, par ses ambulacres et 
          ses tubercules, les caractères de l'H. prunella, mais elle s'en 
          distingue par sa forme toute particulière, déprimée en avant, offrant 
          sur son profil longitudinal la forme d'un coin obtus. Sa forme est un 
          peu celle de l'H. nucleus, mais avec des ambulacres tout 
          différents. Il serait possible que le Spatangus ungula de M. 
          Morton (Micraster ungula, Agassiz) fût le même, plus âgée, que 
          l'H. stella. 
              
          Localité. Cette charmante espèce, spéciale au 22e étage 
          sénonien ou craie blanche, se trouve à la fois en France et aux 
          Etats-Unis. Nous l'avons recueillie à Tours (Indre-et-Loire) ; et à 
          Ville-Dieu (Loir-et-Cher). M. d'Archiac l'a rencontrée aux environs de 
          Périgueux (Dordogne). M. Morton l'indique à Prairie Bluff (Alabama), 
          d'où nous l'avons reçu, et à Tember Creek (New-Jersey), Etats-Unis. 
              
          Explication des figures. Pl. 882, fig. 1, grandeur naturelle ; 
          fig. 2, coquille grossie, vue en dessus ; fig. 3, dessous ; fig. 4, 
          profil longitudinal ; fig. 5, profil transversal du côté de la bouche 
          ; fig. 6, le même, du côté de l'anus ; fig. 7, ambulacres plus 
          fortement grossis ; fig. 8 zone de l'ambulacre impair ; fig. 9, zone 
          de l'ambulacre pair antérieur. De notre collection. 
          
          Pl. 882 (extrait) 
          
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        figuré, conservé 
        au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris 
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        figuré in
        d'Orbigny, 1854, 
        
        Paléontologie française - Terrains crétacés - Echinodermes, t. 6, 
        p.245 | 
  
  
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          Hemiaster stella  
    (Morton,1830)  
        - Thanétien 
          inférieur, Haute-Garonne, 32 mm  | 
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          Hemiaster stella  
    (Morton,1830)  
        - Thanétien 
          inférieur, Haute-Garonne, 30 mm  | 
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        Hemiaster wetherbyi
        de Loriol,1887  | 
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    | 
    description de 
    l'espèce par Cooke, 1953 | 
  
  
    | 
    American Upper 
    Cretaceous Echinoidea, p.31 | 
  
  
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          Hemiaster wetherbyi De Loriol 
          
          
          Plate 12, figures 17, 18 
          
          
               Test small, plump, 
          subovate; upper surface somewhat higher behind; lower surface 
          inflated; margin rounded, truncated behind. Apical system behind the 
          center; genital pores inconspicuous; madreporite large and tumid. 
          Paired petals wide, straight, close& moderately sunken; anterior pair 
          twice as long as posterior pair; poriferous zones wider than 
          interporiferous; pores elongate-oval to drop-shaped; pores of each 
          zygopore connected by a raised thread. Anterior petal straight, open, 
          moderately sunken, the depression barely indenting the margin; pores 
          small, zygopores short, pores separated by a conspicuous bead. 
          Peripetalous fasciole broad, conspicuous, barely indented between the 
          petals. Peristome anterior, one-third the total length from the 
          margin, strongly labiate behind. Periproct small, slightly elongated 
          longitudinally; well up on the vertical posterior truncation. 
          Tubercles large, close together, scrobiculate; larger and more deeply 
          scrobiculate on lower surface. Sternum bordered by broad, straight 
          rugose bands. 
          
               Length of figured specimen 
          24 mm; width 23 mm; height 18 mm. 
               
          Occurrence.-Alabama: Prairie Bluff chalk.-Prairie Bluff, Wilcox 
          County (U.S.G.S. 6793, 11650, L. W. Stephenson). Moscow Bluff, 
          Tombigbee River (U.S.G.S. 5643, S. W. McCallie; U.S.G.S. 8438, L. W. 
          Stephenson). Old Canton Landing, Alabama River, 14 miles below Pine 
          Barren Creek (U.S.G.S. 6439, L. W. Stephenson). The Larry Johnson 
          Bluff on Alabama River just above the mouth of Tearup Creek (U.S.G.S. 
          310, L. C. Johnson). North sicle of 300-foot knob in NE Y4 sec. 33, T 
          20 N, R 2 W, Sumter County (U.S.G.S. 18145, W. H. IV onroe). Ripley 
          formation.-Demopolis road 3.9 miles northeast of Coatopa (U.S.G.S. 
          11663, L. W. Stephenson). 
               
          Mississippi: Prairie Bluff chalk.-About 3 miles south of New Albany, 
          Union County, at foot of north-facing slope of Kings Creek valley 
          (U.S.G.S. 6872, L. W. Stephenson). Wallerville, Union County (U.S.G.S. 
          9604, L. W. Stephenson and Bruce Wade). Pontotoc (U.S.G.S. 6470, 6852, 
          6853, 17206, L. W. Stephenson). 1Y4 miles south of Pontotoc (U.S.G.S. 
          11652, L. W. Stephenson and C. W. Cooke). 2 miles south of Pontotoc 
          (U.S.G.S. 6856, L. W. Stephenson). Houlka Creek 1 mile east of 
          Houston, Chickasaw County (U.S.G.S. 612, T. W. Stanton). North-facing 
          slope of thookatonkchie Creek 3 miles eastnortheast of Houlka 
          Station, SE Y4 sec. 10, T 12 S, R 3 E, Chickasaw County (U.S.G.S. 
          17227, W. H. Monroe). East-facing bank of Soctahoma Creek, SE corner 
          sec. 4, T. 13 S, R 3 E, Chickasaw County (U.S.G.S. 17258, W. H. 
          Monroe). Road cut, NE Y4 sec. 14, T 13 S, R 3 E, Chickasaw County 
          (U.S.G.S. 19085, W. H. Monroe). SE corner sec. 3, T 13 S, R 3 E, 5.5 
          miles southeast by south of Houlka (U.S.G.S. 17215, W. H. Monroe). 
          Gullies on campus of A. & M. College near Starkville, Oktibbeha County 
          (U.S.G.S. 6843, W. N. Logan). Ripley formation.-Old Tupelo road 5 
          miles east of Pontotoc (U.S.G.S. 6857, L. W. Stephenson). Pontotoc 
          County 4 miles southwest of Troy (U.S.G.S. 17261, L. W. Stephenson). 
          SW Y4 sec. 15, T 11 S, R 4 E, 0.4 mile east of Troy (U.S.G.S. 17259, 
          W. H. Monroe). Shannon Road Y4 mile east of Troy (U.S.G.S. 6471, L. W. 
          Stephenson). Stream bed near Mobile & Ohio Railroad about 5 miles 
          northeast of Houston, Chickasaw County (U.S.G.S. 6851, L. W. 
          Stephenson). 
               
          Arkansas: Saratoga chalk.-Clark County•1.6 miles southwest of Okolona 
          (U.S.G.S. 13403, L. W. Stephenson and Carle H. Dane). 2.3 miles 
          southwest of Okolona (U.S.G.S. 13405, 13407, L. W. Stephenson and 
          Carle H. Dane). 2.8 miles southwest of Okalona, west of road to 
          Nacatoch Bluff (U.S.G.S. 13550, L. W. Stephenson). Arkadelphia road 
          3.3 miles east of Okolona (U.S.G.S. 13549, L. W. Stephenson). Big 
          Deciper Creek 5.4 miles southwest of Arkadelphia (U.S.G.S. 13539, L. 
          W. Stephenson). 7.4 miles southwest of Arkadelphia (U.S.G.S. 13537, 
          L. W. Stephenson and Carle H. Dane). Okolona Road about 7.5 miles  | 
            | 
          
            southwest 
          of Arkadelphia (U.S.G.S. 13406, L. W. Stephenson and Carle H. Dane). 
          Ozan road 3.1 miles north of Washington, Hempstead County (U.S.G.S. 
          13408, L. W. Stephenson). Ozan road 3.2 miles north of Washington 
          (U.S.G.S. 13410, L. W. Stephenson). Road cut at north edge of 
          Saratoga, Howard County (U.S.G.S. 13404, L. W. Stephenson). Marlbrook 
          mari.-Big Deciper Creek 5 miles southwest of Arkadelphia on the lower 
          road to Okolona (U.S.G.S. 7460, L. W. Stephenson). Nacatoch sand.-Old 
          Marlbrook plantation 6 or 7 miles northeast of Washington (U.S.G.S. 
          7476, L. W. Stephenson). 2 miles northeast of Washington (U.S.G.S. 
          7469, L. W. Stephenson). 2.1 miles northeast of Washington (U.S.G.S. 
          7471, L. W. Stephenson).      
          
          Texas: Corsicana mari.-San Antonio road, Bexar County, 6 miles east of 
          Castroville road (U.S.G.S. 15502, 16156, 16667, L. W. Stephenson). 
          Earth tank just north of Castroville road 1 mile west of crossing of 
          Leon Creek, Bexar County (U.S.G.S. 15522, L. W. Stephenson). Standard 
          fuller's earth mine 1.25 mile south by east of Padrone Hill, 14 miles 
          west of San Antonio, Bexar County (U.S.G.S. 15520, L. W. Stephenson). 
          Road leading south from Castroville road just east of abandoned 
          fuller's earth pits 0.8 mile south of Castroville road, about 14 miles 
          west by south of San Antonio (U.S.G.S. 15623, L. W. Stephenson). Hill 
          south of the Seguin-San Antonio highway 2.5 miles west of MeQueeney, 
          Guadalupe County (U.S.G.S. 15523, L. W. Stephenson). Neylandsille 
          mari.-2.5 miles air line south of Ben Hur, Limestone County (U.S.G.S. 
          15543, L. W. Stephenson). 
              
          Geologic horizon.-Navarro group and equivalents 
          (Maestrictian). 
          
          Type.-Unknown; from Wahalak, Kemper County, Mississippi, probably from 
          Prairie Bluff chalk. Type of H. lacunosue Slocom, from Pontotoc, 
          Miss., Chicago Natural History Museum 10342, probably from Prairie 
          Bluff chalk. H. bexari Clark, from Bexar County, Texas, U.S.N.M. 8330. 
          Type of H. benhurensis Stephenson, from U.S.G.S. 15543, 2.5 miles 
          south of Ben Hur, Limestone County, from Neylandville marl, U.S.N. M. 
          76282. 
              
          Figured specimen.-U.S.N.M. 108398, from U.S.G.S. 6856. 
               
          Comparisons.-This species appears to have been mistaken for 
          Hemiaster stella (Morton), an Eocene species from New Jersey, by 
          Morton (1834, p. 78), D'Orbigny (1854-1860, p. 246), and Clark (1915, 
          p. 93), but it is not closely related to that species, differing in 
          shape, in the arrangement of its apical plates, and in other features. 
          It is higher in front and lower behind than Hemiaster bufo as figured 
          by D'Orbigny (1854-1860, pl. 873). It is easily distinguishable from 
          Hemiaster arcolensis Cooke, which occurs in a lower zone, by its 
          sunken tubercles. 
          
          planche 12 
          (extrait) 
          
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          Hemiaster wetherbyi
          de Loriol,1887  
        - Maastrichtien, 
          Prairie Bluff fm, Nixon sans member, Pontotoc, Mississippi, U.S.A., 33 mm  | 
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        Hemiaster whitei  
    (Clark,1891)  | 
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    | 
    description de 
    l'espèce par Clark | 
  
  
    | 
    The Mesozoic 
    Echinodermata of the United states, 1893, p.82 | 
  
  
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          Epiaster Whitei, 
          Clark. 
          Plate
          XLIII, Figs. 2a-d; 
          Plate XLIV, Figs. 1a-g. 
          
              
          Determinative characters.- Test small, cordiform ; upper 
          surface convex, elevated ; lower surface flat ; sides inflated ; aprex 
          forward of the center. Ambulacra moderately broad ; poriferous zones 
          petaloidal, pores with elongated openings ; antero-lateral pair bent 
          slightly backward in upper part. Apical disk oval. Mouth obening 
          transversely oval. Anal opening small, oval, situated high on 
          posterior border. 
              
          Dimensions.- Length, 1 1/2 inches ; width, 1 3/8 inches ; 
          height, 3/4 inch. 
              
          Description.- This species has been frequently confounded with
          Enallaster texanus and Epiaster elegans. With the former 
          it has little in common beyond a certains similarity in outward form, 
          while the points of difference from the latter are less striking and 
          will be shortly stated. 
               
          The test is small and cordiform. The upper surface is distinctly 
          elevated, the apex occupying a point anterior to the center. The lower 
          surface is flat with the exception of the peristomial depression. The 
          sides are inflated with a well marked groove at the center of the 
          anterior face and a prominent truncated surface on the posterior 
          margin. 
               
          The ambulacral areas are moderately broad. The poriferous zones are 
          subpetaloidal in their upper part, but this feature does not continue 
          to the margin (Pl. XLIII, Fig. 2c). The pores in the paired ambulacra 
          are all of about equal size and equally spaced. In the unpaired 
          ambulacrum they are smaller and nearer together. The antero-lateral 
          pair are bent slightly backward in their upper part. They are 
          distinctly larger than thepostero-laterals. 
           | 
            | 
          
                
          The interambulacral areas are prominent and the surface of the plates 
          covered with minute tubercles and microscopic granules (Pl. XLIV, Fig. 
          1c). 
               
          The apical disk is small, compact, and onsists of four large 
          perforated genital plates and five oculars. 
               
          The mouth opening is transversely subpentagonal and situated near the 
          anterior margin (Pl. XLIV, Figs. 1b, 1f). 
                
          The anal opening is small, oval, and situated high on the truncated 
          posterior margin (Pl. XLIII, Fig. 2b). 
              
          Related forms.-In many particulars Epiaster Whitei is to be 
          closely associated with E. elegans. It is, however, more elevated, the 
          ambulacrall furrows are shorter, and the anal opening is differently 
          situated, as previously mentioned in the description of the latter 
          species. 
              
          Locality and geological horizon.-Epiaster Whitei is from 
          the Washita formation of the Comanche series (lower Cretaceous) of 
          Texas. It is found in the Duck creek chalk of Denison, associated with
          Hamites Fremontii Marcou. 
              
          Collection.-U.S. National Museum. 
          
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          Hemiaster whitei  
    (Clark,1891)  
        - Albien, Goodland 
          formation, Fort Worth, Texas, 25 mm  | 
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    Genre  
    
    Bolbaster
    
    
    
     Pomel, 1869 
          Revue des 
          échinodermes et de leur classification, p.15 
          
    Espèce type
     Spatangus prunella
    Lamarck, 1816
     
    Histoire naturelle des 
    animaux sans vertèbres, p.33 
    Extension 
    stratigraphique (bibliographique, 
    non vérifiée) : crétacé 
    supérieur - Miocène 
    Syn. 
    
     
      - 
    
    
    Psephoaster
    McNamara, 1987, p.347 ; Espèce 
    type P. klydonos McNamara, 
    1987, synonyme subjectif plus récent   
      - 
    
    
    Amygdala Gray, 1825, p.31  
     
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    diagnose originale du 
    genre par Pomel | 
  
  
    | 
    Revue des échinodermes 
    et de leur classification, p. XV | 
  
  
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          | 
           Tels sont 
          bolbaster, caractérisé par des ambulacres à pores arrodis, par des 
          tubercules serrés fortement scrobiculés, et, au moins dans le h. 
          prunella, espèce typique, par les ambulacres postérieurs rugueux 
          et subfovéolés au plastron ; son fasciole est péripétal.  | 
         
       
      
     
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          Bolbaster prunella  
    (Lamarck,1816)  | 
            | 
         
       
      
     
     | 
  
  
    | 
      | 
  
  
    | 
    description de 
    l'espèce par d'Orbigny | 
  
  
    | 
    Paléontologie 
    française, terrains crétacés, tome VI, p.242 | 
  
  
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          N° 2180 Hemiaster prunella, 
          Desor, 1847. 
          Pl.881 
          
              
          Dimensions. Longueur totale, 20 millimètres. Par rapport à la 
          longueur : largeur, 90 centièmes ; hauteur, 80 centièmes. 
               
          Coquille ovale, presque ronde, un peu plus longue que large, 
          très-renflée, non échancrée en avant, et aussi large partout, dont la 
          hauteur a les 80 centièmes de la longueur, et dont le grand diamètre 
          transversal se trouve au milieu. Dessus également convexe, 
          très-arrondi en avant, s'élevant en décrivant une courbe régulière 
          jusqu'en dessus, o cette courbe est légèrement déprimée jusqu'à la 
          région anale très-légèrement tronquée. La plus grande hauteur règne 
          sur toutes les régions centrales du dessus. Le sommet est un peu en 
          arrière. Le pourtour est fortement arrondi et sa grande convexité 
          presque au milieu. Dessous très-convexe partout sans dépression 
          autour de la bouche. On remarque seulement en arrière, sur la région 
          médiane, une seule saille assez prononcée. Sillon antérieur peu 
          profond, et seulement marqué à l'ambulacre, sans se prolonger en 
          avant. Bouche petite, trigone, labiée, la lèvre inférieure 
          formant une grande saillie en dessous, placée au tiers antérieur. 
          Anus transverse, ovale, placé très-près du bord supérieur, et sans 
          aréa distincte. Ambulacres inégaux, très-superficiels. L'ambulacre 
          impair étroit, placé dans un court sillon et offrant de neuf à dix 
          paires de pores seulement. Chaque paire espacée, est placée dans une 
          dépression ovale, les deux pores séparés par une côte saillante. 
          Ambulacres pairs très-étroits, les antérieurs d'un tiers plus 
          longs que les autres, lancéolés, étroits ; on leur compte une 
          quinzaine de paires de pores espacés, très-lâches ; chaque paire 
          conjuguée, formée de pores oblongs et transverses. Chaque bande est le 
          double plus large que l'intervalle médian qui les sépare. Les 
          tubercules sont très-inégaux, très-serrés partout, très-petits en 
          dessus et grossissant des régions ambulacraires en dessous où sont les 
          plus gros. Tous sont entourés de scrobicules profonds. Le fasciole 
          forme un ovale tronqué en avant. 
              
          Rapports et différences. Cette espèce se distingue de toutes 
          celles qui précèdent par sa forme globuleuse, arrondie partout, sans 
          échancrure en avant, par ses ambulacres lancéolés, étroits, 
          superficiels et composés de pores espacés par sa bouche saillante 
          placée moins en avant. C'est un type spécial qu'on ne peut confondre. 
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          Histoire. Lamarck a décrit le premier cette espèce en y 
          rapportant avec raison le type des figures de l'Encyclopédie, pl. 158, 
          fig. 3, 4, qui représentent l'espèce de Maestricht, que Schlotheim en 
          1821, a nommée Echinus avellanurus. M. Deslongchamps, dans sa 
          compilation de l'Encyclopédie, l'a réunie, à tort, à l'H. Bufo, 
          et M. Des Moulins fait la même chose en y réunissant presque toutes 
          les espèces connues, les plus disparates entre elles. Cependant 
          Goldfuss la figure très-exactement, et elle aurait dû, dès lors, être 
          bien distinguée. Cependant MM. Agassiz et Desor y ont confondu 
          plusieurs autres espèces de la craie blanche de France, entre autres 
          nos H. punctatus, H. Koninckianus, comme on le verra à 
          ces espèces. Nous pouvons le dire d'une manière certaine, puisque nous 
          avons sous les yeux le nom écrit de la main de ces auteurs, sur des 
          étiquettes et des cartons de notre collection et de plusieurs autres. 
          M. de Koninck nous l'a communiqué sou les noms de Micraster 
          Faujasii, et de M. globosus, noms que nous ne pouvons 
          conserver. 
              
          Localité. Cette espèce est jusqu'à présent spéciale non 
          seulement à notre 22e étage sénonien, mais encore aux environs de 
          Maestricht, de Ciply et d'Otruppe. 
              
          Explication des figures. Pl. 881, fig. 1, grandeur naturelle ; 
          fig. 2,  coquille grosie, vue en dessus ; fig. 3, dessous ; fig. 
          4, profil longitudinal ; fig. 5, profil transversal, vu du côté de la 
          bouche ; fig. 6, côté opposé ; fig. 7, ambulacres grossis ; fig. 8, 
          pores de l'ambulacre impair, plus grossis ; fig. 9, pores de 
          l'ambulacre pair antérieur, grossis ; fig. 10, tubercules supérieurs, 
          grossis. De notre collection. 
          
          planche 881 
          (extrait) 
          
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        figuré, conservé 
        au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris 
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        figuré in
        d'Orbigny, 1854,  Paléontologie 
        française - Terrains crétacés - Echinodermes, t. 6, p.242 | 
  
  
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          Bolbaster prunella  
    (Lamarck,1816)  
        - Campanien, 
          Charente, 14 mm, morphe déprimé  | 
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          Bolbaster 
          prunella
          (Lamarck,1816) - 
          Maastrichtien, Eben Emael, Belgique, 18 mm  | 
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          Bolbaster 
          gauthieri
          (Peron,1877)  | 
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    diagnose originale de 
    l'espèce par Peron | 
  
  
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    Observations sur la 
    Faune des Calcaires à Echinides de Rennes-les-Bains et sur quelques Fossiles 
    du terrain crétacé supérieur, 1877, p.522 | 
  
  
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          Hemiaster Gauthieri, 
          Peron. 
          Pl. VII, fig. 
          6-6 c. 
               
          Espèce arrondie, à pourtour épais, peu renflée. Face supérieure 
          presque plane, légèrement déclive en avant ; face inférieure 
          très-convexe. Sommet un peu excentrique en arrière. Péristome à fleur 
          de test, ovale, sinueux, pourvu d'une lèvre mince. Périprocte ovale, 
          longitudinal. 
               
          Ambulacre impair long, étroit, situé dans un sillon peu profond, qui 
          disparaît à peu près complètement au pourtour, où l'on distingue à 
          peine une légère dépression. Paires de pores espacées ; pores 
          très-petits, ronds, très-rapprochés dans chaque paire et séparés par 
          un granule. L'aire interporifère est semée de quelques granules et de 
          quelques petits tubercules. 
               
          Ambulacres pairs très-inégaux, les postérieurs n'ayant que le quart 
          des antérieurs, larges, pétaliformes, très-peu excavés. Pores larges, 
          oblongs, obliques et rapprochés dans chaque paire, légèrement 
          conjugués. Zone médiane aussi large que l'une des zones porifères. 
               
          Tubercules très-inégaux et irrégulièrement disséminés, plus gros près 
          du sommet. Granules assez rares et ne dessinant pas de scrobicules. 
          Fasciole large, apparent, peu sinueux. 
               
          Plus grande dimension connue, 22mm. Echantillon figuré : longueur, 
          20mm ; largeur, 20mm ; hauteur, 14mm. 
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          L'H. Gauthieri diffère de l'H. Leymeriei par sa taille 
          plus petite, sa face supérieure moins renflée et moins saillante, ses 
          ambulacres moins profonds, sa partie postérieure bien moins acuminée. 
               
          Il est beaucoup plus voisin de l'H. nasutulus, dont il a la 
          taille et la forme arrondie ; mais ce dernier est moins large ; ses 
          ambulacres sont plus étroits ; ses tubercules sont entourés d'un 
          scrobicule ; son périprocte est transversal, au lieu d'être 
          longitudinal ; et il diffère encore par beaucoup de détails. 
               
          L'espèce dont l'H. Gauthieri se rapproche le plus est l'H. 
          Aumalensis, Coq., d'Algérie. Ce dernier se distingue toutefois par 
          ses ambulacres pairs plus grands et plus larges, par ses pores plus 
          longs, par son pourtour plus polygonal, par sa taille plus grande, 
          etc. 
          
          planche VII 
          (extrait) 
          
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        syntypes, 
        conservés au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris 
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        figurés in
        Peron, 1877, 
        Note 
        sur la place des calcaires à échinides de Rennes-les-Bains (Aude) et sur 
        la classification du terrain turonien supérieur, p.522 | 
  
  
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          Bolbaster 
          gauthieri
          (Peron,1877) - 
          Cénomanien supérieur, Charente Maritime, 13 mm  | 
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        Bolbaster 
          koninckanus 
          (D'Orbigny,1855)  | 
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    diagnose originale de 
    l'espèce par d'Orbigny | 
  
  
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    Paléontologie 
    française, terrains crétacés, tome VI, p.250 | 
  
  
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          N° 2184 Hemiaster Koninckanus, 
          d'Orb., 1854. 
          Pl.885 
              
          Echinides, Faujas, 1791, Maestricht, pl. 30, fig. 2, p. 171. 
              
          Dimensions. Longueur totale, 26 millimètres. Par rapport à la 
          longueur : largeur, 100 centièmes ; hauteur, 85 centièmes. 
              
          Coquille aussi large que longue, très-renflée, non échancrée en 
          avant, beaucoup plus large, et un peu tronquée en avant, un peu 
          acuminée en arrière, dont la hauteur a les 85 centièmes de la longueur 
          et dont le grand diamètre transversal se trouve un peu en avant du 
          milieu. Dessus très-convexe, arrondi en avant, la courbe se 
          continuant jusqu'au sommet, puis s'élève encore en arrière, où se 
          trouve la plus grande hauteur, le courbe continue ensuite jusqu'à l'aréa 
          anale qui surplombe. Le sommet, un peu déprimé, se trouve en arrière. 
          Le pourtour, fortement arrondi, montre cependant sa grande convexité 
          presque à la base. Dessous très-convexe, surtout aux régions 
          moyennes postérieures. Sillon antérieur marqué seulement 
          jusqu'au fasciole. Bouche transverse, placée aux deux tiers 
          antérieurs. Anus ovale transversalement, placé à la partie 
          supérieure d'une aréa non creusée. Ambulacre impair aussi long 
          que les autres, et offrant de 10 à 12 paires de pores, ronds, petits, 
          séparés par une côte transverse. Ambulacres pairs étroits, 
          très-divergents, lancéolés, les antérieurs d'un tiers plus longs que 
          les autres, on leur compte 32 paires de pores ovales, conjugués par un 
          sillon, les zones égales en largeur à l'intervalle qui les sépare. Les
          tubercules sont très-serrés partout. Ceux de dessus sont 
          petits, entourés de scrobicules profonds ; ceux de dessous sont bien 
          plus gros. Le fasciole est trois fois sinueux en avant, et 
          acuminé en arrière. 
              
          Rapports et différences. Cette espèce nous a été envoyée par M. 
          de Koninck, sous le nom d'H. Bufo, dont elle diffère par sa 
          forme par son fasciole et ses tubercules serrés. Elle nous paraît plus 
          voisine de l'H. prunella par ses tubercules, son ensemble 
          renflé et ses ambulacres étroits. Cependant elle s'en distingue par sa
           
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           plus grande 
          largeur et hauteur proportionnelle, par sa plus grande hauteur en 
          arrière, par son dessus déprimé au sommet et déclive dans son 
          ensemble, par plus de paires de pores aux ambulacres pairs, et enfin 
          par l'intervalle des zones de ceux-ci, aussi large que les zones 
          elles-mêmes. Elle avait, du reste, été figurée par Faujas. 
              
          Localité. Nous avons sous les yeux deux échantillons, l'un 
          recueilli à Maestricht, par M. de Koninck, l'autre rencontré à Cypli 
          (Belgique), par M. d'Archiac. Tous les deux dans notre 22e étage 
          sénonien ou craie blanche. 
              
          Explication des figures. Pl. 885, fig. 1, grandeur naturelle ; 
          fig. 2, coquille grossie, en dessus ; fig. 3, dessous ; fig. 4, profil 
          longitudinal ; fig. 5, profil transversal, vu du côté de la bouche ; 
          fig. 6, le même, du côté opposé ; fig. 7, ambulacres grossis ; fig. 8, 
          pores de l'ambulacre impair grossis ; fig. 9, pores de l'ambulacre 
          pair antérieur grossis. 
          
          planche 885 
          (extrait) 
          
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          Bolbaster 
          koninckanus 
          (D'Orbigny,1855) - 
          Maastrichtien, Haute-Garonne, 30 mm  | 
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          Bolbaster 
          koninckanus 
          (D'Orbigny,1855) - 
          Juvénile, Maastrichtien, Haute-Garonne, 12 mm  | 
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          Bolbaster planedeclivis (Gregory,1890)  | 
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    diagnose originale de 
    l'espèce par Gregory, 1890 | 
  
  
    | 
    Some additions to the 
    australian tertiary Echinoidea, p.488 | 
  
  
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           Hemiaster planedeclivis, sp. nov. PI. XIV. Figs. 6 and 7. 
               
          Pentagonal ; thick with tumid sicles : the abactinal surface is 
          depressed and flat, and slopes gently forward from the vertex : the 
          posterior side is steep, alrnost vertical. 
              
          Apical area excentric pcsteriorly : in front of the vertex. 
          Construction not fully known it is ethwolysian, and there are two 
          large pores in the antero-lateral basais. The postero-lateral basais 
          apparently also bear a pore each. 
              
          Ambulacra : the anterior is long and narrow with small pores : 
          it is loclged in a slight depression. The petaloid portions of the 
          lateral pairs are in broader and shorter depressions. The anterior 
          pair are slightly sinuons and nearly twice as long as the posterior. 
              
          Fasciole : peripetalous : it is irregularly hexagonal : the 
          anterior side broadens considerably in the middle. The fasciole is 
          always wider where it traverses an ambulacrum. 
              
          Anus: high on the posterior margin. 
              
          Mouth: at a moderato distance from the anterior margin : the 
          labium is strongly projecting.     
            
          
          
          
          Distribution. — Middle Murravian, Morgan, South Australia (preserved 
          in the Ipswich Museum). 
          Remarks.—Hemiaster 
          planedeclivis is a species of a very Cretaceons aspect, and its 
          closest affinity is with the group of which H. fourneli, Desh.
          H nucleus, Des., and H. palpebratus, Lor, are typical 
          representatives : it has the high posterior vertex, the tumid sicles; 
          the flat abactinal surface, the almost vertical posterior margin, the 
          small posterior petals, and well•developed labrum winch is 
          characteristic of this group. Nevertheless it differs clearly from any 
          described species ; thus from H. palpebratus it can be readily 
          distiuguished by the greater flatness of its abactinal surface, and 
          the absence of the tumid antero-lateral interradii seen in that 
          species. The widely-distributed fourneli is   | 
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          probably its nearest aily, and 
          from this it may readily be separated by its greater breadth and the 
          flatness of the upper side. From the whole of this group of 
          Hemiasters, in fact, the flatness of the abactinal slope, the 
          proportions of the pairs of petals, and the irregularity of the 
          fasciole form a combination of characters that enable this species to 
          be easily distinguished. 
          
          The genus Hemiasler has 
          not been hitherto described from. Australia, but a species is known 
          from New Zealand. H. planedeclivis belongs, however, to a very 
          different group to this H. posita, Hutton, which has a cordate, 
          inflated test, with the pores on the inner side of the postero-lateral 
          ambulacra obliterated near the apical area. Moreover, the latter 
          species is said in the diagnosis to have neither subanal nor 
          peripetalous fasciole. If this be correct, the species is not a 
          Hemiaster, but must be transferred to the genus Epiaster. 
          
          The generic determination of 
          this Echinoid may be considered doubtful by the French palœontologists 
          who separate from Hemiaster all the Cainozoic forms. But apart 
          from the disputed question of the validity of the new genera to which 
          these species are referred, the affinities of H. planedeclivis 
          are so distinctly with the Cretaceous group that it must be regarded 
          as a truc typical Hemiaster. 
          
          planche XIV 
          (extrait) 
          
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          Bolbaster planedeclivis (Gregory,1890)  
        - Miocène 
          inférieur, Gambier limestone, Australie du Sud, 18 mm  | 
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    Genre  
    
    Holanthus
    
    
    
     Lambert & Thiery, 1924 
          Essai de 
          nomenclature raisonnée des échinides, p.505 
          
    Espèce type
     Hemiaster hickmanni
    Koehler, 1914
     
    An account of the 
    Echinoidea (Echin. of the Indian Mus.), p.VIII, p.142 (désignation originale) 
    Extension 
    stratigraphique (bibliographique, 
    non vérifiée) : Maastrichtien - 
    Actuel  | 
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    diagnose originale du 
    genre par Lambert & Thiery | 
  
  
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    Essai de nomenclature 
    raisonnée des échinides, p.505 | 
  
  
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           7° section :
          HOLANTHUS Lambert et 
          Thiéry 
          Test plus ou moins renflé, sans sillon antérieur, avec très larges 
          pétales pairs. 
          
          Type : H. hickmanni 
          Koehler, 1622, p. 142, pl. 7, f. 4-10, de l'Océan indien.  | 
         
       
      
     
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          Holanthus vadosus 
          (Gregory,1891)  | 
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    diagnose originale de 
    l'espèce par Gregory, 1891 | 
  
  
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    The maltese fossil 
    echinoidea, and their evidence on the correlation of the maltese rocks, p.27 
    [611] | 
  
  
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           Species 3.
          Hemiaster vadosus, 
          n. sp. Plate II. fig. 6a–d. 
           
     Diagnosis.—Shape--Well rounded, but with a 
          slight tendency to become hexagonal. There is no notch in the anterior 
          margin. The posterior margin is high, and nearly vertical. The 
          greatest width is at a third of the length of the test from the 
          anterior end. When seen from the side it appears high, and with tumid 
          sides ; there is a slight depression below the anus. The highest point 
          is close to the posterior margin ; thence there is a gentle slope 
          forward to the steep, well-eurved anterior margin. 
               
          Ambulacra : Petals broad, short, and but slightly depressed ; 
          anterior ambulacrum narrow ; the depression disappears where crossed 
          by the fasciole. The antero-lateral ambulacra are broad, shallow, and 
          blunt ; one and a hall times as long as the posterolateral. These are 
          curved backward beside the raised posterior interradius. 
              
          Interradii : The postero-lateral pair are wide near the apical 
          system ; the corresponding portions of the antero-lateral pair are 
          sharp, and bear coarser tubercles than elsewhere. 
              
          Fasciole wide, distinct, and fairly regular in its course. 
              
          Apical system excentric posteriorly ; three genital pores ; 
          ethmophract, madreporite small and raised. 
              
          Anus elongated, oval ; placed above a depression in the 
          posterior margin. Anus just visible from above. 
              
          Mouth strongly bilabiate. 
              
          Dimensions— 
          
              
          Distribution.—Malta—Globigerina Limestone (beds b, &c.). Citta 
          Vecchia—Nodule Seam No. 4, Fommer Reh. 
              
          Remarks.—This pretty little species may be readily 
          distinguished from Hemiaster scillae, which also occurs in the 
          nodule seams, by the fact that in the latter species the apical system 
          is slightly before the centre, the greatest width is across the same 
          point, and that ,the greatest height is at some distance from the 
          posterior margin. The measurements above quoted, especially those 
          marked by an asterisk, bring out the principal points of difference ; 
          but in addition to there there is the greater depression of the petals 
          in H. scillae. 
               
          Professor LOVEN has pointed out that the Echinoids that inhabit deep 
          water have their petals less impressed than those that live in 
          shallower seas. If this character can be relied on, then the zones on 
          which this species occurs may mark periods of especial depression in 
          the Maltese area. The species may, in fact, be the deep-sea 
          representative or variety of H scillae. Apart from the other varieties, 
          the difference in the petals seems quite of specific value. The 
          species, however, helps to throw doubt on the advisability of 
          classifying the Spatangoids into those with flush petals (Spatangidae, 
          and those with depressed petals (Brissidae), as is at present done by 
          some eminent foreign Echinologists. A character that may be 
          independently acquired at any time by a mere migration to deeper water 
          is not one that can be adopted as a family character. 
               
          This species agrees more closely with Hemiaster gibbosus, A. 
          Ag., than with any fossil species that I know. It differs from this 
          deep-sea form in that this has the posterior margin more vertical, and 
          the maximum width at the posterior end (see Professor A. AGASSIZ's 
          figure, No. 6). As the apical dise is ethmophract, it belongs to 
          Hemiaster even as limited by M. POMEL. 
          
          Planche II 
          (extrait) 
          
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          Holanthus vadosus 
          (Gregory,1891)  - 
          Lower Globigerina Limestone, Malte, 22 mm  | 
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    Genre  
    
    Jordaniaster
    
    
    
     Neumann,1999 
    New spatangoid 
    echinoids (Echinodermata) from Upper Cretaceous of Jordan : their taxonomy 
    and phylogenetic importance, p.176 
          
    Espèce type
     Jordaniaster husseini
    Neumann,1999 
     
    ibid., p.176 
    
    Extension 
    stratigraphique (bibliographique, 
    non vérifiée) : Cénomanien 
    inférieur  | 
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    diagnose originale du 
    genre par Neumann,1999 | 
  
  
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    New spatangoid 
    echinoids (Echinodermata) from Upper Cretaceous of Jordan : their taxonomy 
    and phylogenetic importance, p.176 | 
  
  
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           Genus 
          Jordaniasler gen. nov. 
           
          Derivation of name: Jordan - from the Hashemite Kingdom of Jordan, and 
          aster - star. 
          Type species'. Jordaniaster hussenii sp. nov. 
          Diagnosis: A medium-sized spatangoid with cordiform outline and a flat 
          base. Frontal groove narrow, moderately deep, with a weak frontal 
          sulcus. Posterior surface steep, truncate and slightly indented. 
          Apical system tetrabasal, anterior of centre, ethmolytic; thus the 
          madreporite separates the posterior genital plates but not the 
          posterior ocular plates. Labral plate long. Plastron protamphisternous, 
          the mid-sternal suture does not meet the labral plate. Paired petals 
          narrow, equal in length, long, deeply depressed and remain open 
          distally. Angle of posterior paired petals significantly narrower than 
          anterior. lnconspicuous but complete peripetalous fasciole (parafasciole). 
          No other fascioles. Primary tubercles on the aboral side small, 
          undifferentiated and sparsely diskibuted. 
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    diagnose originale du 
    genre par Neumann,1999 | 
  
  
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    New spatangoid 
    echinoids (Echinodermata) from Upper Cretaceous of Jordan : their taxonomy 
    and phylogenetic importance, p.176 | 
  
  
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          Jordaniaster husselni sp. nov. 
          (Pl. 1A-D; Fig. 2A-D) 
           
     Syn: 1999, Micrasteridae indet. NEUMANN, p. 365, fig. 
          5, 8-12 
  
          Derivation of 
          name: ln honour of King Hussein I of Jordan (1935-1999). 
          Types: Holotype MBE 2882.
           
  
          Other 
          Material studied: Apart from the holotype, only one specimen (CNC 
          To005) was sufüciently well preserved for measurements. Three 
          fragmented, distorted or otheruise imperfect specimens are also known. 
          Stratigraphical and geo raphical occurrence: Lower Cenomanian 
          fossiliferous marls at Wadi Salihi near the town of Rumeimin, north of 
          Amman. The marls belong to Member 2 of the Rumeimin Formation of the 
          Ajlun Group which overlies the Lower Cretaceous Kumub-Sandstone (Locality 
          1 of BANDEL & GEys 1985). lt is associated with the regular echinoids
          Tetragramma vaiolare and Trochotiara moabitorum. 
          Diagnosis: As for the genus. 
          Description. Size and shape: A mediumsized spatangoid with a 
          subcordiform outline. The two reasonably well preserved specimens are 
          55.1 mm and 43.5 mm in length and 48.6 mm and 39.4 mm in width (test 
          width is 88.2 % and 90.5 % ofthe test length). ln height the tests are 
          26.5 mm and 24.4 mm (48.1 % and 56.1 % ofthe test length). The widest 
          point of the test lies 35.7Vo (35.60/0) of the test length from the 
          anterior border and the tallest point on the test posterior to the 
          apical disc at 49% (53.7 o/o) of the test length from the anterior 
          border. The test is slightly indented both anteriorly and posteriorly. 
          The anterior ambulacrum is sunken, forming a moderately narrow and 
          shallow frontal groove and the anterior margin is forming a weak 
          frontal sulcus. The anterior interambulacral surfaces are flattish to 
          slightly concave. The posterior interambulacrum forms a low crest 
          behind the apical disc. 
          ln profile, the test is shallow and has a flat base and a flaftish 
          top. The dorsal surface slopes relatively steeply anteriorly and 
          continues with a smooth curve around the ambitus. To the posterior, 
          the dorsal surface slopes in a much lower angle with a sharp break at 
          the posterior surface. The posterior surface is steep, thus the 
          periproct is not visible from above. The labral plate is long and 
          narow, about 25.20Ä of the test length. The suture separating the 
          succeeding stemal plates extends asymmetrically and does not meet the 
          labral plate. 
          Apical system: The apical system is semiethmolythic, tetrabasal, 
          compact and lies anterior of centre, 36.20lo (32.9%) from the anterior 
          border. Genital plate 2 is considerably larger than the other genital 
          plates and separates the two posterior ones. The posterior oculars 
          remain in contact behind the madreporite. The apical disc is markedly 
          sunken below the adjacent interambulacral zones. 
          Ambulacra: Petals are straight, deeply sunken and narrow but remain 
          open distally. Anterior and posterior petals are nearly equal in 
          length. The angle of the posterior paired petals is considerably 
          narrower (45°) than that of the anterior petals which has an angle of 
          65'. Pores in the paired petals are elongate isopores, long, slit.like 
          and equal in the inner and outer branches of the petals. The perradial 
          channel between the two columns of petal pores is moderately narrow. 
          The anterior ambulacrum is deeply sunken. Here, the  pores are 
          slit.like, arranged en chevron and separated by a granule. There are 
          21 pores in each branch between the apical disc and the peripetalous 
          fasciole. The bottom of the frontal groove is smooth. Derived 
          subanalpores are found below the periproct but remain small and under-developed. 
          Peristome: The peristome lies marginally, 18.'lo/o (26.90/o) of the 
          test length from the anterior border. lt is about one and a half time 
          as broad as long and the labrum projects slightly into it. Phyllodal 
          pores are welldeveloped. There are two phyllode pores in the anterior 
          ambulacum, 4-5 in the lateral ambulacra and 3 in the posterior 
          ambulacra. 
          Periproct: The periproct is small, oval and slightly pointed in 
          outline with its long axis vertical. lts height is 3.3 mm and its 
          width 2.6 mm. lts base is 50.2 o/o of the test height above the base 
          of the test. 
          Fascioles and tuberculation: A narrow and inconspicuous, but complete 
          fasciole runs beneath the petals. lt is developed as a parafasciole 
          sensu NERAUDEAU et al. (1998). It includes some primary tubercles and 
          shows 
          a progressive transition to the surrounding tuberculation. The 
          fasciole is best developed at the distal ends of the paired petals. 
          Aboral tubercles are very small and scattered. Miliary tubercles are 
          abundant and densely packed between the primary tubercles. On the oral 
          surface, lateroventral and plastron tubercles are larger, more densely 
          packed and show areole enlargement towards the posterior. The 
          periplastronal ambulacra are nearly smooth and covered with scattered 
          small primary tubercles. Ambulacra on the oral surface are more or 
          less smooth.  
          
          
           
          Remarks: ln some characters, Jordaniaster husseini resembles 
          Palhemiaster comanchei (CLARK) from the Upper Albian of Texas as 
          figured by Cooke (1946, pl. 32, fig.6, 7), but can be distinguished 
          from this species by the more cordiform outline with a deeper frontal 
          sulcus, the anterior position of the apical system, the narrower angle 
          of the posterior paired petals and the complete peripetalous 
          parafasciole. The posterior petals of Palhemiaster are shorter 
          whereas the posterior and anterior paired petals of Jordaniaster 
          are nearly equal in length. Moreover, the aboral tuberculation is much 
          coarser and denser in Palhemiaster.  
          
          Planches 1 
          (extrait) 
          
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          Jordaniaster husseini
        Neumann,1999  | 
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          Jordaniaster husseini 
          Neumann,1999  - 
          Cénomanien, Hammamat Ma'In, Jordanie, 36 mm  | 
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          Jordaniaster husseini 
          Neumann,1999  - 
          Cénomanien, Hammamat Ma'In, Jordanie, 32 mm  | 
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    Genre   
    
    Leiostomaster
    
    
    
     Lambert, 1920 
    Sur quelques genres 
    nouveaux d'échinides, p.163 
          
    Espèce type
     Leiostomaster gentili
    Lambert, 1920
    
     Sur 
    quelques genres nouveaux d'échinides, p.163, désignation originale 
    
    Extension 
    stratigraphique (bibliographique, 
    non vérifiée) : Sénonien - 
    Actuel 
    Syn. 
    
     
      - 
    
    Psephoaster
    McNamara, 1987, p.347 ; Espèce 
    type P. klydonos McNamara, 
    1987, synonyme subjectif plus récent   
     
          
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    diagnose originale par 
    Lambert,1920 | 
  
  
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    Sur quelques genres 
    nouveaux d'échinides, p.163 | 
  
  
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           Genre 
          Leiostomaster Lambert 
               Test 
          renflé, presque subglobuleux, mais rostré en arrière, formé de plaques 
          convexes, qui lui donnent un aspect bosselé assez particulier. Face 
          supérieure haute, obliquement tronquée en arrière et terminée par un 
          rostre qui résulte de la forte saillie terminale du plastron. Face 
          inférieure convexe, un peu plus étroite en arrière. Aires 
          interambulacraires formées de hautes plaques, faisant saillies entre 
          les pétales. Apex excentrique en avant, à quatre pores génitaux. 
          Pétales hétérogènes, les pairs courts et profondément excavés, 
          rappelant ceux des Hemiasterinae pseudovivipares, avec zone 
          interporifère tuberculeuse, les antérieurs droits, les postérieurs 
          subflexueux, peu divergents ; pores allongés, assez espacés, non 
          conjugués ; pores du pétale impair assez rapprochés ; péristome peu 
          excentrique, très éloigné du bord, pentagonal, entouré d'une zone 
          aréolaire d'apparence lisse, en réalité très finement vermiculé. 
          Périprocte ovale, s'ouvrant très haut. Plastron étroit, saillant, 
          amphisterne, dont les sternales sont très inégales, 2 plus petit et 
          sans contact avec le labrum 1, dont la sépare 1', comme chez 
          Lambertiaster. Tubercules crénelés, perforés, dont le cône repose 
          sur un socle oblique, peu saillant, mais scrobiculés dans l'enceinte 
          du fasciole péripétale et à la face inférieure. Radioles relativement 
          assez longs, paraissant avoir recouvert les pétales pairs.  | 
            | 
          
                
          Type : L. Gentili Lambert, recueilli par M. Gentil dans le 
          Sénonien supérieur des environs de Mascara et retrouvé par M. Dalloni 
          au Djebel Sourkaldjenone (Algérie). Une autre espèce, L. Bigoneti 
          Cotteau (Hemiaster), aussi du Sénonien supérieur d l'Algérie. 
               Ce 
          genre Leiostomaster, en raison de la forme de son péristome, se 
          place dans la sous-famille des Paleostomidae, mais il semble 
          dériver plutôt des Hemiaster du groupe verrucosus 
          (sous-genre Vomeraster que des premiers Paléostomes, comme 
          Douvillaster. Ses rapports s'établissent donc surtout avec 
          Lambertiaster de Paleostoma ; mais il se distingue du 
          premier par ses pétales excavés et son fasciole circonscrivant 
          l'extrémité des pétales, du second encore par ses pétales plus 
          profonds et par son péristome aréolé.    | 
         
       
      
     
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          Leiostomaster verrucosus  
          (Coquand,1862)  | 
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    | 
    diagnose originale de 
    l'espèce par Coquand,1862 | 
  
  
    | 
    Géologie et 
    paléontologie de la région Sud de la province de constantine, p.327 | 
  
  
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      | 
  
  
    
    
      
      
        
          | 
           288. - 
          Hemiaster verrucosus H. Coq., 
          Pl. XXXV, fig. 20 et 21. 
               
          Long. : 24 mill. ; largeur : 23 mill. ; hauteur : 18 mill. 
               
          Coquille ovale, presque aussi large que longue, très élargie et à 
          peine sinueuse en avant, rétrécie et pyriforme en arrière, dont le 
          grand diamètre transversal est au tiers antérieur ; dessus convexe, 
          arrondi en avant, de là en pente déclive, arquée, s'élevant jusqu'en 
          arrière du sommet où se trouve la partie la plus haute, puis 
          s'abaissant jusqu'à l'aréa anale, suivant une ligne oblique, formant 
          avec celle de la base un angle de plus de 60° ; dessous peu convexe, 
          excavé autour de la bouche et se terminant en forme de poire vers la 
          région anale ; bouche transverse ; anus ovale, acuminé à ses deux 
          extrémités, ouvert à la partie supérieure d'une aréa peu prononcée ; 
          ambulacres très inégaux, profondément creusés ; ambulacre impair droit 
          ; ambulacres pairs, très inégaux ; les antérieurs deux fois aussi 
          longs que les autres, arqués fortement en dedans, surtout les 
          postérieurs, qui sont sinueux. Les zones sont égales en   | 
            | 
          
           largeur à 
          l'intervalle qui les sépare. Les pores allongés sont par paires, non 
          conjugués. Les plaques dont est formée la coquille sont polygonales, 
          bombées dans leur centre, nettement séparées les unes des autres par 
          des sutures profondes, et de plus, elles sont couvertes d'un nombre 
          considérable de tubercules ronds et saillants, qui donnent à la 
          surface extérieure l'apparence et la rudesse d'une peau de chagrin. Ce 
          dernier caractère suffit pour distinguer cette espèce de tous les 
          autres Hemiaster. 
               
          Elle a été recueillie par M. Nicaise, au nord d'Aumale, dans l'étage 
          rhotomagien. 
             | 
         
       
      
     
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          Leiostomaster verrucosus  
          (Coquand,1862)  - 
          Coniacien, Huesca, Espagne, 16 mm  | 
            | 
         
       
      
     
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          Leiostomaster verrucosus  
          (Coquand,1862)  - 
          Coniacien, Huesca, Espagne, 26 mm  | 
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          Leiostomaster verrucosus  
          (Coquand,1862)  - 
          Coniacien, Huesca, Espagne, 29 mm  | 
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    Genre  
    
    Leymeriaster
    
    
    
     Lambert & Thiery, 1924 
          Essai de 
          nomenclature raisonnée des échinides, p.500 
          
    Espèce type
     Hemiaster leymeriei
    Desor in
    Agassiz & Desor, 1847
     
    Catalogue raisonné des 
    échinides, p.122 (désignation originale) 
    Extension 
    stratigraphique (bibliographique, 
    non vérifiée) : Cénomanien - 
    Maastrichtien  | 
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    | 
    diagnose originale du 
    genre par Lambert & Thiery | 
  
  
    | 
    Essai de nomenclature 
    raisonnée des échinides, p.500 | 
  
  
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          | 
           2° section :
          leymeriaster Lambert et 
          Thiéry 
          Test médiocrement renflé, à sillon peu profond et pétales pairs très 
          inégaux, les postérieurs très courts. 
          
          Type : H. Leymeriei 
          Desor, du Turonien, 1071, p. 232, pl. 875 (non Hébert).  | 
         
       
      
     
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          Leymeriaster leymeriei 
          (Desor,1855)  | 
            | 
         
       
      
     
     | 
  
  
    | 
    , | 
  
  
    | 
    description de 
    l'espèce par Cotteau | 
  
  
    | 
    Paléontologie 
    française, terrains crétacés, échinides irréguliers, t.VI, p.232 | 
  
  
    | 
      | 
  
  
    
    
      
      
        
          | 
           
          N° 2172 Hemiaster leymeriei, 
          Desor., 1847. 
          Pl.875 
               
          Hemiaster Leymeriei, Desor, 1847. Catal. rais., p. 122. 
               
          Id. d'Orb., 1847. Prod., 2, p. 270 ; étage 22e, n° 
          1176. 
              
          Dimensions. Longueur totale, (10 millimètres. Par rapport à la 
          longueur : largeur, 05 centièmes ; hauteur, 72 centièmes. 
               
          Coquille ovale, moins large que longue, élargie et il peine 
          échancrée en avant, rétrécie et un peu acuminée ri arrière, dont la 
          hauteur a les 72 centièmes de la lontueur, et dont le grand diamètre 
          transversal se trouve presque au tiers antérieur. Dessus, 
          convexe, arrondi en avant, de là s'élevant en s'arrondissant jusqu'en 
          avant du sommet, on se trouve la plus grande épaisseur, puis 
          s'ondulant jusqu'à l'aréa anale, trou finie obliquement et presque 
          perpendiculairement. Le sommet est en avant de la moitié de la 
          longueur. Les deux aires interambulacraires antérieures forment comme 
          deux côtes saillantes convergentes. Le pourtour très-arrondi est près 
          de la base. On remarque sur les aires interambulacraires latérales 
          deux séries de légères saillies. Dessous peu convexe, creusé 
          autour de la bouche, un peu renflé en toit à la partie médiane 
          postérieure. Sillon antérieur très creusé près du sommet et 
          s'effaçant au pourtour. Bouche transverse, fortement bordée, 
          placée en avant des deux tiers de la longueur. Anus ovale, placé 
          très-près du bord supérieur de l'aréa anale. Ambulacres 
          très-inégaux, très-excavés. L'ambulacre impair placé dans le 
          sillon antérieur ; les zones sont étroites, formées de pores obliques, 
          séparées par une saillie. Ambulacres pairs, les antérieurs 
          trois fois aussi longs que les autres, droits, fortement creusés, les 
          zones sont égales en largeur à l'intervalle qui les sépare, pourvues 
          de pores conjugués, allongés et distants. Les ambulacres 
          postérieurs sont presque ronds, assez profonds. Les tubercules 
          sont de trois sortes : très-espacés et petits en avant, très-serrés et 
          petits sur les côtés et en arrière, très-gros en dessous. Le 
          fasciole entoure de près les ambulacres latéraux ; mais nous 
          n'avons pu le découvrir en avant.  | 
            | 
          
               
          Rapports et différences. Voisine de l'H. similis par ses 
          ambuacres inégaux et par ses tubercules rapprochés en arrière, cette 
          espèce s'en distingue nettement par moins de hauteur, par sa région 
          antérieure plus haute, par sa plus grande épaisseur en avant du sommet 
          au lieu de l'avoir en arrière. 
              
          Localité. Nous avons recueilli cette espèce dans l'étage 
          turonien de Saint-Christophe (Indre-et-Loire); et aux environs de 
          Châtellerault (Vienne). M. Bourgeois l'a rencontrée à Ardus 
          (Loir-et-Cher); M. d'Archiac, à Thaims et à Pons (CharenteInferieure); 
          M. Koechlin-Schlumherger, à Uchaux (Vaucluse). 
              
          Explication des figures. Pl. 875, fig. 1, coquille de grandeur 
          naturelle, vue en dessus; fig. 2, la même, vue en dessous; fig. 3, la 
          même? de profil ; fig. 4, profil transversal, vu du côté de la bouche; 
          fig. 5, le même, du côté de l'anus; fig. 6, ambulacres grossis ; fig. 
          7, pores de l'ambulacre impair, grossis ; 1i g. S, pores de 
          l'ambulacre pair antérieur, grossis. De notre collection. 
          
          planche 875 
          (extrait) 
          
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        figuré, conservé 
        au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris 
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        figuré in
        d'Orbigny, 1854, 
        
        Paléontologie française - Terrains crétacés - Echinodermes, t. 6, 
        p.232 | 
  
  
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        figuré, conservé 
        au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris 
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        figuré in
        Gauthier, 1889, 
        Note 
        sur les échinides crétacés recueillis par M. de Grossouvre, p.532 | 
  
  
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        figuré, conservé 
        au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris 
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        figuré in
        Neraudeau & al., 1998, 
        
        Tuberculation in spatangoid fascioles : delineating plausible 
        homologies, p.327 | 
  
  
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          Leymeriaster leymeriei 
          (Desor,1855)  - 
          Cénomanien supérieur, Port-des-Barques, Charente Maritime, 17 mm   | 
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          Leymeriaster eluvialis
        van der Ham,1995  | 
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    diagnose originale de 
    l'espèce par van der Ham,1995, p.153 | 
  
  
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    Hemiaster (Leymeriaster) 
    eluvialis, a new echinoid from the late Maastrichtian of NE Belgium and 
    SE Netherlands | 
  
  
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    reproduit avec l'aimable 
    autorisation de l'Institut Royal des Sciences Naturelles de Belgique  | 
  
  
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           Order 
          Spatangoida CLAUS, 1876 
          Suborder Hemiasterina FISCHER in MOORE, 1966 
          Family HEMIASTERIDAE CLARK, 1917 
          Genus Hemiaster DESOR in AGASSIZ & DESOR, 1847 
          Subgenus Leymeriaster LAMBERT & TH1ÉRY, 1924 
          Original 
          diagnosis : Test moderately inflated, with weakly depressed 
          anterior ambulacrum and very unequal petals, the posterior ones being 
          very ort. 
          Type species 
          (original designation). Hemiaster leymeriei DESOR in AGASSIZ & 
          DESOR, 1847 
            
          
          Hemiaster (Leymeriaster) eluvialis sp. nov. 
          Pls. 1 & 2; PI. 3, Figs. 1-5; Text-fig. 3. 
          1965 
          Hemiaster maestrichtensis, MEIJER, p. 23 (pars: Cr4 and Mb only). 
          1984 
          Hemiaster sp., VAN DER HAM, p. 175. 
          1985a 
          Hemiaster sp., VAN DER HAM, p. 111. 
          1987 
          Hemiaster sp., VAN DER HAM et al., pp. 33, 37, pl. 2, fig. 2. 
            
          DERIVATIO 
          NOMINIS: The trivial name refers to the 'vuursteeneluvium', the 
          flint-bearing eluvial deposit in SE Netherlands and NE Belgium from 
          which the holotype, the paratypes and many other specimens were 
          collected. 
          TYPES: NHMM 
          1993050 (P1. I; Pl. 2, Figs. 1, 2, 4, 6; Text-fig. 4a),` in the 
          collections of the Natuurhistorisch Museum at Maastricht, is 
          designated holotype. It consists of an internai flint mould and most 
          of the external mould of the outer test surface in the surrounding 
          flint. The specimen was collected by L. Indeherberge in the 
          southernmost part of the CBR quarry near Lixhe, Belgium (5°39' E. 
          Long., 50'45' N. Lat.; locality 9 in Textfig. 2), from the 'Vuursteeneluvium' 
          (flint eluvium), which, at the type locality, contains the flint 
          residue of the upper part of the Lanaye Member (Gulpen Formation) and 
          the base of the Maastricht Formation (Text-fig. 1; see FELDER, 1983), 
          both of late Maastrichtian age (Belemnitella junior Zone). The 
          following specimens, ail from the same locality and the same deposit, 
          were selected as paratypes: Defour coll. 1B, Indeherberge coll. 518, 
          Meuris coll. 4, 5 (Pl. 3, Figs. 1-5) and Van der Ham coll. 544, 635. 
          DIAGNOSIS: 
          Comparatively large leymeriasterid Hemiaster with bulging anterior 
          side. Ambulacrum III with short, narrow adapical groove. Groove and 
          petals bordered by raised interambulacral margins. Pore pairs in 
          groove separated by tiny ridges that extend up to interambulacral 
          margins. Peripetalous fasciole indented between anterior petals and 
          ambulacrum III, crossing ambulacrum III at end of groove. 
          DESCRIPTION: 
          Test length (TL) up to 32-52 (average 41.5) mm; ambitus broadly 
          obovate; width 97-106% TL, maximum in anterior series of 
          interambulacra I and 4; height 66-75% TL, maximum in adapical parts of 
          interambulacra 2 and 3. Apical system posterior of centre, 
          ethmophract; genitals 1 and 4 almost separated (sexual dimorphism as 
          to gonopore size absent). Keel in interambulacrum 5 rounded, 
          moderately raised. Anterior side of test vertical and slightly concave 
          to slightly convex at ambitus, bulging between ambitus and anterior 
          groove. Posterior side vertical to slightly inclined anteriorly. Oral 
          side slightly convex. 
          Ambulacrum 
          III with a short, narrow groove adapically of fasciole; length of 
          groove 20-23% TL, width 4.5-8% TL. Poriferous zones in groove with up 
          to 16 pore pairs separated by tiny ridges that extend up to thickened 
          raised, often slightly overhanging interambulacral margins (Pl. 2, 
          Fig. 6); each pore pair with a depressed interporal partition. 
          Interporiferous zone 3-4 times wider than a single poriferous zone, 
          densely covered with miliary tubercles. 
          Anterior 
          petals strongly depressed, bordered by thickened raised 
          interambulacral margins, much longer than posterior ones, making an 
          angle of ca. 120°; length 4148% TL, width 9-12% TL. Poriferous zones 
          within a petal similar, but anterior one usually more flexed, up to 35 
          pore pairs in each (including 3-4 very small adapical ones); inner 
          pore  rows with elliptical pores, 
          
          Text-fig. 3 - Hemiaster (Leymeriaster) 
          eluvialis sp. nov. Camera lucida drawing of plating around 
          peristome. Same specimen illustrated in Pl. 2, fig. 5. 
          
          Text-fig. 4 - 
          Peripetalous fascioles, a: Hemiaster (Leymeriaster) eluvialis sp. 
          nov. (Holotype), b: Hemiaster (Leymeriaste) maestrichtensis
          Schlüter, 1897 (after
          Meijer, 1955, fig.5) 
           outer ones with 
          subcircular pores, which lie against the raised interambulacral 
          margins; pores within a pair conjugate by a shallow elongate 
          depression, the interporal distance being 2-3 times the pore length 
          (of inner row pores). Interporiferous zone about as wide as a single 
          poriferous zone, densely covered with miliary tubercles. 
               
          Posterior petals strongly depressed, bordered by raised 
          interambulacral margins, obovate, making an angle of ca. 80°; length 
          15-20% TL (= 34-42% of length of anterior petals). Poriferous zones 
          flexed, up to 18 pore pairs in each. 
               
          Peristome at ca. 28% TL from anterior side, about kidney-shaped, 
          bordered by a low rim; width ca. 20% TL. Labrum protruding into 
          peristome, with 4-5 primary tubercles; lateral-posterior extensions in 
          contact with 2 complete and 1/10 to 4/7 of a third ambulacral plate of 
          ambulacra I and V (44-50 mm TL; Text-fig. 3). Phyllode with 8-10 
          isopores in ambulacra II and IV, and 4-6 isopores in ambulacra I, III 
          and V (2 in each first adlabral plate in I and V). Suture between 
          plastronal plates not distinct in available material. 
               
          Periproct high on posterior side, at ca. 37% TL from oral side, almond-shaped; 
          length ca. 17% TL. 
               
          Primary tubercle density 3-4 per mm2 in ambital zone, up to 9 per mm2 
          towards apical system, and ca. 1 per mm2 towards peristome. Tubercles 
          scrobiculate; scrobicules tetragonal to hexagonal, closely packed in 
          more or less distinct rows (Pl. 2, Fig. 3). Miliary tubercles occur in 
          the petals, anterior groove and in adorai parts of ail ambulacra, and 
          mixed with small primaries in ambulacrum III between anterior groove 
          and ambitus; miliary tubercles mixed with relatively large primaries 
          (1-2 per mm2) occur on the labrum and on either side of ambulacrum III 
          between ambitus and anterior groove. Scattered miliaries may be 
          present on the adorai parts of ail interambulacra. Interambulacral 
          plates often (especially in large tests) provided with a slightly 
          raised 'centre'. 
               
          Peripetalous fasciole (Text-fig. 4a; Pl. 2, Fig. 3) closely following 
          petal margins, round anterior petals connecting the slightly raised 
          areas of the adjacent interambulacral plates, between the raised areas 
          often in shallow grooves, indented between anterior petals and 
          ambulacrum III, making a ca. 90° angle between each anterior petal and 
          the anterior groove and crossing ambulacrum III at end of the groove; 
          width slightly larger at ail petal ends. 
          
          Comparisons 
          The subgenus
          Leymeriaster embraces species with sunken petals of which the 
          posterior ones are much shorter than the anterior ones. 
               
          LAMBERT & THIÉRY (1924) listed 18 species, while TANAKA (1984) added 
          two more. Excluding a few very poorly known species, and transferring 
          several others to the subgenus Bolbaster POMEL, 1869, NÉRAUDEAU 
          (1990) distinguished four stratigraphical groups within the subgenus
          Leymeriaster in the Cretaceous of NW Europe: 1. from the late 
          Cenomanian of Aquitaine and Sarthe, France (e.g. H. (L.) similis 
          d'ORBIGNY, 1855, p. 229, pl. 874, from the Cenomanian of 
          Port-des-Barques, France), 2. from the early to middle Turonian of 
          Touraine and Aquitaine, France (H. (L.) leymeriei DESOR in 
          AGASSIZ & DESOR, 1847, p. 232, pl. 875, from the Turonian of 
          Saint-Christophe, France), 3. from the late Turonian to Santonian of 
          Aquitaine and Sarthe, France (e.g. H. (L.) nucleus DESOR in 
          AGASSIZ & DESOR, 1847, from the early "Sénonien" of Thains, France, 
          and H. (L.) moulinsanus d'ORBIGNY, 1855, p. 247, pl. 883, from 
          the "Sénonien" of Royan, France), 4. from the Maastrichtian of Belgium 
          and The Netherlands (H. (L.) maestrichtensis SCHUTTER, 1897. p. 
          30. pl. 2. figs. 3 & 4, from the "Kreide-Tufi' of Maastricht, The 
          Netherlands, which, contrary to Néraudeau's statement, does not occur 
          in Campanian deposits). 
              
          H. (L.) eluvialis can be distinguished from ail other species 
          of Leymeriaster by the very short narrow groove in ambulacrum 
          III and by the raised interambulacral margins that surround the petals. 
          The position of the fasciole is also different in H. (L.) eluvialis: 
          close along the greatest part of the anterior edge of the anterior 
          petals. In ail other species it crosses interambulacra 2 and 3 from 
          the anterior ends of the anterior petals towards the groove in 
          ambulacrum III (Text-fig. 4; see also NÉRAUDEAU, 1990, fig. 115). 
               
          At first sight H. (L.) eluvialis may be confused with H. 
          (L.) leymeriei, since this species also has a relatively short 
          groove (about as long as the anterior petas). However, in H. (L.) 
          eluvialis it is even shorter (about half as long as the anterior 
          petals), and, in contrant, is bordered by raised, finely ridged 
          interambulacral margins. H. (L.) eluvialis has a nearly 
          vertical posterior side, whereas this is distinctly inclined 
          anteriorly in H. (L.) leymeriei.     
          Raised interambulacral margins along the groove, provided with tiny 
          ridges originating between the pore pairs (Pl. 2, Fig. 6), occur also 
          in H. (L.) maestrichtensis and probably also in H. (L.) 
          moulinsanus (d'ORBIGNY, 1855, p. 247: "ambulacre impair ... formé 
          de pores ovales, ... placés dans des fossettes spéciales"), but these 
          two species can be easily distinguished from H. (L.) eluvialis 
          by the long groove in ambulacrum 111, which extends from the apex 
          beyond the ambitus (compare Pl. 3, Figs. 1-5 with Pl. 3, Figs. 6-10 
          and with d'ORBIGNY, 1855, pl. 885 respectively). 
           | 
            | 
          
                
          Raised, finely ridged interambulacral edges along the groove are 
          definitely absent in specimens of H. (L.) similis (from the 
          late Cenomanian of Port-des-Barques, Charente-Maritime, France), H. 
          (L.) leymeriei (from the early Turonian of Briollay, Anjou, 
          France) and H. (L.) nucleus (from the late Turonian of the 
          Vendée, France), according to detailed photographs of these species 
          and material of H. (L.) leymeriei provided by D. Néraudeau). 
          Raised, finely ridged edges is considered here as a derived character, 
          and, consequently, its presence in H. (L.) eluvialis, H. 
          (L.) maestrichtensis and H. (L.) moulinsanus may be 
          regarded as an indication for close relationship between these three 
          species. Also the shape of the labrum in H. (L.) eluvialis 
          suggests close affinity to the maestrichtensis - moulinsanus 
          group (compare Text-fig. 3 with MEIJER, 1955, fig. 4e). 
          As mentioned 
          above, the very short narrow groove in ambulacrum III and the raised 
          interambulacral margins round the petals are special characters of 
          H. ( L.) eluvialis. A well-extended groove in ambulacrum III, if 
          present, develops late in ontogeny in Hemiaster (MCNAMARA, 
          1987; NÉRAUDEAU, 1990, fig. 15). Therefore, the short narrow groove in
          H. (L.) eluvialis may be a paedomorphic trait. Since specimens 
          of H. (L.) eluvialis are generally larger than specimens of 
          H. (L.) maestrichtensis and probably also H. (L.) moulinsanus, 
          the short narrow groove might be characterised as neotenic (sensu 
          McNAMARA, 1986). The larger size of H. (L.) eluvialis might 
          also explain the higher number of plates in ambulacra I and V in 
          contact with the labrum (Text-fig. 3: 2.1-2.6 in H. (L.) eluvialis 
          versus ca. 1.5 in H. (L.) maestrichtensis), as this number 
          increases with size (NÉRALIDEAU, 1990, figs. 41b, 115). The raised, 
          thickened interambulacral margins surrounding the petals may be 
          considered a peramorphic trait, due to accelerated development of 
          these parts in comparison to the non marginal areas of the 
          interambulacra. Such a combination of paedomorphic and peramorphic 
          features in H. (L.) eluvialis represents an example of 
          dissociated heterochrony (see DAVID, 1989; McNAMARA, 1990; NÉRAUDEAU, 
          1990). Accepting the short groove as paedomorphic, and the raised, 
          thickened interambulacral margins as peramorphic, it may be 
          hypothesized that H. (L.) eluvialis evolved from the H. (L.) 
          moulinsanus - H. (L.) maestrichtensis group. 
          
          Stratigraphical and biogeographical notes 
          While 
          Hemiaster (Leymeriaster) eluvialis occurs in the Gulpen and 
          Maastricht Formations (Text-fig. 1: from the Lanaye Member to the 
          Iower part of the Nekum Member), H. (L.) maestrichtensis is 
          confined to the Maastricht Formation (Text-fig. 1: from the Emael 
          Member to the uppermost part of the Meerssen Member). Both species are 
          also known from the Kunrade Member (= eastern facies of lower 
          Maastricht Formation up to base of Emael Member). The former is also 
          known from flint eluvium that derives from the upper Lanaye Member to 
          the base of the Maastricht Formation, the latter from younger flint 
          eluviums that derive from the lower Maastricht Formation (Emael 
          Member?) at Elst (Text-fig. 2: locality 3) and from the middle Nekum 
          Member in the Romontbos quarry (Text-fig. 2: locality 8). The ranges 
          of H. (L.) eluvialis and H. (L.) maestrichtensis overlap 
          in the upper Emael Member and the lower Nekum Member. The species co-occur 
          near the Lava Horizon and in an unnamed fossil-trash level in the 
          Iower Nekum Member. The range of H. (L.) eluvialis is confined 
          to the Belemnitella junior Zone, that of H. (L.) 
          maestrichtensis extends from the Belemnitella junior Zone 
          into the Belemnella casimirovensis Zone of the upper Meerssen 
          Member (ROBASZYNSKI et al., 1985). 
               
          The first appearances of both species reflect different immigration 
          phases. The first appearance of H. (L.) eluvialis in the late 
          Maastrichtian of the Maastricht area coincides with a number of first 
          appearances of other echinoid species. The stratigraphically oldest 
          specimens of H. (L.) eluvialis are from the middle part of the 
          Lanaye Member, between the flint layers 11 and 14 in the ENCI quarry (locality 
          13). At the same level in this quarry occur for the first time in the 
          area: Nucleopygus scrobiculatus (GOLDFUSS, 1829), 
          Hemipneustes oculatus COTTEAU, 1890, Hemipneustes 
          striatoradiatus (LESKE, 1778) and Hemiaster (Bolbaster) 
          prunella (LAMARCK, 1816). Oolopygus pyriformis (LESKE, 
          1778) and Catopygus fenestratus AGASSIZ, 1840 reappear, the 
          former occurring also in the Vijlen Member (extremely rare; Felder 
          coll., Natuurhistorisch Museum, Maastricht), the latter also in the 
          Vijlen Member (MEIJER, 1965) and in the Wahlwiller Bed at the base of 
          the Lixhe Member (VAN DER HAM & VAN BIRGELEN, 1992). 
              
          H. (L.) maestrichtensis enters the area in a later immigration 
          stage, being found from the Lava Horizon (Emael Member, Romontbos 
          quarry) onwards, often together with the common echinoids Faujasia 
          apicalis (DESOR in AGASSIZ & DESOR, 1847) and Procassidulus 
          lapiscancri (LESKE, 1778). These two species are also known from the 
          flint eluvium of the CPL and CBR quarries, which represents older 
          strata (Lanaye Member to base Maastricht Formation). They are, 
          however, very rare in that deposit (3 and 1 or 2 specimens known 
          respectively). 
               
          BLESS (1991) described four different immigration phases of Tethyan 
          elements in NE Belgium and SE Netherlands on the basis of belemnites, 
          forams and ostracodes: 1. an early early Campanian phase, 2. a late 
          early Campanian phase, 3. an early late Campanian phase, and 4. a late 
          Maastrichtian phase. H. (L.) eluvialis and H. (L.) 
          maestrichtensis belong to the last one. The pattern of first 
          appearances of these species and the other echinoids mentioned above 
          suggest that the late Maastrichtian immigration phase consists of two 
          different subphases. 
          
          plates explanation 
          
          PLATE 
          1 
          
          Hemiaster (Leymeriaster) eluvialis sp. 
          nov., holotype, NHMM 1993050 (ex Indeherberge coll. 200), internai 
          mould in flint preservation, late Maastrichtian, eluvium, CBR quarry, 
          Lixhe, Belgium. 
          
          Fig. I — Aboral side, x 1.5. Fig. 2 — 
          Oral side, x 1.5. Fig. 3 — Anterior side, x 1.5. 
          
          Fig. 4 — Left lateral side, x 1.5. Fig. 5 
          — Aboral side, x 2.6. 
          
          PLATE 2 
          
          Hemiaster (Leymeriaster) eluvialis sp. 
          nov. 
          
          Fig. I — Holotype, silicone rubber cast 
          of external mould that surrounded the test now dissolved, aboral side 
          (compare with PI. I, Fig. I), x 1.5. 
          
          Fig. 2 — Detail of aboral side of 
          holotype, x 2.9. 
          
          Fig. 3 — Left anterior petal with 
          surrounding fasciole. Van Birgelen coll. 262, late Maastrichtian, 
          Kunrade Member, Winthagen, The Netherlands, x 2.8. 
          
          Fig. 4 — As Fig. 1, oblique anterior view 
          of petals and groove in ambulacrum III, x 2.9. 
          
          Fig. 5 — Silicone rubber cast of external 
          mould of oral surface, showing tuberculation, peristome (with folded 
          margin) and isopores (compare with Text-fig. 3). Paratype, 
          Indeherberge coll. 518, late Maastrichtian, eluvium, CBR quarry, Lixhe, 
          Belgium, x 2. 
          
          Fig. 6 — As Fig. 1, oblique lateral view, 
          showing petals and groove in ambulacrum III; note the 'fossettes 
          spéciales' (arrow) extending from the outer pores up to 
          interambulacrum 3 margin, x 3.9. 
          
          PLATE 3 
          
          Hemiaster (Leymeriaster) eluvialis sp. 
          nov. compared with Hemiaster (Leymeriaster) maestrichtensis 
          SCHLÜTER, 1897. 
          
          Figs. l-5 — H. (L.) eluvialis, 
          paratype, Meuris coll. 5, internai mould in flint preservation, late 
          Maastrichtian, eluvium, CBR quarry, Lixhe, Belgium, x 1.5. 
          Fig. I — 
          Aboral side. 
          Fig. 2 — 
          Oral side. 
          Fig. 3 — 
          Anterior side. 
          Fig. 4 — 
          Left lateral side. 
          Fig. 5 — 
          Posterior side. 
          
          Figs. 6-10 — H. (L.) maestrichtensis, 
          Van der Ham coll. 543, internai mould in flint preservation, late 
          Maastrichtian, Maastricht Formation, eluvium middle Nekum Member (see 
          Text-fig. 1), Romontbos quarry, Eben, Belgium, x 1.5. 
          Fig. 6 — 
          Aboral side. 
          Fig. 7 — 
          Oral side. 
          Fig. 8 — 
          Anterior side. 
          Fig. 9 — 
          Left lateral side. 
          Fig. 10 — 
          Posterior side. 
          
          planches 1 à 3 
            
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          Leymeriaster eluvialis
        van der Ham,1995  - 
          Berga, barcelone, Espagne, Maastrichtien, 23 mm  | 
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          Leymeriaster eluvialis
        van der Ham,1995  - 
          Berga, barcelone, Espagne, Maastrichtien, 23 mm  | 
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          Leymeriaster similis 
          (d'Orbigny,1854)  | 
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    diagnose originale de 
    l'espèce par d'Orbigny | 
  
  
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    Paléontologie 
    française, terrains crétacés, tome VI, p.229 | 
  
  
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          N° 2172 Hemiaster similis, 
          d'Orb., 1854. 
          Pl.874 
              
          Dimensions. Longueur totale, 25 millimètres. Par rapport à la 
          longueur : largeur, 94 centièmes ; hauteur, 80 centièmes. 
              
          Coquille ovale, moins large que longue, un peu hexagone, 
          élargie et un peu échancrée en avant, rétrécie et tronquée en arrière, 
          dont la hauteur a les 80 centièmes de la longueur, et dont le grand 
          diamètre transversal se trouve un peu en avant de la moitié. Dessus 
          très-convexe, arrondi an avant, de là s'élevant graduellement jusqu'à 
          l'aréa anale, tronquée obliquement. Le sommet est environ au centre, 
          mais n'est pas le point le plus élevé, puisque c'est le bord supérieur 
          de l'aréa anale. Le pourtour est arrondi, et sa grande convexité est 
          près de la base. Dessous peu convexe, un peu creusé autour de 
          la bouche, et un peu convexe sur la région médiane postérieure. 
          Sillon antérieur peu creusé auprès de la bouche, mais l'étant 
          de plus en plus en dessus en approchant du sommet. Bouche 
          transversale, sinueuse en arrière, pourvue d'un fort bourrelet tout 
          autour ; elle est placée en avant des deux tiers antérieurs de la 
          longueur.  Anus ovale placé à la partie supérieure de l'aréa 
          anale, très-près du dessus. Ambulacre impair, placé dans 
          un sillon, à méplat au milieu ; ses zones sont étroites, formée de 
          pores ronds par paires obliques, placées dans une partie creusée, 
          ovale. Ambulacres pairs très-inégaux, les antérieurs 
          très-longs, droits, très-creusés à méplat au fond, les côtés déclives, 
          formés de zones égales, larges comme l'espace qui les sépare, pourvues 
          de pores transverses, ovales, conjugués. La paire postérieure est 
          très-courte et n'a pas le tiers de la longueur des antérieures. Les
          tubercules sont petits, très-serrés en dessus, plus gros et 
          plus espacés en dessous. Le fasciole cerne de près les ambulacres ; il 
          forme un triangle large et tronqué en avant, acuminé en arrière.  
              
          Rapports et différences. Cette espèce se trouve avec l'H. 
          Bufo, mais elle s'en distingue très-facilement : par sa forme plus 
          ovale, par ses ambulacres plus creusés et à méplat au milieu, par les 
          ambulacres pairs postérieurs très-courts, et enfin par un aspect 
          extérieur très-différent donné par les tubercules serrés par lignes en 
          dessus, au lieu d'être très-écartés et épars. Ce dernier caractère 
          surtout est on ne peu plus tranché. 
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          Localité. Elle est spéciale à notre 20e étage, ou étage 
          cénomanien. Nous en avons recueilli quatre exemplaires à 
          Villers-sur-Mer (Calvados), avec l'espèce précédente ; 50 au port des 
          Barques (Char.-Infér.), et un à Fumel (Lot-et-Gar.). 
              
          Explication des figures. Pl. 874, fig. 1, grandeur naturelle ; 
          fig. 2, coquille grossie, vue en dessus ; fig. 3, la même, en dessous 
          ; fig. 4, profil dans le sens longitudinal ; fig. 5, profil 
          transversal, vu du côté de la bouche ; fig. 6, la même, du côté de 
          l'anus ; fig. 7, ambulacres plus grossis ; fig. 8, pores de 
          l'ambulacre impair très-grossis ; fig. 9, une partie de la zone des 
          ambulacres pairs antérieurs ; fig. 10, une plaque du dessus pour 
          montrer la forme particulière des tubercules. De notre collection. 
          
          planche 874 
          (extrait) 
          
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        syntype, conservé 
        au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris 
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        figuré in
        d'Orbigny, 1854,  Paléontologie 
        française - Terrains crétacés - Echinodermes, t. 6, p.229 | 
  
  
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        figuré, conservé 
        au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris 
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        figuré in
        Gauthier, 1889, 
        
        Note sur les échinides crétacés recueillis par M. de Grossouvre., 
        p.531 | 
  
  
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          Leymeriaster similis 
          (d'Orbigny,1854)  - Cénomanien, 
          Charente Maritime, 27 mm  | 
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          Leymeriaster similis 
          (d'Orbigny,1854)  - Cénomanien, 
          Charente Maritime, 28 mm  | 
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          Leymeriaster similis 
          (d'Orbigny,1854)  - Cénomanien, 
          Charente Maritime, 24 mm  | 
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          Leymeriaster similis 
          (d'Orbigny,1854)  - Cénomanien 
          supérieur, 
          Vendée, 20 mm  | 
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          Leymeriaster similis 
          (d'Orbigny,1854)  - Cénomanien, 
          Maine et Loire, 29 mm  | 
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    Genre  
    
    Mecaster
    
    
    
     Pomel, 1883 
          Classification 
          méthodique et genera des échinides fossiles, p.42 
          
    Espèce type
     Hemiaster fourneli
    Deshayes in
    Agassiz & Desor, 1847
     
    Catalogue raisonné des 
    échinides, p.16 (désignation originale) 
    Extension 
    stratigraphique (bibliographique, 
    non vérifiée) : Cénomanien - 
    Maastrichtien  | 
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    diagnose originale du 
    genre par Pomel | 
  
  
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          Classification 
          méthodique et genera des échinides fossiles, 1883, p.42 
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          Mecaster. Ovoïde, déprimé, émarginé en avant, tronqué en arrière ; 
          apex subcentral, à madréporide intercalé aux génitales postérieures. 
          Ambulacre antérieur simple dans un sillon évasé ; les pétales subégaux 
          déprimés, à pores en fissure, droits. Fasciole péripétale sinueux, 
          unique. Péristome labié antérieur ; périprocte au haut d'une aréa 
          postérieure. Tubercules dorsaux épars. Espèces crétacées : M. 
          Fourneli, M. Verneuilli, M. cubicus, M. 
          saulcyanus, M. batnensis, etc., qui étaient des hemiaster, 
          pour les auteurs.  | 
         
       
      
     
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        Mecaster ameliae
          (Peron & Gauthier,1878)  | 
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    diagnose originale  de 
    l'espèce par Peron & Gauthier | 
  
  
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    Echinides fossiles de 
    l'Algérie, description des espèces déjà recueillies dans ce pays et 
    considérations sur leur position stratigraphique, 1878, p.109 | 
  
  
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          Hemiaster Ameliae, 
          Peron et Gauthier, 1878. 
          Pl.III, fig. 
          7-11. 
          
            
            
              
                | 
                Dimensions 
                du plus grand exempl. :  | 
                
                Long. | 
                
                45 mill. | 
                
                Larg., | 
                
                43 mill. | 
                
                Haut., | 
                
                30 mill. | 
               
              
                | 
                Exemplaire 
                moyen :   | 
                
                - | 
                
                36 | 
                
                - | 
                
                36 | 
                
                - | 
                
                26 | 
               
             
            
           
               
          Espèce de taille variable, en général assez grande, parfois presque 
          arrondie et légèrement polygonale, parfois subcordiforme, médiocrement 
          élevée ou même déprimée. Dessus convexe s'inclinant un peu vers 
          l'avant. Aire interambulacraire postérieure ordinairement carénée et 
          saillante entre le sommet et l'aire anale, sans méplat ni dépression : 
          de rares exemplaires font cependant exception à ce sujet. La plus 
          grande hauteur est en arrière du sommet apical. Face postérieure 
          tronquée presque verticalement. Dessous très plat, à peine un peu 
          renflé dans la région médiane postérieure. 
               
          Sommet central. Appareil apical trapézoïde, granuleux, petit. Plaque 
          madréporiforme peu développée ; pores oviducaux s'ouvrant au milieu 
          d'une légère saillie conique. 
               
          Ambulacre impair situé dans un sillon assez profond, continu, 
          échancrant assez fortement l'ambitus, s'élargissant du sommet au 
          pourtour. Il est composé de deux lignes de pores disposés par paires 
          assez serrées, petits, arrondis, très peu obliques, et séparés par un 
          granule assez fort. 
               
          Ambulacres pairs allongés, un peu sinueux, les postérieurs 
          médiocrement divergents, toujours assez larges et profonds, quoique 
          avec des variations très sensibles sous ce rapport ; pétaloïdes, bien 
          circonscrits, les postérieurs égaux aux 7/9 des antérieurs. Zones 
          porifères larges et séparées par un intervalle tantôt plus étroit, 
          tantôt un peu plus étendu que l'une d'elles, d'apparence lisse et 
          régulier. Pores petits, très distants l'un de l'autre, inégaux dans la 
          même paire, le pore externe moins grand que l'autre et ovale ; le pore 
          interne un peu allongé et acuminé. Ils sont reliés dans chaque paire 
          par un long et grêle bourrelet qui passe au milieu de la plaquette 
          ambulacraire, très apparent, un peu oblique par rapport à la direction 
          de l'ambulacre. Ce caractère très accentué, et conservé même dans les 
          exemplaires usés, donne aux pétales ambulacraires une physionomie 
          toute particulière, qui fait reconnaître l'espèce à première vue (1). 
               
          Péristome assez grand, assez fortement labié, à fleur du test, situé à 
          un peu moins du quart antérieur de la longueur. Il est de forme ovale, 
          avec sinus rentrant à la partie postérieure. 
               
          Périprocte ovale ou arrondi, non acuminé aux extrémités, situé assez 
          haut dans l'aire anale. 
               
          Tubercules inégaux, petits, clair-semés, un peu plus gros auprès du 
          sommet, augmentant très peu de volume à l'ambitus et même à la face 
          inférieure. Granules assez rares, très petits, peu visibles, 
          irrégulièrement disséminés. 
               
          Fasciole péripétale étroit, peu apparent, légèrement sinueux sur les 
          côtés passant très haut à la partie antérieure. 
               
          Nous ferons encore pour cette espèce la même observation que pour les 
          deux précédentes, c'est-à-dire que les nombreux individus que nous 
          avons entre les mains nous ont présenté des variations assez 
          accentuées relativement à la forme générale, à la profondeur et à la 
          largeur des ambulacres. Elle a cependant un ensemble de caractères 
          bien constants qui permettent de ne jamais la confondre avec une 
          autre. 
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          Rapports et différences. - L'espèce la plus voisine de l'Hem. 
          Ameliae est l'Hem. Nicaisei, que nous venons de décrire. La 
          première se distingue facilement de l'autre par son interambulacre 
          impair ordinairement bien caréné à la partie supérieure, non aplati 
          comme dans l'Hem. Nicaisei, par son dessous plus plat, son 
          sillon antérieur plus profond, les pores de l'ambulacre impair plus 
          serrés, moins obliques, et surtout enfin par la disposition des pores 
          des ambulacres pairs, très petits relativement, très éloignés et 
          reliés par un bourrelet étroit et saillant. Ce caractère ne se 
          retrouve à un tel degré dans aucun des nombreux Hemiaster 
          d'Algérie que nous connaissons. 
              
          Localité. - L'Hemiaster 
          Ameliae se rencontre dans le terrain cénomanien d'Aumale à deux 
          niveaux différents : dans la zone à Hem. Aumalensis et dans la 
          zone à Radiolites Nicaisei. Il est à remarquer que les 
          individus de ces deux gisements diffèrent légèrement entre eux, et en 
          général ceux de la dernière zone ont les ambulacres plus profonds et 
          plus étroits. Les autres caractères d'ailleurs si accentués de cet 
          oursin étant bien identiques, nous ne pouvons voir là que des variétés 
          du même type. 
               
          L'Hem. Ameliae a  été également recueilli à Berouaguiah 
          par M. Thomas, et au Djebel-Guessa par MM. Nicaise et Le Mesle. Nous 
          l'avons reconnu dans la collection de l'Ecole des Mines à Paris, où il 
          est indiqué comme espèce nouvelle. 
               
          Collections Coquand, Peron, Gauthier, Cotteau, Le Mesle, Thomas, Ecole 
          des Mines. 
              
          Explication des Figures. 
          - Pl. III, fig. 7, Hemiaster Ameliae, vu de côté ; fig. 8, face 
          sup. ; fig. 9, face inf. ; fig. 10, aire ambulacraire grossie ; fig. 
          11, sommet ambulacraire grossi. 
          
            
          
          (1) Le dessinateur n'a pas fait ressortir 
          assez nettement ce caractère dans la figure 10 de la pl. III. 
          
          planche III 
          (extrait) 
          
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        figuré, conservé 
        au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris 
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        figuré in
        Neraudeau & al., 
        1993, 
        Les 
        échinides du Cénomanien supérieur et du Turonien inférieur du Tinrhert 
        oriental et central (Sahara algérien), p.295 | 
  
  
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          Mecaster ameliae
          (Peron & Gauthier,1878) - 
          Cénomanien, région de Maktar, Tunisie, 36 mm  | 
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          Mecaster ameliae
          (Peron & Gauthier,1878) 
          - Cénomanien, région de Maktar, Tunisie, 30 mm  | 
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        Mecaster 
        arnonensis
        Neumann,1999  | 
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    diagnose originale du 
    genre par Neumann,1999 | 
  
  
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    New spatangoid 
    echinoids (Echinodermata) from Upper Cretaceous of Jordan : their taxonomy 
    and phylogenetic importance, p.176 | 
  
  
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           Mecaster 
          arnonensis sp. nov. 
          (Pl. 1E-L; Figs. 3A-E,4) 
           
          Derivation of name: From the Valley of Arnon, the biblical name of 
          Wadi al Mujib. 
  
          Types: 
          Holotype MBE 2883, Paratype MBE 2884. 
  
          Other 
          material studied: Apart from the type-specimens, 18 tests from Wadi al 
          Mujib, Jordan (CNC HeO12-He026 and 3 specimens from the W. Maidorn 
          collection, without  inventory number) were measured for the 
          biometric analysis. ln addition, 4 specimens were also collected. 
  
          
          Stratigraphical and geographical occurrence: Santonian (Khurayj 
          Limestone Formation). Yellowish dolomitic marls exposed in roadcuts on 
          the northern slope of Wadi al Mujib, 3 km south of the town Dhiban (governorate 
          of Karak), Jordan. The species occurs together with Mecasfer 
          foumeli var. latigrunda, Mecaster saulcyi, Nucleolites 
          Iuynesi and Cardiaster moabiticus. 
  
          Diagnosis: An 
          ovoid to cordiform, highly inflated Mecasfer with a steep and high 
          anterior and a rounded posterior. Tallest part of test anterior of 
          centre. Apical system central or anterior of centre. Madreporite 
          dividing posterior genital and ocular plates. Petals long, subparallel 
          and faintly sunken. Peristome pentagonal, subcentral. Labrum long, 
          plastron small, inflated. Mid-sternal suture meets the labrum 
          centrally. 
  
          Description. 
          Size and shape: Test ovoid to subcordiform in outline, indented in 
          front, truncated anteriorly. Tests range in length from 17.6 mm to 
          50.8 mm. Average test width is 92.1 % of the test length (n=19) (Fig. 
          4) with the broadest part in the middle of the test. Test height 
          ranges trcm 72.1 o/o to 92.4 % of the test length (Average test height 
          83%, n=18). ln smaller specimens the posterior is rounded from above 
          and only slightly truncated. ln larger specimens, the posterior is 
          squarely truncated and slightly concave at the region of the periproct. 
          The periproct is slightly visible from above. ln profile, the test 
          appears globose, with a highly inflated rounded base. The aboral 
          surface is also rounded, due to the inflated interambulacra. and it 
          slopes gradually to the posterior. The highest part of the test is 
          formed by the pronounced keels of the adapical interambulacra 2 and 3 
          and lies just anterior of the apical disc. Posteriorly, the aboral 
          surface continues in a gentle curve to the posterior surface which 
          dips nearly vertically. The anterior is very high and steep and inward 
          sloping in most specimens (fi9. 3E). 
  
          Apical 
          system: The apical disc is broader than long and lies anteriorly, 3245 
          o/o of lhe test length from the anterior border (mean = 39%, n=17). lt 
          is tetrabasal and ethmolytic. The posterior ocular plates are well 
          separated by the madreporite, which is markedly inflated. Genital 
          plate 4 is separated from the madreporite by ocular plate V and 
          genital plate 3. Genital pores on either side are close together. ln 
          some specimens genital pores are relatively large, but are 
          significantly smaller in other specimens. NEMUDEAU (1993) points out, 
          that gonopore diameter of North African Mecaster species varies 
          significantly according to the individual size. He observed sexual 
          dimorphism in several globular species of North European hemiasterids 
          (thus females have larger gonopores than males) but could not detect 
          dimorphism for North African Mecasfer species. However, among the 
          material studied, few specimens possess an apical system well enough 
          preserved to be used for biometric analysis.  
           
          Ambulacra: Petals are subequal in length, moderately sunken and open 
          distally. The anterior petals extend to the ambitus, the posterior 
          petals are somewhat shorter. Pores are elongate isopores, the 
          perradial channel is relatively broad and smooth.  
          The anterior 
          ambulacrum is broad, sunken and the anterior margin indented. The 
          groove extends towards the peristome. Pore-pairs are partitioned 
          isopores, relatively small and densely arranged between the apical 
          disc and the peripetalous fasciole. The floor of the groove is densely 
          covered with miliaries and secondary tubercles. There are 41 (29) 
          porepairs in adapical amb lll between the apical disc and the 
          peripetalous fasciole at a test length of 46 (37) mm. (two specimens 
          examined). 
           
          Peristome: The peristome is pentagonal in outline and slightly sunken. 
          lt opens 28-43% of the test length from the anterior border (mean = 
          34%, n=14). Phyllodal pores are very small and poorly developed. There 
          are 2-3 phyllode pores in the anterior ambulacrum, 3-4 in the lateral 
          ambulacra and 2-3 in the posterior ambulacra. The labral plate is 
          nonlabiate and does not project into the peristome. The labrum is 
          relatively long (26% of the test length in the holotype). The 
          midstemal suture meets the labral plate nearly centrally. 
  
          Periproct: 
          The periproct is situated high on the posterior surface, in a concave 
          posterior truncation. lt is just visible from above lts base is 
          41.6-65.4% (mean = 48%, n=13) of the test height above the base of the 
          test. lt is small, ovoid in outline with its long axis vertically. No 
          enlarged subanal pores were observed.
           
  
          
          
           
          Fascioles: There is a well-developed peripetalous fasciole which is 
          broadest beneath the anterior petals and lies ambitally or even a 
          little bit deeper around the anterior part of the test. There is a 
          marked kink in its course behind the anterior petals. 
           
          Remarks: No other Cretaceous Mecaster species shows such a 
          globose test profile as Mecaster arnonensrs. Other inflated 
          Mecaster species are Mecaster africanus (COQUAND) from the 
          Turonian of Algeria and Brasil and Mecaster semicavatus (PERON 
          & GAUTHIER) which occurs in the Turonian throughout North Africa (NERAUDEAU 
          et al. 1993). M. arnonensis can be distinguished from both 
          species by following characters: 
           
          . Anterior even steeper, not rounded. 
          . Steeper posterior, periproct only slightly visible from above. 
          . Adapical surface roundish or sloping backward, not flattish. 
          . Madreporite separates posterior genital plates and posterior ocular 
          plates. 
          . The periproct is pentagonal in outline, not subtriangular as in 
          M. aficanus and the position is even more central. 
          . The mid-sternal suture meets the labrum nearly centrally not as far 
          to the right as in M. africanus. 
  
          
          Planche 1 
          (extrait) 
          
            
            
              
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                fig.F-I 
                MBE2883  | 
                
                fig.J-L MBE2884  | 
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          Mecaster 
          arnonensis
          Neumann,1999 - Santonien, 
        Wadi al Mujib, Jordanie, 26 mm  | 
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          Mecaster 
          arnonensis
          Neumann,1999 - Santonien, 
        Wadi al Mujib, Jordanie, 35 mm  | 
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        Mecaster 
          batnensis  
          
          (Coquand,1862)  | 
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    diagnose originale de 
    l'espèce par Coquand | 
  
  
    | 
    Géologie et 
    paléontologie de la région sud de la province de Constantine, 1862, p.248 | 
  
  
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          220. - 
          
          Hemiaster batnensis
          H. Coq., Pl. XXVI, fig. 
          6, 7, 8. 
               
          Long. : 55 millim. ; larg. : 88/100 ; haut. : 46/100. 
               
          Coquille oblongue, arrondie et sinueuse en avant ; polygonale, à 
          angles très-obtus sur les côtés, coupée verticalement en arrière et 
          légèrement sinueuse à l'aire anale, dont le plus grand diamètre 
          transversal est en avant du sommet ambulacraire. 
               
          Dessus assez plat, arrondi de l'avant au sommet ambulacraire, presque 
          droit de ce sommet au périprocte, plus arrondi transversalement. Le 
          sommet ambulacraire en avant de la moitié. Le pourtour au tiers de la 
          hauteur. Dessous uniformément convexe, avec des dépressions 
          ambulacraires peu marquées, celles des ambulacres pairs antérieurs 
          plus marquées.  Le sillon ambulacraire impair se prolongeant 
          jusqu'au péristome. Derrière le péristome existe un renflement qui 
          semble faire suite à la convexité latérale de la coquille. 
               
          Péristome transverse au quart de la longueur, bordé en arrière d'une 
          forte lèvre. Périprocte ovale, acuminé fortement à ses deux 
          extrémités, placé très-haut au sommet d'une aire anale triangulaire, 
          lancéolée vers le bas et légèrement concave du haut en bas. Ambulacre 
          impair, placé dans un sillon très-large, à excavation douce se 
          prolongeant jusqu'au péristome, formé de deux zones très-étroites, 
          séparées par un intervalle assez large, formées de pores petits, 
          ronds, disposés obliquement par paires, les inférieurs supérieurs aux 
          extérieurs, rapprochés, et séparés par un tubercule. Ambulacres pairs 
          inégaux, les antérieurs un peu plus larges que ses postérieurs, 
          légèrement flexueux, formés de zones porifères inégales, séparées par 
          un intervalle un peu plus étroit que leur largeur : chaque zone formée 
          de pores allongés, disposés horizontalement par paires ; tubercules 
          inégaux, légèrement plus gros en dessous. Fasciole péripétale. 
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          Cette espèce a des ressemblances avec le Periaster Fourneli et 
          surtout avec l'H. Verneuilli. Elle diffère du premier, par 
          l'absence du sillon latéral distinctif du genre, par sa forme plus 
          aplatie, ses ambulacres beaucoup moins creusés et par les sinuosités 
          de l'avant et de l'arrière bien moins concaves : du second, par sa 
          plus grande taille, son aire anale plus sinueuse, mais moins élevée, 
          son périprocte toujours acuminé et enfin par sa largeur moindre 
          relativement à sa longueur. 
               
          Je l'ai recueillie à Batna, à Tébessa et à Kenchela dans l'étage 
          mornasien. 
               
          Fig. 6. Individu de grandeur naturelle, vu par le sommet. 
               
          Fig. 7. Le même, montrant sa face inférieure. 
               
          Fig. 8. Le même, vu de côté. 
          
            
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        figuré, 
        conservé au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris  | 
              
  
        
        | 
        figuré in
        Neraudeau & 
        al., 1998,
        
        
        Tuberculation in spatangoid fascioles : delineating plausible 
        homologies, p.328 | 
              
  
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        figuré, 
        conservé au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris  | 
              
  
        
        | 
        figuré in
        Neraudeau & 
        al., 1993,
        
        Les 
        échinides du Cénomanien supérieur et du Turonien inférieur du Tinrhert 
        oriental et central (Sahara algérien), p.294 | 
              
  
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          Mecaster 
          batnensis  
          
          (Coquand,1862) 
          
        - Cénomanien, 
          Maroc, 37 mm  | 
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          Mecaster 
          batnensis  
          
          (Coquand,1862) 
          
        - Cénomanien, 
          Maroc, 32 mm  | 
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          Mecaster 
          batnensis  
          
          (Coquand,1862) 
          
        - Cénomanien, 
          Maroc, 43 mm  | 
            | 
         
       
      
     
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          Mecaster 
          batnensis  
          
          (Coquand,1862) 
          
        - Cénomanien, 
          Maroc, 52 mm  | 
            | 
         
       
      
     
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          Mecaster 
          batnensis  
          
          (Coquand,1862) 
          
        - Cénomanien, 
          Maroc, 29 mm  | 
            | 
         
       
      
     
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          Mecaster 
          batnensis  
          
          (Coquand,1862) 
          
        - Cénomanien, 
          Maroc, 30 mm  | 
            | 
         
       
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          Mecaster 
          batnensis  
          
          (Coquand,1862) 
          
        - Cénomanien, 
          Maroc, 32 mm  | 
            | 
         
       
      
     
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          Mecaster 
          batnensis  
          
          (Coquand,1862) 
          
        - Cénomanien, 
          Maroc, 32 mm  | 
            | 
         
       
      
     
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          Mecaster 
          batnensis  
          
          (Coquand,1862) 
          
        - Cénomanien, 
          Maroc, 33 mm  | 
            | 
         
       
      
     
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          |   | 
          
           
          Mecaster 
          batnensis  
          
          (Coquand,1862) 
          
        - Cénomanien, 
          Maroc, 33 mm  | 
            | 
         
       
      
     
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          Mecaster 
          batnensis  
          
          (Coquand,1862) 
          
        - Cénomanien, 
          Maroc, 35 mm  | 
            | 
         
       
      
     
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          Mecaster 
          batnensis  
          
          (Coquand,1862) 
          
        - Cénomanien, 
          Maroc, 40 mm  | 
            | 
         
       
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          Mecaster 
          batnensis  
          
          (Coquand,1862) 
          
        - Cénomanien, 
          Maroc, 50 mm  | 
            | 
         
       
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          Mecaster 
          batnensis  
          
          (Coquand,1862) 
          
        - Cénomanien, 
          Maroc, 41 mm  | 
            | 
         
       
      
     
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          Mecaster 
          batnensis  
          
          (Coquand,1862) 
          
        - Cénomanien, 
          Maroc, 42 mm  | 
            | 
         
       
       | 
  
  
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          |   | 
          
           
          Mecaster 
          batnensis  
          
          (Coquand,1862) 
          
        - Cénomanien, 
          Maroc, 46 mm  | 
            | 
         
       
      
     
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          Mecaster 
          batnensis  
          
          (Coquand,1862) 
          
        - Cénomanien, 
          Ozina, Maroc, 60 mm 
          spécimen de 
          grande taille  | 
            | 
         
       
      
     
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          |   | 
          
           
          Mecaster 
          batnensis  
          
          (Coquand,1862) 
          
        - Cénomanien, 
          Ozina, Maroc, 68 mm 
          spécimen de 
          grande taille  | 
            | 
         
       
      
     
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          Mecaster 
          batnensis  
          
          (Coquand,1862) 
          
        - Cénomanien, 
          Ozina, Maroc, 95 mm 
          spécimen géant  | 
            | 
         
       
      
     
     | 
  
  
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        Mecaster cubicus
          Desor in 
          Agassiz & Desor, 1847  | 
            | 
         
       
      
     
     | 
  
  
    | 
      | 
  
  
    | 
    diagnose originale de 
    l'espèce par Desor in Ag. & Desor | 
  
  
    | 
    Catalogue raisonné des 
    échinides vivans et fossiles, 1847, p.18 | 
  
  
    | 
      | 
  
  
    
    
      
      
        
          | 
           
          
          cubicus Desor. t T 6. 
          Espèce allongée, renflée, et presque carrée. 
                    
          Var. complanata. - T 12. 
                       
          Terr. crét. d'Egypte (Lefebvre). - Mus. Paris.  | 
         
       
      
     
     | 
  
  
    | 
     | 
  
  
    
    
      
      
        
          |   | 
          
           
          Mecaster cubicus
          Desor in 
          Agassiz & Desor, 1847 
          
        - Cénomanien, 
          Hammamat Ma'in, Jordanie, 34 mm  | 
            | 
         
       
      
     
     | 
  
  
    | 
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    | 
     | 
  
  
    
    
      
      
        
          |   | 
          
           
          Mecaster cubicus
          Desor in 
          Agassiz & Desor, 1847 
          
        - Cénomanien, 
          Jordanie, 40 mm  | 
            | 
         
       
      
     
     | 
  
  
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        Mecaster 
          gabrielis
          (Peron & Gauthier,1878)  | 
            | 
         
       
        
       
       | 
  
  
    | 
      | 
  
  
    | 
    diagnose originale de 
    l'espèce par Peron & Gauthier | 
  
  
    | 
    Echinides fossiles de 
    l'Algérie, description des espèces déjà recueillies dans ce pays et 
    considérations sur leur position stratigraphique, 1878, p.116 | 
  
  
    | 
      | 
  
  
    
    
      
      
        
          | 
           
          Hemiaster gABRIELIS, 
          Peron et Gauthier, 1878. 
          Pl.IV, fig. 
          9-12. 
          
            
            
              
                | 
                Le plus grand exempl. 
                connu.  | 
                
                Long. | 
                
                35 mill. | 
                
                Larg., | 
                
                34 mill. | 
                
                Haut., | 
                
                23 mill. | 
               
              
                | 
                Type d'Aïn-Baïra 
                .  .  .  .  . | 
                
                - | 
                
                26 | 
                
                - | 
                
                26 | 
                
                - | 
                
                17 | 
               
              
                | 
                Individu 
                large et déprimé .  . | 
                
                - | 
                
                32,5 | 
                
                - | 
                
                33 | 
                
                - | 
                
                19 | 
               
             
            
           
               
          Espèce assez déprimée, aussi large que longue, dont la plus grande 
          hauteur est en arrière du sommet et la plus grande largeur en avant, 
          mais au milieu de la longueur. Dessus un peu convexe et incliné vers 
          la partie antérieure en pente très douce. L'arête de l'interambulacre 
          impaire n'est ni carénée, ni cependant déprimée. Pourtour très peu 
          anguleux, échancré très sensiblement par le sillon de l'ambulacre 
          impair. Partie postérieure assez rétrécie et coupée par une area 
          étroite et allongée. Dessous légèrement convexe, avec plastron peu 
          saillant. 
               
          Sommet excentrique en arrière. Appareil apical assez peu étendu. 
          Plaques génitales petites, sauf celle qui porte le corps 
          madréporiforme, lequel est relativement grand. Pores oviducaux petits 
          et ronds. 
               
          Ambulacre impair logé dans un sillon assez large, long et peu profond, 
          quoique formant au pourtour une sinuosité très sensible. Les paries de 
          pores y sont assez espacées ; les pores allongés de plus en plus à 
          mesure qu'ils s'éloignent du sommet, inégaux, les externes étant un 
          peu plus longs que les internes ; ils sont disposés en chevrons, et 
          dans les exemplaires bien conservés, on voit un granule entre les 
          pores. La profondeur du sillon est partout uniforme. L'aire 
          interporifère est large et très granuleuse ; on y distingue même un 
          commencement de rangée oblique et régulière de trois ou quatre gros 
          granules se détachant de chaque paires de pores. 
               
          Ambulacres pairs peu profonds, assez allongés, inégaux, les 
          postérieurs n'excédant pas les deux tiers des antérieurs. Les deux 
          ambulacres antérieurs font entre eux un angle très ouvert (108°) ; et 
          il s'ensuit que les ambulacres opposés par le sommet forment avec eux 
          un angle peu sensible, et parfois se trouvent presque sur la ligne qui 
          les prolongerait. Zones porifères de médiocre largeur, séparées par un 
          intervalle d'apparence lisse et assez étroit. Pores allongés, acuminés 
          à l'extrémité interne, conjugués par un léger sillon. Les paires de 
          pores sont séparées par une ligne de petits granules espacés qu'on ne 
          distingue bien que sur les exemplaires suffisamment conservés. 
               
          Péristome assez fortement labié, ovale transversalement, au cinquième 
          antérieur de la coquille, dans une légère dépression. Périprocte 
          petit, ovale, non acuminé, situé assez haut sur l'area postérieure. 
           | 
            | 
          
                
          Tubercules fins en général, mais inégaux et se confondant parfois avec 
          les granules, qui sont eux-mêmes assez serrés, très petits et 
          homogènes. 
               
          Fasciole péripétale large, assez apparent, très peu sinueux sur les 
          côtés et à l'arrière. 
              
          Rapports et différences. - l'Hemiaster Gabrielis, par sa 
          forme subarrondie, par son sommet excentrique en arrière, ses 
          ambulacres peu profonds et très divergents, par les pores de l'amublacre 
          impair assez allongés et très obliques, se distingue facilement de 
          ceux que nous avons déjà décrits. En le comparant avec l'Hem. 
          Batnensis de même taille, on voit qu'il n'a jamais la forme 
          quadrangulaire de ce dernier ; il a aussi les ambulacres bien moins 
          profonds et plus divergents, le sillon antérieur plus évasé, et les 
          pores de l'ambulacre impair différents. 
              
          Localité. - Cette espèce 
          a été recueillie dans les couches cénomaniennes de Batna, où elle est 
          assez abondante, et également au gisement d'Aïn-Baïra, au sud de 
          Sétif, où elle se trouve avec les mêmes espèces, et où elle est aussi 
          assez commune. 
               
          M. Louis Lartet l'a trouvée également en Palestine, dans l'étage 
          cénomanien, accompagnée de la même faune qu'en Algérie. 
               
          Collections Peron, Gauthier, Cotteau, Jullien. 
              
          Explication des figures. 
          - Pl. IV, fig. 9, Hemiaster Gabrielis, vu de côté ; fig. 10, 
          face sup. ; fig. 11, face inf. ; fig. 12, aire ambulacraire grossie. 
          
          planche IV 
          (extrait) 
          
           | 
         
       
      
     
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        holotype, conservé 
        au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris 
     | 
  
  
    | 
        figuré in
        Cotteau, Peron & Gauthier, 1878,
        
        Echinides fossiles de l'Algérie - Terrains 
        secondaires - Etage Cénomanien, fasc. 4, t. 1, p.116 | 
  
  
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        paratype, conservé 
        au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris 
     | 
  
  
    | 
        figuré in
        Cotteau, Peron & Gauthier, 1878,
        
        Echinides fossiles de l'Algérie - Terrains 
        secondaires - Etage Cénomanien, fasc. 4, t. 1, p.116 | 
  
  
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          Mecaster 
          gabrielis
          (Peron & Gauthier,1878) - 
          Cénomanien, Charente Maritime, 30 mm  | 
            | 
         
       
      
     
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        Mecaster 
          latigrunda
          (Peron & Gauthier,1880)  | 
            | 
         
       
      
     
     | 
  
  
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    | 
    diagnose originale de 
    l'espèce par Peron & Gauthier | 
  
  
    | 
    Echinides fossiles de 
    l'Algérie, description des espèces déjà recueillies dans ce pays et 
    considérations sur leur position stratigraphique, 1880, p.69 | 
  
  
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          Hemiaster Latigrunda, 
          Peron et Gauthier, 1880. 
          Pl.V, fig. 
          1-5. 
          
          Periaster Fourneli 
          (pars.), Coquand, Mém. de la Soc. d'émul. de la Prov., t. II, 
          pl. XXVI, fig. 15-16 (exclus les autres). 
          
            
            
              
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                Long. | 
                
                12 mill. | 
                
                Larg., | 
                
                12 mill. | 
                
                Haut., | 
                
                9 mill. | 
               
              
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                - | 
                
                28 | 
                
                - | 
                
                26 | 
                
                - | 
                
                18 | 
               
              
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                - | 
                
                43 | 
                
                - | 
                
                42 | 
                
                - | 
                
                29 | 
               
             
            
           
               
          Espèce  d'assez grande taille, plus ou moins élevée, polygonale, 
          fortement anguleuse, profondément échancrée en avant, rétrécie et 
          tronquée verticalement en arrière. Face supérieure inégale et 
          tourmentée, toujours brusquement déclive en avant, plus ou moins 
          inclinée en arrière, avec carène interambulacraire généralement aiguë. 
          Le point culminant est au sommet apical, qui est excentrique en avant. 
               
          Appareil apical médiocrement développé, court et élargi. Les pores 
          oviducaux sont très rapprochés d'arrière en avant, mais écartés dans 
          le sens de la largeur. Les plaques génitales sont en contact et 
          serrées l'une contre l'autre ; les pores ocellaires peu éloignés ; le 
          corps madréporiforme, petit, mais saillant, occupe le centre. 
               
          Ambulacre impair logé dans un sillon large et profond. Zones porifères 
          assez fortement écartées, formées de pores subvirgulaires, séparés 
          dans chaque paire par un renflement granuliforme très saillant. 
          L'espace intermédiaire est occupé par une granulation fine et 
          homogène, sans tubercules, sauf vers la partie inférieure. 
               
          Ambulacres pairs très longs et très larges, logés dans des sillons 
          profonds, les postérieurs à peine plus courts que les antérieurs. Les 
          zones porifères ont jusqu'à trois millimètres de largeur. Pores 
          allongés, acuminés à la partie interne, chaque paire étant séparée par 
          un petit bourrelet qui porte une rangée de granules. L'espace 
          interporifère, quoique plus étroit qu'une des zones, est encore assez 
          étendu ; il est à peu près lisse, sauf de rares granules 
          microscopiques. 
               
          Péristome à fleur du test, petit, placé à peu près au quart antérieur 
          de la longueur totale, arrondi en avant, bordé en arrière d'une lèvre 
          médiocrement saillante. 
               
          Périprocte ovale, à peine acuminé, placé au sommet d'une area évidée, 
          large et montrant quelques nodosités sur les bords. 
               
          Fasciole péripétale sinueux, passant aux extrémités des ambulacres, 
          très près du bord à la partie antérieure, relevé et anguleux au-dessus 
          du périprocte. 
               
          Tubercules peu développés à la face supérieure, nombreux et 
          irrégulièrement disséminés, plus gros et plus clairsemés en dessous. 
          Granules très abondants, formant des cercles autour des tubercules. 
              
          Rapports et différences. - L'Hem. latigrunda a souvent 
          été confondu dans les collections avec l'Hem. Fourneli, dont on 
          le regardait comme une variété exagérée. Nous-mêmes avons longtemps 
          hésité à ce sujet ; mais les recherches de M. Durand, à Laghouat, nous 
          ont procuré, et abondamment, des exemplaires de tous les âges, depuis 
          huit millimètres de longueur jusqu'à la plus grande taille. Le type 
          est parfaitement constant et offre à tout âge les mêmes différences 
          avec la forme normale de l'Hem. Fourneli. L'Hem. latigrunda 
          a toujours la face supérieure moins horizontale et souvent beaucoup 
          plus élevée ; il présente à cette partie une courbe très prononcée, 
          presque abrupte en avant, déclive en arrière et fréquemment avec une 
          pente accentuée ; les aires ambulacraires sont bornées par   
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           une carène 
          plus saillante au-dessus des sillons profonds et larges où s'étendent 
          les longues zones porifères ; le pourtour est beaucoup plus anguleux, 
          plus entamé par le sillon antérieur. L'appareil apical est constamment 
          moins large, moins développé, et les pores ocellaires sont moins 
          éloignés des plaques génitales. Les autres détails, comme la longueur 
          et la largeur des ambulacres, la disposition des pores, sont ceux de 
          l'Hem. Fourneli ; mais nous n'hésitons plus à séparer 
          spécifiquement les exemplaires qui nous occupent, depuis que nous 
          avons pu constater la persistance des caractères distinctifs dans les 
          individus les plus jeunes comme dans les plus âgés. Dans le jeune âge, 
          entre exemplaires de même taille appartenant à chaque espèce, la 
          physionomie est encore plus différente que dans les grands individus. 
               
          On peut aussi comparer notre nouvelle espèce à l'Hem. latisulcatus 
          (ou Periaster), Desor, du terrain nummulitique d'Egypte. Cette 
          dernière espèce, que nous ne connaissons que par le moule en plâtre T. 
          8, présente un aspect qui n'est pas sans analogie avec l'H. 
          latigrunda, par suite de l'énorme largeur des sillons 
          ambulacraires ; mais elle est moins allongée, plus élargie, plus 
          déprimée, et la face supérieure est moins tourmentée, les carènes 
          interambulacraires étant moins saillanges. 
              
          Localité. - Tébessa, 
          Laghouat (Tizigrarine), Krenchela, Batna (un exemplaire douteux). M. 
          Coquand, qui a recueilli cette espèce sur place à Tébessa, la met dans 
          son étage mornasien ; nous croyons aussi que la couche qui la renferme 
          à Laghouat est inférieure au vrai sénonien. Nos renseignements sont 
          moins précis pour Krenchela. 
               
          Etage turonien. - Assez abondant. 
               
          Collections Coquand, Peron, Cotteau, Gauthier, Jullien, Durand. 
              
          Explication des Figures. 
          - Pl. V, fig. 1, Hemiaster latigrunda, de la coll. de M. 
          Jullien, vu de côté 
          
            
          
          planche  V 
          (extrait) 
          
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        figuré, conservé 
        au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris 
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        figuré in
        Gauthier, 1885,  Sur 
        quelques échinides monstrueux appartenant au genre Hemiaster, p.260 | 
  
  
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          Mecaster 
          latigrunda
          (Peron & Gauthier,1880) - 
          Turonien, région de Tebessa, Algérie, 44 mm  | 
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        Mecaster luynesi
          (Cotteau,1869)  | 
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    | 
      | 
  
  
    | 
    diagnose originale de 
    l'espèce par Cotteau | 
  
  
    | 
    Notice sur les 
    échinides fossiles recueillis par M. Louis Lartet en Syrie et en Idumée 
    pendant son voyage avec le duc de Luynes, 1869, p.535 | 
  
  
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          | 
               
          Hemiaster Luynesi, 
          Cotteau (n. Sp.) - Cette espèce que je considère comme nouvelle 
          offre assurément quelque ressemblance avec certaines variétés renflées 
          et à aires ambulacraires profondes de l'H. Fourneli ; elle s'en 
          éloigne cependant par son ambitus peu anguleux, ses aires 
          ambulacraires plus excavées et formées de zones porifères plus larges, 
          son sommet un peu plus excentrique en avant, ses aires 
          interambulacraires plus saillantes près du sommet et donnant à la face 
          supérieure un aspect plus égal et plus renflé, son péristome moins 
          transverse et plus éloigné du bord. Ce dernier caractère surtout est 
          constant et ne permet pas de confondre les deux espèces. 
              
          Loc. Schihan (Ammonitide). 
           | 
            | 
          
           
          fig. in texte, 
          p.534 (extrait) 
          
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          Mecaster luynesi
          (Cotteau,1869) 
          
        - Cénomanien, 
          Jordanie, 20 mm  | 
            | 
         
       
      
     
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        Mecaster 
        lusitanicus
          (de Loriol,1888)  | 
            | 
         
       
      
     
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      | 
  
  
    | 
    diagnose originale de 
    l'espèce par de Loriol | 
  
  
    | 
    Recueil d'études 
    paléotologiques sur la faune crétacique du Portugal, volume II, description 
    des échinodermes, 1888, p.100 | 
  
  
    | 
      | 
  
  
    
    
      
      
        
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          Hemiaster lusitanicus, 
          P. de Loriol, 1888 
          Pl.XIX, fig. 
          1-7. 
          Dimensions 
          
            
            
              
                | 
                
                Longueur........................................................ | 
                
                35 à 54 
                mill. | 
               
              
                | 
                Largeur, 
                par rapport à la longueur.................... | 
                
                0,86 à 0,90 | 
               
              
                | 
                Hauteur, 
                par rapport à la longueur.................... | 
                
                0,54 à 0,62 | 
               
             
            
           
               
          Test ovale, allongé, arrondi et légèrement échancré en avant, rétréci, 
          tronqué, et un peu évidé en arrière. Face supérieure ordinairement 
          très déprimée, plus ou moins déclive en avant, parfois très peu, ou 
          même pas du tout, jamais beaucoup. L'apex se trouve presque toujours 
          sur l'aire postérieure impaire qui est ordinairement un peu plus 
          relevée que les autres. Les aires interambulacraires antérieures 
          paires sont étroites et assez renflées, presque autant que l'impaire, 
          et légèrement carénées ; cette carène, vers le milieu de la longueur, 
          se change en un méplat étroit et assez accusé ; les deux aires 
          interambulacraires postérieures paires ne sont, ni très rétrécies, ni 
          renflées à leur origine. Face inférieure régulièrement convexe, un peu 
          renflée, mais nullement carénée sur le plastron, excavée autour du 
          péristome. Pourtour arrondi et renflé. 
               
          Appareil apical notablement excentrique en arrière, aux 56 ou 58 
          centièmes de la longueur de la face supérieure. Les pores génitaux 
          sont bien ouverts, et très rapprochés ; les postérieurs un peu plus 
          écartés que les antérieurs. Plaque génitale droite-antérieure occupée 
          entièrement par le corps madréporique ; celui-ci ne dépasse pas les 
          plaques postérieures qu'il sépare largement ; les trois autres plaques 
          génitales sont peu étendues. Les plaques ocellaires triangulaires et 
          fort petites. 
               
          Ambulacre antérieur impair relativement court ; chacune de ses zones 
          porifères compte de 26 à 32 maires de pores, suivant la taille ; les 
          pores sont un peu obliques et séparés, dans chaque paire, par un petit 
          granule. Le sillon est creusé assez profondément à son origine avec 
          des parois coupées droit, il s'évase bientôt considérablement en 
          diminuant e profondeur, il échancre le bord très largement, mais peu 
          profondément, et se continue, assez distinct, jusqu'au péristome. Le 
          fond du sillon est couvert d'une granulation extrêmement fine, mais 
          non sériée ; vers le milieu de la longueur apparaissent, en outre 
          quelques petits tubercules. 
               
          Ambulacres antérieurs pairs longs, larges, pas très creusés, 
          légèrement sinueux, assez divergents, très graduellement élargis 
          jusque près de l'extrémité. Les zones porifères postérieures sont 
          droites, les antérieures un peu flexueuses, et arquées à leur 
          extrémité. Dans les exemplaires de taille moyenne, on compte 41 à 44 
          paires de pores dans chaque zone porifère ; ces dernières ont à peu 
          près la même largeur que l'espace interporifère, elles sont 
          quelquefois un peu plus larges. Chaque paire est séparée par une série 
          de granules, et il en existe de très petits, semés dans la zone 
          interporifère. A la face inférieure, ils sont très peu déprimés, et 
          comptent six à sept paires de pores apparents de chaque côté, près du 
          péristome. Les ambulacres postérieurs pairs sont beaucoup plus courts 
          que les antérieurs, n'ayant que 26 à 28 paires de pores pour chaque 
          zone porifère ; ils sont, en outre, plus étroits, et moins creusés ; 
          leur divergence est exactement la même. 
               
          Péristome assez éloigné du bord, semilunaire, très peu ouvert, masqué 
          en grande partie par une lèvre large, mince, un peu arrondie en avant, 
          et repliée sur les côtés, elle ne s'avance pas en pointe au milieu de 
          l'ouverture, mais elle la cache dans toute sa largeur. 
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          Périprocte ovale, allongé, ouvert tout au sommet de la face 
          postérieure qui, dès l'extrémité de la carène de l'aire 
          interambulacraire impaire, est tronquée obliquement, avec une large 
          area sub-anale bien marquée, évidée, sans être limitée par une série 
          de nodosités. 
               
          Fasciole péripétale étroit, serrant de près les extrémités des 
          ambulacres pairs, mais très peu sinueux, coupant les aires 
          interambulacraires postérieures paires, suivant une ligne légèrement 
          concave en dedans. 
               
          Tubercules très petits et assez serrés à la face supérieure, plus 
          développés autour des ambulacres et au pourtour, assez volumineux et 
          écartés à la face inférieure, serrés et inégaux sur le plastron. 
               
          Variations. - J'ai eu entre les mains de nombreux exemplaires, mais je 
          n'ai observé que des modifications de peu d'importance ; quelques 
          variations dans la largeur et la hauteur relatives ainsi que le 
          montrent les dimensions données, la déclivité de la région antérieure 
          un peu plus sensible dans certains individus que dans d'autres, la 
          saillie un peu plus forte de l'aire interambulacraire impaire, ou des 
          aires interambulacraires antérieures paires, telles sont les seules 
          variations que j'ai à signaler, et elles ne sont jamais très 
          accentuées. 
               
          Rapports et différences. - Cette espèce est bien caractérisée. Elle 
          peut-être rapprochée de l'Hemiaster batnensis, mais elle s'en 
          distingue sans peine par son appareil apical plus excentrique en 
          arrière, ses ambulacres postérieurs pairs proportionnellement bien 
          plus courts et plus divergents, sa face postérieure coupée plus 
          obliquement et évidée par l'area ous anale. Dans l'Hem. Fourneli, 
          dont la forme générale est analogue, les ambulacres sont tous beaucoup 
          plus creusés, les pairs notablement plus larges et plus longs, surtout 
          les postérieurs. On ne peut le confondre avec l'Hem. scutiger, 
          Forbes. Les caractère de ses ambulacres, sa forme allongée, le 
          distinguent de l'Hem. Meslei auquel il ressemble, sous certains 
          rapports, mais qui est, en outre, bien plus échancré sur le bord 
          antérieur. 
               
          Localités. - Olival près Ourem. - Nazareth, Barcoiço, N. O. de 
          Sargento Mor. - Alcantara. - Monte Serves. 
               
          Rothomagin. 
          
          planche  XIX 
          (extrait) 
          
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          Mecaster 
          lusitanicus
          (de Loriol,1888) 
          
        - Cénomanien 
          supérieur, 
          Portugal, 17 mm  | 
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        Mecaster 
          meghilensis
          (Lambert,1931)  | 
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    diagnose originale de 
    l'espèce par Lambert | 
  
  
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    Notice sur les 
    échinides fossiles recueillis par M. Louis Lartet en Syrie et en Idumée 
    pendant son voyage avec le duc de Luynes, 1869, p.535 | 
  
  
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           Macraster meghilensis
          Lambert. 
          Pl. IV, fig. 
          6, 7. 
               
          Espèce mesurant 29 mm. de longueur, sur une égale largeur et 16 mm. de 
          hauteur, large, polygonale, sinueuse en avant, rétrécie en arrière, à 
          sillon évasé, peu profond et carène postérieure assez saillante ; face 
          supérieure subconique à flancs déclives et interambulacres saillants ; 
          apex très excentrique en avant, carré ; pétaleimpair assez large, 
          formé de pores obliques et même allongés, en chevron ; pétales pairs 
          très larges, droits, très longs ; face postérieure limitée à l'aréa 
          sous-anal ; face inférieure plane et péristome subpentagonal, peu 
          éloigné du bord ; périprocte arrondi, ouvert à l'extrémité de la 
          carène. Tubercules assez saillants, inégaux, épars dans une fine 
          granulation ; pas de fasciole ; c'est à peine si l'on observe à 
          l'extrémité des pétales postérieurs quelques granules plus petits et 
          plus serrés. 
               
          Trois individus sur quatre ont été confondus par Gauthier avec l'Hemiaster 
          Heberti Coquand (Epiaster) 
          et regardés comme des individus adètes de cette espèce, dont la forme 
          générale est peu différente, mais qui se distingue par son péristome 
          labié et la disposition des pores de son pétale impair. 
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          L'espèce est voisine du M. silvaticus
          Lambert de l'Aptien de 
          Aïn Akial, mais en diffère par son apex plus excentrique en avant et 
          ses pétales pairs encore plus larges, les postérieurs beaucoup plus 
          longs. Chez M. Roberti 
          Lambert, du Vraconnien espagnol, la forme est plus arrondie, 
          les bords sont plus renflés ; le sillon antérieur est plus atténué ; 
          les pétales pairs, surtout les postérieurs, sont sensiblement moins 
          longs 
               
          Localités : Djebel Meghila, Djebel Semama ; Etage Cénomanien. 
          
          planche IV (extrait) 
          
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          Mecaster 
          meghilensis
          Lambert,1931 
          
        - Cénomanien, 
          Tunisie, 34 mm  | 
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        Mecaster 
          pseudofourneli  
          
          (Peron & 
          Gauthier,1878)  | 
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    diagnose originale de 
    l'espèce par Peron & Gauthier | 
  
  
    | 
    Echinides fossiles de 
    l'Algérie, description des espèces déjà recueillies dans ce pays et 
    considérations sur leur position stratigraphique, 1878, p.113 | 
  
  
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          Hemiaster pseudofourneli, 
          Peron et Gauthier, 1878. 
          Pl.IV, fig. 
          5-8. 
          
            
            
              
                | 
                Dimen. du 
                plus grand exempl. : | 
                
                Long. | 
                
                33 mill. | 
                
                Autre exemplaire,  | 
                
                9 mill. | 
               
              
                | 
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                31 | 
                
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                18 | 
               
              
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                29 | 
               
             
            
           
               
          Coquille épaisse, renflée, subglobuleuse, légèrement polygonale au 
          pourtour, rétrécie à l'avant et à l'arrière, un peu moins large que 
          longue, dont la plus grande largeur est à peu près au milieu. Dessus 
          assez élevé, convexe, avec interambulacres saillants, le postérieur 
          peu caréné. Les test forme une courbe assez régulière du sommet à 
          l'area anale, et le point culminant se trouve au milieu de cette 
          courbe. Pourtour peu sinueux en avant ; troncature postérieure presque 
          verticale. Dessous fortement convexe, avec plastron interambulacraire 
          saillant. 
               
          Sommet à peu près central. Appareil apical petit, presque carré ; les 
          plaques génitales sont peu développées en largeur, le corps 
          madréporiforme petit, les pores oviducaux grands, très rapprochés, les 
          postérieurs un peu moins que les antérieurs. 
               
          Ambulacre pair logé dans un sillon plus étroit que les autres, assez 
          excavé, ne s'élargissant que progressivement à partir du sommet, et ne 
          formant au pourtour, où il est superficiel qu'une sinuosité peu 
          profonde. Les zones porifères sont composées de pores petits, arrondis 
          ou un peu ovalaires, rapprochés dans chaque paire et séparés par un 
          renflement granuliforme. Les paires sont assez distinctes, et 
          l'intervalle qui sépare les zones est granuleux. 
               
          Ambulacres pairs allongés, pétaloïdes, profonds, amincis près du 
          sommet et s'élargissant peu à peu, les postérieurs à peu près aussi 
          longs que les antérieurs. Zones porifères larges, composées de pores 
          égaux, allongés, réunis par un léger sillon, et dont chaque paire est 
          séparée de l'autre par une rangée parallèle de petits granules 
          visibles seulement dans les exemplaires bien conservés. 
               
          Péristome assez petit, ovalaire ou subpentagonal, situé dans une 
          légère dépression du test. 
               
          Périprocte arrondi, non acuminé, situé à la partie supérieure d'une 
          area plane et circonscrite par des nodosités. 
               
          Tubercules petits partout, plus clair-semés et un peu plus gros à 
          l'ambitus. Ils sont distinctement crénelés et perforés. Granules très 
          fins, abondants, disséminés irrégulièrement. 
     Fasciole péripétale apparent, légèrement sinueux à 
          l'arrière et sur les côtés. 
              
          Rapports et différences. - Nous avons été fort embarrassés pour 
          fixer d'une manière certaine les limites de cette espèce. Autour du 
          type que nous avons adopté viennent se grouper une foule de variétés 
          dont quelques-unes s'accentuent tellement, qu'elles semblent demander 
          une autre désignation spécifique. Des caractères communs réunissent 
          toutes les divergences ; et si, au premier aspect, on est tenté de 
          séparer certains individus, un examen plus attentif les fait rattacher 
          au type normal. 
               
          L'Hem. pseudofourneli se distingue de l'Hem. Batnensis 
          par sa forme renflée, moins rectangulaire, son sommet plus en avant, 
          ses ambulacres moins inégaux, son périprocte plus arrondi, ses pores 
          conjugués. Il n'atteint d'ailleurs jamais, à beaucoup près, la taille 
          de cette espèce. 
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            | 
          
                
          Des différences aussi nombreuses et de même valeur séparent cette 
          espèce de notre Hem. Gabrielis. Elle est beaucoup plus élevée 
          que ce dernier et plus anguleuse. Les ambulacres sont plus égaux et 
          plus profonds, l'ambulacre impair bien plus étroit, l'appareil apical 
          bien moins large, enfin la partie postérieure est tronquée plus 
          verticalement et le périprocte est plus grand et plus rond. 
               
          L'espèce dont notre Hem. pseudofourneli se rapproche le plus 
          paraît être l'Hem. Fourneli, Deshayes, que nous rencontrerons 
          dans les étages supérieurs. Dans une étude sur les environs d'Aumale, 
          l'un de nous (1) avait même rapporté à ce type spécifique quelques 
          exemplaires recueillis dans cette localité et qu'il lui paraissait 
          difficile de séparer de certaines variétés de l'Hem. Fourneli. 
          Les matériaux considérables que nous avons recueillis depuis nous ont 
          permis de reconnaître des différences bien constantes et qui se 
          retrouvent dans les individus de localités éloignées. Il nous paraît 
          donc aujourd'hui nécessaire de séparer ces deux espèces. 
               
          L'Hemiaster Fourneli, comme toutes les espèces représentées par 
          un nombre énorme d'individus, présente des variétés infinies, parmi 
          lesquelles il en est qui se rapprochent plus ou moins de notre nouveau 
          type. Toutes cependant ont toujours l'ambulacre impair plus large, 
          plus évasé, s'élargissant plus brusquement à peu de distance du 
          sommet. L'appareil apical est beaucoup plus élargi et en même temps 
          raccourci dans la longueur, le sommet est moins central, le périprocte 
          non arrondi et plus ovale ; la granulation différente. Nous 
          reviendrons d'ailleurs en détail sur ces différences quand nous 
          décrirons cette espèce. 
              
          Localité. - L'Hemiaster 
          pseudofourneli ne paraît être commun dans aucun des gisements 
          assez nombreux que nous connaissons, si ce n'est à Bou-Saada, où on le 
          trouve dans plusieurs zones. A Aumale, c'est dans les couches 
          supérieures de l'étage cénomanien, dans notre zone à Epiaster 
          Henrici, que nous l'avons rencontré. Nous en avons recueilli 
          également quelques rares individus à Batna et à Aïn-Baïra. M. Jullien 
          nous en a communiqué de bons exemplaires provenant des marnes 
          rhotomagiennes de Krenchela ; enfin M. Coquand l'a rapporté de 
          Tenoukla, et, l'ayant déjà distingué des espèces voisines, l'avait 
          classé dans sa collection sous le nom de Hem. Schloenbachi. 
              
          Explication des figures. 
          - Pl. IV, fig. 5, Hemiaster pseudofourneli, vu de côté ; fig. 
          6, face sup. ; fig. 7, face inf. ; fig. 8, aire ambulacraire paire 
          grossie. 
            
          
          (1) Peron, Bull. de la Soc. géol., t. 
          XXIII, 1866. 
          
          planche  IV 
          (extrait) 
          
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        figuré, conservé 
        au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris 
     | 
  
  
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        figuré in
        Amard & al., 
        1981,  Etude 
        stratigraphique et paléontologique du Crétacé supérieur et Paléocène du 
        Tinrhert-W et Tademaït-E (Sahara algérien), p.97 | 
  
  
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          Mecaster 
          pseudofourneli  
          
          (Peron & 
          Gauthier,1878) 
          
        - Cénomanien, 
          Tunisie, 30 mm  | 
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          Mecaster 
          pseudofourneli  
          
          (Peron & 
          Gauthier,1878) 
          
        - Cénomanien, 
          Tunisie, 33 mm  | 
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        Mecaster 
        saulcyanus  
          
          (d'Orbigny,1854)  | 
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    diagnose originale de 
    l'espèce par d'Orbigny | 
  
  
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    Paléontologie 
    française, terrains crétacés, tome VI, p.258 | 
  
  
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           N° 2189 Hemiaster 
          Saulcyanus, 
          d'Orb., 1854. 
          Pl. 890. 
              
          Dimensions. Longueur totale, 45 millimètres. Par rapport à la 
          longueur : largeur, 90 centièmes ; hauteur, 60 centièmes. 
              
          Coquille déprimée, un peu anguleuse, plus longue que large, 
          montrant en avant un profond sinus et deux larges facettes prononcées, 
          en arrière un peu rétrécie, avec deux facettes latérales, et la partie 
          postérieure tronquée et même sinueuse. La hauteur a les 60 centièmes 
          de l'ensemble, et le grand diamètre transversal est au tiers 
          antérieur. Dessus peu convexe, obtus et surbaissé en avant ; de 
          ce point s'élevant en pente déclive jusque près du sommet, qui est 
          excavé ; la courbe se relève de nouveau et se continue en pente 
          jusqu'à l'aréa anale coupée obliquement. Le sommet est environ au 
          milieu ; le pourtour obtus offre sa plus grande saillie à la base. 
          Dessous très-plat, excavé autour de la bouche, à peine renflé à la 
          région médiane postérieure, où se voient, en arrière, quelques 
          saillies coniques. Sillon antérieur très-large et profond 
          partout. Bouche transverse, placée en avant des trois quarts 
          antérieurs. Anus ovale longitudinalement, placé à la partie 
          supérieure d'une large aréa bordée de saillies. Ambulacre impair 
          aussi large que les autres ; zones assez larges, formées de paires de 
          pores obliques, séparées par une saillie ; les pores sont allongés et 
          inégaux. Ambulacres pairs presque égaux, très-larges, 
          très-profonds et presque droits, dont les zones sont plus larges que 
          leur intervalle. Les pores sont inégaux bien plus longs en dehors, 
          tous très-allongés, reliés entre eux par un sillon. On remarque 
          au-dessus de chaque paire une ligne de petits tubercules. Les 
          tubercules sont très-petits et très-écartés à la surface de la 
          coquille ; ils sont bien plus gros en dessous. Le fasciole est 
          large et presque marginal autour de la coquille, arrondi en avant et 
          en arrière, sinueux sur les côtés. 
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          Rapports et différences. Par sa forme déprimée, par ses longs 
          ambulacres peu inégaux, cette espèce se rapproche de l'H. cubicus, 
          mais elle est bien plus déprimée ; à ambulacres et sillon bien plus 
          larges ; sa bouche est moins antérieure, son dessous plus plate et 
          tous les détails différents. 
              
          Localité. M. de Saulcy, à qui la science doit des travaux si 
          importants sur le Levant, a recueilli cette espèce au mont Liban. Nous 
          la croyons du 22e étage sénonien ou de la craie blanche, d'après les 
          Ammonites rencontrées dans les mêmes couches. 
              
          Explication des figures. Pl. 890, fig. 1, coquille de grandeur 
          naturelle, vue en dessus ; fig. 2, dessous ; fig. 3, profil 
          longitudinal ; fig. 4, profil transversal, du côté de la bouche ; fig. 
          5, le même, du côté opposé ; fig. 6, ambulacres grossis ; fig. 7, zone 
          de l'ambulacre impair grossie ; fig. 8, zone de l'ambulacre pair 
          antérieur grossie. De notre collection. 
          
            
          
          planche  890 
          (extrait) 
          
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        syntypes, 
        conservés au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris 
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        figurés in
        d'Orgigny, 1854,  Paléontologie 
        française - Terrains crétacés - Echinodermes, t. 6 , p. 258 | 
  
  
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         in
    Devries, 1960,  Note 
    sur Hemiaster saulcyi, d'ORBIGNY, p.7  | 
    
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          Mecaster cf. 
          saulcyanus
          (D'Orbigny,1854) 
          
        - Cénomanien, 
          Nord Amman, Jordanie, 23 mm  | 
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          Mecaster cf. 
          saulcyanus
          (D'Orbigny,1854) 
          
        - Cénomanien, 
          Nord Amman, Jordanie, 30 mm  | 
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          Mecaster 
          scutiger
          (Forbes,1850)  | 
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    diagnose originale de 
    l'espèce par Forbes in Sharpe,1850, p.198 | 
  
  
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    On the secondary rocks 
    of Portugal | 
  
  
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          Brissus scutiger. Pl.-XXV. 
          fig. 5. 
          B. 
          (Brissopsis) testâ cordatâ, tumidâ, 
          supernè subdepressâ, areâ anali couvexâ, declivente, lateribus 
          prominentibus, posticè rotundato-truncatâ, ambulacris antero-lateribus 
          lanceolatis impressis, postero-lateralibus ovatis-oblongis, areâ post-orali 
          triangulari. 
               
          Breadth 11/12 inch ; length l1/12 inch ; height
          8/12 inch. 
               
          The outhne of this Brissus is cordate, truncate posteriorly, tumid at 
          the sides. The true apex is nearly central, and from that point the 
          back declines gradually in front and rises suddenly posteriorly, but 
          the rise is very brief, and then there is a gradual gently curved 
          declension to the oval, not very large anus. The hinder extremity is 
          truncated steeply with a slight obhquity. The ambulacra are placed in 
          gentle, but conspicuous depressions, all equally deep. The 
          anterolateral ones T\idely diverge, the postero-laterals but slightly 
          comparatively. In the former there are about thhty pairs of pores in 
          each row, in the latter about twentv-four. The former are broadlv 
          lanceolate, the latter oblong. All are surrounded by a very slightly 
          sinuated fasciole inclosing a shield-like space. The surface of the 
          test is covered with scattered tubercles 
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          surrounded by rings of granules 
          ; the interspaces are minutely granulated. The subanal fasciole is 
          indistinct and distant from the anus. The post-oral spinous space is 
          broadly triangular. 
          
               This 
          handsome species is from the upper beds of hippurite limestone, of the 
          valley of Alcantara, near Lisbon. 
          
          planche  XXV(extrait) 
          
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        figuré, conservé 
        au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris 
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        figuré in
        Neraudeau & Courville, 1997,
        
        
        Cenomanian and Turonian echinoids from Nigeria, p.842 | 
  
  
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          Mecaster cf. 
          scutiger
          (Forbes,1850) - 
          Cénomanien, cuenca, Espagne, 14 mm  | 
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          Mecaster 
          scutiger
          (Forbes,1850) 
          
        - Cénomanien, 
          Jordanie, 36 mm  | 
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        Mecaster 
        subtilis  
          
          (de Loriol,1888)  | 
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    diagnose originale de 
    l'espèce par de Loriol | 
  
  
    | 
    Recueil d'études 
    paléontologiques sur la faune crétacique du portugal, volume II, 
    Echinodermes, p.106 | 
  
  
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          hemiaster subtilis, P. 
          de Loriol, 1888 
          Pl. XXI, fig. 
          1-3 
          Pl. 890. 
          D i m e n s i 
          o n s 
          
          
          Longueur................................................   
          31 à 35 mill. 
          
          Largeur, par rapport à la 
          longueur.............   0,90 
          
          Hauteur, par rapport à la 
          longueur.............   0,64 à 0,66 
            
               
          Test largement ovale, presque également rétréci en avant et en 
          arrière, arrondi et échancré en avant, tronqué et un peu évidé en 
          arrière. Face supérieure relativement peu élevée quoiqu'assez renflée, 
          pas plus déclive en avant qu'en arrière, presqu'uniformément et assez 
          fortement convexe. L'aire interambulacraire postérieure impaire est un 
          peu plus relevée que les autres et assez carénée. Les quatre autres, 
          paires, sont également rétrécies et un peu saillantes au sommet ; les 
          deux postérieures présentent un méplat assez sensible, limité par de 
          légères nodosités. Face inférieure presque plane, légèrement renflée 
          sur le plastron. Pourtour arrondi et renflé. L'apex est très 
          excentrique en arrière, sur la carène postérieure. 
               
          Appareil apical un peu enfoncé entre les aires interambulacraires, un 
          peu excentrique en arrière. Le corps madréporique sépare les deux 
          plaques génitales postérieures sans les dépasser. Les quatre pores 
          génitaux sont très rapprochés, ceux de la paire postérieure plus 
          écartés l'un de l'autre ; tous sont entourés d'un cercle de granules. 
               
          Ambulacre impair dans un sillon large, profond, évasé, creusé dès 
          l'origine et échancrant fortement le pourtour. Les deux zones 
          porifères, composées de 24 paires de pores, sont fort écartées l'une 
          de l'autre ; les pores sont très petits et séparés, dans chaque paire, 
          par un granule très saillant ; au delà des zones porifères régulières 
          les paires de pores sont très écartées et presque imperceptibles ; une 
          légère dépression reçoit, à la face inférieure, l'ambulacre impair. Le 
          fond du sillon est couvert de granules d'une finesse extrême, 
          parfaitement homogènes, et très régulièrement disposés en séries 
          transverses, deux sur chaque plaque ; aux deux tiers en avant de la 
          longueur du sillon, ces séries deviennent moins régulières, et on voit 
          apparaître quelques tubercules épars. Les ambulacres pairs ne sont ni 
          très larges, ni très longs, relativement étroits, mais logés dans des 
          sillons profonds et évasés. Les antérieurs, pas très divergents, 
          relativement, ont leurs zones porifères antérieures un peu arquées ; 
          ils ont trente neuf paires de pores très rapprochées, les premières à 
          peine perceptibles ; l'espace interporifère, un peu plus large que 
          l'une des zones porifères, parait lisse, mais il est, en réalité, 
          couvert d'un chagrin à peine perceptible à un fort grossissement. Les 
          ambulacres postérieurs, un peu moins divergents, et légèrement 
          courbés, ont trente trois paires de pores. 
           | 
            | 
          
                
          Péristome petit, semilunaire, éloigné du bord, pourvu, en arrière, 
          d'une lèvre étroite, très saillante. 
               
          Périprocte ovale, allongé, étroit, ouvert assez haut, à l'origine 
          d'une area un peu évidée, bordée de légers bourrelets, et un peu 
          oblique. 
               
          Fasciole péripétale assez large, serrant de près les extrémités des 
          ambulacres, et n'entrant que légèrement dans les aires 
          interambulacraires postérieures paires. 
               
          Tubercules de la face supérieure petits, épars ; on en voit quelques 
          uns sur les aires interambulacraires antérieures paires, qui sont 
          notablement plus développés que les autres ; il s'en trouve aussi dans 
          les sillons ambulacraires, au dessus des zones porifères. Au pourtour, 
          les tubercules sont bien plus volumineux dans la région antérieure ; 
          ils sont assez forts et serrés sur le plastron. Toute la surface 
          intermédiaire est occupée par une granulation d'une finesse extrême et 
          très serrée. 
               
          Rapports et différences. - Cet Hemiaster, dont je connais 
          quelques bons exemplaires, se distingue de l'Hem. lusitanicus 
          que l'on rencontre dans la même localité, par son ensemble moins 
          déprimé, sa région antérieure plus rétrécie, son bord antérieur 
          échancré plus profondément par le sillon, ses ambulacres pairs moins 
          inégaux, moins longs, les postérieurs moins divergents et courbés, les 
          antérieurs avec leurs zones porifères antérieures moins sinueuses, 
          enfin par son appareil apical plus central. Il ressemble un peu à l'Hem. 
          Chauveneti, Péron et Gauthier, mais il est moins profondément 
          échancré en avant, sa face supérieure est moins renflée, ses 
          ambulacres antérieurs pairs sont moins divergents et moins droits. 
               
          Localité. - Monte Serves. 
               
          Niveau à Ostrea pseudo-africana. 
          
          planche  XXI 
          (extrait) 
          
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          Mecaster 
          subtilis  
          
          (de Loriol,1888) 
        - Cénomanien, 
          Somolinos, Guadalajara, Espagne, 18 mm  | 
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          Mecaster 
          syriacus  
           
          
          (Conrad
          
          in
          Lynch,1852)  | 
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    diagnose originale de 
    l'espèce par Conrad, in Lynch, 1852 | 
  
  
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    Description of the 
    fossils of Syria collected in the Palestine expedition, p.212 | 
  
  
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          Holaster.-
          Agassiz. 
          
               
          Holaster Syriacus, Pl. 1, fig. 2.  Cordate, widely truncated 
          posteriorly ; anterior side of disk very oblique ; canal wide and 
          profound ; ambulacral areas deeply impressed ; posterior paie of 
          ambulacra, short and obtuse ; posterior side of disk carinated in the 
          middle ; anus large, suboval, distant from the basal line ; mouth 
          transverse, suboval. 
          
               Local.: 
          Mount Lebanon. 
          
          planche  1 
          (extrait) 
          
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        figuré, conservé 
        au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris 
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    | 
        figuré in
        Neraudeau & al, 
        1993,
        Les 
        échinides du Cénomanien supérieur et du Turonien inférieur du Tinrhert 
        oriental et central (Sahara algérien), p.294 | 
  
  
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          Mecaster 
          syriacus  
          
          (Conrad
          
          in
          Lynch,1852)
          
          
        - Cénomanien, 
          al adasiyah bei na ur, Jordanie, 35 mm  | 
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          Mecaster 
          syriacus  
           
          
          (Conrad
          
          in
          Lynch,1852)
          
          - Cénomanien, 
          Jordanie, 36 mm  | 
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          Mecaster 
          syriacus 
          
          (Conrad
          
          in
          Lynch,1852)
          
          - Cénomanien, 
          Hammamat Ma'In, Jordanie, 33 mm  | 
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    Genre   
    
    Palhemiaster
    
    
    
     Lambert, 1916 
    Description des 
    échinides des terrains néogènes du bassin du Rhône, p.155 
          
    Espèce type
     Palhemiaster peroni
    Lambert, 1916
     
    Ibid. , p.160 (désignation originale) 
    Extension 
    stratigraphique (bibliographique, 
    non vérifiée) : Aptien - Albien  | 
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    description/discussion 
    du genre par Lambert, 1920 | 
  
  
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    Sur quelques genres 
    nouveaux d'échinides, p.159 | 
  
  
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           Genre 
          Palhemiaster LAMBERT, 1916 
          Palhrmioster Lambert : Sur l'existence de l'étage Valengien, 
          p. 71; 1916, 
          Mémoires de la Société Académique de l'Aube, t. LXXX 
  
               
          Test de moyenne taille, subpolygonal, un peu plus long que large, 
          subtronqué et plus rétréci en arrière qu'en avant, échancré par un 
          sillon antérieur peu profond, qui remonte jusqu'à l'apex et s'atténue 
          vers le péristome. Face supérieure renflée, avec larges pétales 
          droits, déprimés et 
          aires interambulacraires saillantes vers l'apex. Face inférieure 
          subpulvinée, avec péristome excentrique en avant, subpentagonal, sans 
          saillie du labrum. Face postérieure étroite, au sommet de laquelle 
          s'ouvre un périprocle ovale. Apex compact, à quatre pores génitaux et 
          ocellaires externes. Pétales hétérogènes chez le jeune, mais tendant à 
          s'harmoniser chez l'adulte, par suite de la variabilité de l'impair, 
          composé d'abord de pores ronds, séparés par un granule ; les pores 
          externes s'allongent ensuite un peu ; ceux des rangées internes 
          subissent plus tard une modification analogue et, chez l'adulte, le 
          pétale impair ne diffère plus que par le développement un peu moindre 
          de ses pores. Zones porifères des pétales pairs larges, composées de 
          pores transverses, très allongés, d'abord séparés par un granule, puis 
          reliés par un sillon qui se creuse au-dessous du granule séparateur 
          primitif. Fasciole péripétale diffus, large, bien net à l'arrière, se 
          perdant en avant dans les granules épars qui l'avoisinent ; aucune 
          trace de fasciole sous-anal. 
           
     Type : P. Peroni Lambert de l'Aptien de Ain 
          Akial (Constantine). On en connaît une seconde espèce de l'Albien de 
          Bou Thaleb. 
           
     Par certains caractères, ce type rappelle un peu un 
          Toxaster du Néocomien du Maroc (Ait-El-Faci, Barroudi, Arbalon), que, 
          dans ma correspondance avec M. Gentil, j'ai désigné sous le nom de 
          Toxaster Peroni et dont certains individus présentent les traces 
          d'un fasciole diffus  
          Mais Palhemiaster en diffère par sa forme plus renflée, ses 
          pétales droits, avec zone interporifère non tuberculée, par son 
          péristome moins nettement pentagonal, son fasciole distinct et sa 
          physionomie générale d'Hemiaster algérien. 
           
     Palhemiaster diffère cependant d'Hemiaster par 
          son péristome plus pentagonal, son fasciole diffus et surtout son 
          pétale impair devenant chez l'adulte semblable aux autres, en sorte 
          que seuls les jeunes pourraient être confondus avec des Hemiaster, 
          si les autres caractères signalés 
          ne permettaient de les en séparer. Il faut, d'ailleurs, reconnaître 
          que le pentagone primitif du péristome s'est mieux conservé, par suite 
          du moindre développement du labrum chez les Hemiasteritiae que chez 
          les Micrasterinae, et que ce caractère n'a pas une valeur absolue de 
          nature à légitimer l'établissement d'un groupe tout à fait 
          particulier, comme celui proposé par Loven et par Duncan.  
              
          En réalité, ce qui fait le grand 
          intérêt de Palhemiaster, c'est de pouvoir être considéré comme 
          une forme primitive, non sans doute de tous les Hemiaster, mais 
          au moins des Hemiaster algériens, qui ont la même forme 
          générale et dont les pétales sont ceux des jeunes Palhemiaster. 
          C'est aussi de pouvoir être supposé le dérivé d'un Toxaster du 
          Néocomien du Maroc. Il rattacherait aussi les Hemiaster du type
          latigrunda à la forme première des Spatarigides, comme 
          Pliotoxaster, de l'Urgonien, rattacherait les Hemiaster d'Europe, 
          dérivés du H. oriens, Aptien, au Toxaster primitif du 
          Valanginien. Ces deux groupes, génériquement inséparables, malgré une 
          physionomie un peu différente, des Hemiaster d'Europe et des 
          Hemiaster d'Afrique, seraient donc dérivés d'une commune origine, 
          les premiers Toxaster, mais par deux séries de mutations 
          différentes. Ce fait tend à prouver que l'évolution des formes ne se 
          produit pas au hasard, mais suivant des règles qui, pour mystérieuses 
          qu'elles soient, demeurent singulièrement ordonnées. 
           
     Ne savons-nous pas, d'ailleurs, que les formes évoluent 
          diversement, les unes se conservant presqu'immuables pendant une 
          longue partie des temps géologiques, les autres se modifiant avec une 
          éphémère rapidité ; mais dans leurs modifications elles  ne 
          s'éloignent pas toutes indéfiniment du type originaire ; elles 
          semblent ainsi tendre à la réalisation d'un type assez étroitement 
          défini. Il n'est  donc pas défendu de penser que deux séries 
          évolutives aient pu, à un moment donné, différer assez peu pour être 
          représentées, non par deux formes identiques, mais par deux formes 
          assez rapprochées pour être génériquement inséparables. 
           
     L'homogénéité ambulacraire qui était la règle chez les 
          premiers Nodostomata et s'était conservée chez la plupart des
          Procassiduloida, n'a généralement pas persisté chez les 
          Spatangoida. Pour eux, l'hétérogénéité est devenue la règle, mais 
          non sans de nombreux retours dans les divers groupes à la forme 
          primitive. Ces retours exceptionnels chez les Periasteridae, 
          s'observent chez beaucoup de Plesiasteridae, comme Isaster,
          Gibbaster, lsomicraster ou Isopneustes et chez 
          quelques Paleostomidae anciens, comme Douvillaster, qui 
          n'ont pas acquis, mais ont conservé ce vieux caractère des premiers 
          Nodostomata. 
           
     Le genre Palhemiaster, incidemment proposé dans 
          ma note Sur l'existence de l'étage Valangien, p. 74, n'avait 
          jamais été l'objet d'une complète diagnose et l'espèce type, P. 
          Peroni, n'avait encore été ni décrite, ni figurée 
          
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          Palhemiaster comanchei 
          (Clark,1915)  | 
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    | 
    diagnose originale de 
    l'espèce par Clark in Clark & Twitchell, 1915 | 
  
  
    | 
    Mesozoic and cenozoic 
    echinodermata of the United States, p.90 | 
  
  
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          Hemiaster COMANCHEI, 
          Clark, n. sp. 
          Plate XLVI, 
          figures 2a-d. 
              
          Determinative characters. - Test small to medium size, 
          cordiform, high, lower surface flat, sides inflated, apex forward of 
          the center, peripetalous fasciole broad and clearly market ; ambulacra 
          rather narrow, depressed, petaloidal, the posterolateral considerably 
          shorter than the anterolateral, apical system nearly central ; 
          peristome near forward margin ; perproct small, high on sloping 
          posterior surface, showing clearly from above. 
              
          Dimensions. - Lengh 25 to 60 millimeters ; wdth 22 to 50 
          millimeters ; height 18 to 30 millimeters. 
              
          Description. - The test of this species is small to medium 
          sized, cordiform in ambital outline and high. The upper surface is 
          somewhat inflated, the lower surface nearly flat. The sides ar 
          inflated. The apex is forward of the center. 
               
          The ambulacra are rather narrow and depressed, the poriferous zones 
          petaloidal but narrow, the posterolateral pair being considerably 
          shorter than the anterolateral. The single anterior ambulacram in a 
          broad, mederately depressed sulcus The interambulacra are covered with 
          numerous irregularly scattered granules. The peripetalous fascioles 
          are broad and distinct, with granules scattered here and there over 
          the surface. The apical system is nearly central on the upper surface. 
          The peristome is transversely ovate and near the forward margin. The 
          periproct is small, high on sloping posterior surface, and showing 
          clearly from above. 
           | 
            | 
          
               
          Related forms. - H. comanchei is the earliest of the 
          Comanchean hemiasters and possesses certain generalized features which 
          suggest that it is the ancestral form from which H. whitei, 
          H. elegans, H. dalli, and H. calvini were derived.   
          Locality. - Santa Monica Springs, bed of Colorado River, 10 
          miles west of Austin, Tex. 
              
          Geologic Horizon. - Glen Rose limestrone of Trinity group, 
          Comanche series, Cretaceous. 
              
          Collection. - Johns Hopkins University (T 3012). 
          
            
          
          planche  XLVI 
          (extrait) 
          
           | 
         
       
      
     
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        holotype, conservé 
        au Smithsonian National Museum of Natural History | 
  
  
    | 
        figuré in
        Clark & Twitchell, 1915,
        
        Echinides éocènes et miocènes du Qatar (Golfe Persique), p.73 | 
  
  
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          Palhemiaster comanchei 
          (Clark,1915) 
          
        - Albien, 
          Fredericksburg group, Goodland formation, Tarrant county, Texas, 36 mm  | 
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          Palhemiaster 
          peroni Lambert, 1920  | 
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    description du genre 
    par Lambert,1920 | 
  
  
    | 
    Sur quelques genres 
    nouveaux d'échinides, p.159 | 
  
  
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           NDLR : Lambert 
          établit de manière valide cette espèce dans cette publication et la 
          figure, mais son origine remonte à une note de 1916 : Note sur 
          l'étage Valangien, p.84. L'espèce est citée dans cette note, mais 
          n'a pas été figurée, ni décrite précisément. On retiendra donc l'année 
          1920 pour l'établissement de l'espèce, au sens de l'ICZN. Voir 
          supra dans la diagnose du genre pour les caractéristiques de 
          l'espèce type peroni. 
          
          planche II 
          
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    syntype, conservé au 
    Musée National d'Histoire Naturelle de Paris 
     | 
  
  
    | 
        figuré in
    Lambert, 1920,
    Sur 
    quelques genres nouveaux d'échinides, p. 162 | 
  
  
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          Palhemiaster 
          peroni Lambert, 1920, 
          Barrémien, Maroc 25mm, morphe peu élevé et allongé | 
            | 
         
       
          
     
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          Palhemiaster 
          peroni Lambert, 1920, 
          Barrémien, Maroc 28mm, morphe gibbeux | 
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          Palhemiaster 
          peroni Lambert, 1920, 
          Barrémien, Maroc 27mm, morphe très gibbeux et court | 
            | 
         
       
          
     
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    Genre  
    
    Proraster
    
    
    
     Lambert, 1895 
    Essai d'une 
    monographie du genre Micraster et notes sur quelques échinides, p.256 
          
    Espèce type
     Schizaster atavus
    Arnaud in 
    Cotteau & Arnaud, 1883  
    Echinides jurassiques, 
    crétacés et tertiaires du sud-ouest de la France , p.13 (désignation originale) 
    Extension 
    stratigraphique (bibliographique, 
    non vérifiée) : Campanien - 
    Maastrichtien 
    Syn. 
    
     
      - 
    
    
    Sanfilipaster
    Checchia-Rispoli, 1932, 
    p.313. Espèce type : Sanfilipaster geayi
    Cottreau, 1908,, p.26 ; synonyme 
    subjectif plus récent  
     
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    | 
     
    diagnose originale du genre par Lambert (à propos du Micraster Goldfussi)  | 
  
  
    | 
     
    Essai d'une monographie du genre Micraster et notes sur quelques échinides, 
    1895, p.256  | 
  
  
    | 
      | 
  
  
    
    
      
      
        
          | 
                
          Goldfuss rapportait son Spatangus de la craie d'Aix-la-Chapelle 
          à l'Echinus lacunosus, Linné, vivant, en le confondant avec le
          Spatangus lacunosus, Leske, du Tertiaire de Malte. C'était une 
          double erreur : non seulement le fossile allemand est différent du 
          Schizaster lacunosus, Linné (sub Echinus), de l'océan 
          Indien, mais il n'a aucun rapport avec le Spatangus lacunosus, 
          de Leske (Addit. p.227, pl. XXII, fig. A et B), plus tard 
          figuré par Parkinson (Org. rem., pl. III, fig. 12 ; 1811), dont 
          Defrance a fait, en 1827, son Spatangus Parkinsoni (Dict. 
          sc. nat., L. p. 96) et qui est devenu le Schizaster Parkinsoni, 
          Defrance (sub Spatangus). Les auteurs (Desor, Requien, Cotteau, 
          Gregory) qui ont reporté le Schizaster Goldfussi dans la 
          synonymie du Sch. Parkinsoni me paraissent avoir commis une 
          erreur, faute sans doute de s'être reportés à l'errata du Catal. 
          system. 
             | 
            | 
          
               Le type 
          de Goldfuss, d'Aix-la-Chapelle, subglobuleux, très acuminé en arrière, 
          sans fascioles distincts, avec ambulacres excavés, n'est certainement 
          pasun Spatangus. Nécessairement changé de genre, il doit, comme 
          l'avait pensé d'Orbigny, conserver son nom spécifique de lacunosus, et 
          celui de amplus, proposé à tort par Desor, doit être rejeté. Mais 
          l'espèce n'est davantage ni un Hemiaster ni un Schizaster. M. Pomel a 
          reconnu avec raison que ce n'était pas non plus un Opissaster. C'est, 
          en réalité, une forme à rapprocher du Schizaster antiquus, Cotteau, du 
          Garumnien, et je propose pour eux un genre nouveau, Proraster (ϖρώρα), 
          comprenant les prétendus Schizaster crétacés, dépourvus de fasciole 
          latéro-sous-anal et qui montrent quatre pores génitaux à l'apex. Le 
          Schizaster atavus, Arnaud, devra aussi rentrer dans ce genre, qui 
          n'appartient d'ailleurs pas au groupe des Micrastériens. | 
         
       
      
     
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          Proraster atavus 
          (Arnaud in
          Cotteau & Arnaud,1883)  | 
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    | 
     
    diagnose originale de l'espèce par Arnaud  | 
  
  
    | 
     
    Echinides jurassiques, crétacés et tertiaires du sud-ouest de la France, 
    p.223  | 
  
  
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          | 
           N° 221. - 
          Schizaster atavus Arnaud, 1883 
          Pl. XII. fig. 
          5-9. 
               
          Espèce de taille moyenne, oblongue, très profondément échancrée en 
          avant, plus étroite et sub-tronquée en arrière, ayant sa plus grande 
          largeur au point qui correspond au sommet apical ; face supérieure 
          renflée, surtout en arrière du sommet, déclive dans la région 
          antérieur ; face inférieure bombée. Sommet excentrique en arrière. 
          Sillon antérieur très large, très profondément excavé, recourbé et 
          anguleux sur les bords, échancrant fortement l'ambitus et se 
          prolongeant jusqu'au péristome. Aire ambulacraire antérieure droite, 
          large, formée de pores simples, petite, disposés par paires obliques, 
          d'autant plus espacées qu'elles s'éloignent du sommet. La zone 
          interporifère est garnie de granules fins, serrés, homogènes, 
          augmentant un peu de volume, en se rapprochant de la zone porifère. 
          Aires ambulacraires paires antérieures étroites, très flexueuses, 
          excavées, mais beaucoup moins que le sillon antérieur, peu écartées. 
          Zones porifères inégales, les antérieures plus étroites que les 
          autres. Aires ambulacraires paires postérieures très courtes, un peu 
          arrondies, médiocrement excavées. Zones porifères inégales, les 
          antérieures plus étroites que les autres, sans que cependant la 
          différence soit autant sensible que dans les aires ambulacraires 
          paires antérieures. Tubercules fins, serrés, homogènes, plus gros et 
          plus espacés à la face inférieure. Péristome transverse, 
          semi-circulaire, labié, rapproché du bord, relativement peu développé, 
          entouré d'un petit bourrelet saillant. Périprocte s'ouvrant à la face 
          postérieure. Fasciole péripétale très apparent, un peu anguleux. Le 
          fasciole latéro-sous-anal paraît faire défaut dans les exemplaires, 
          cependant parfaitement conservés, que nous avons sous les yeux. 
               
          Hauteur 17 millimètres ; diamètre antéro-postérieur 27 millimètres ; 
          diamètre transversal 26 millimètres. 
               
          Individu plus jeune : hauteur 15,5 millimètres ; diamètre 
          antéro-postérieur 22 millimètres ; diamètre transversal 21 
          millimètres. 
              
          Rapports et différences. 
          - Cette espèce ne saurait être confondue avec aucune autre ; sa forme 
          générale, la largeur et la profondeur du sillon antérieur, son sommet 
          excentrique en arrière, ses aires ambulacraires paires flexueuses la 
          placent incontestablement dans le genre Schizaster, non loin 
          des  
           | 
            | 
          
           espèces 
          tertiaires ou vivantes les mieux caractérisés. Il est à remarquer que, 
          malgré la belle conservation des exemplaires que nous avons sous les 
          yeux, nous n'avons pu y découvrir la trace du fasciole latéro-sous-anal, 
          qui existe chez tous les Schizaster. 
               
          Localités. - La côte près Juillaguet (Charente) ; Mensignac 
          (Dordogne). Rare. Sénonien supérieur. Collection Arnaud, ma 
          collection. 
              
          Explication des figures. 
          - Planche XII, fig. 5, Schizaster atavus, de la collection de 
          M. Arnaud, vu de côté ; fig. 6, face supérieure ; fig. 7, face 
          inférieure ; fig. 8, aire ambulacraire impaire grossie ; fig. 9, aire 
          ambulacraire paire antérieure grossie. 
          
            
          
          planche  XII 
          (extrait) 
          
           | 
         
       
      
     
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    | 
      | 
  
  
    | 
    syntype, conservé au 
    Musée National d'Histoire Naturelle de Paris  | 
  
  
    | 
        figuré in
    Cotteau, 1883,
    Echinides 
    jurassiques, crétacés et éocènes du Sud-Ouest de la France, p.179 | 
  
  
    | 
      | 
  
  
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    | 
      | 
  
  
    | 
    figuré, conservé au 
    Musée National d'Histoire Naturelle de Paris  | 
  
  
    | 
        figuré in
    Lambert, 1927,
    Révision 
    des échinides fossiles de la Catalogne, p.50 | 
  
  
    | 
      | 
  
  
    | 
    
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          Proraster atavus 
          (Arnaud in
          Cotteau,1883) - Campanien inférieur, Charente, 25 mm | 
            | 
         
       
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    Sous-famille
     
    Palaeostominae
    
    
    
     Loven, 
    1867 
    description succinte : 
    disque apical ethmolytique, 2 gonopores. Fasciole péripétale, indenté par 
    une plaque en arrière des pérales antérieurs.  | 
          | 
       
     
      
     
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           | 
        
     
    Genre  
    
    Ditremaster
    
    
    
     Munier Chalmas, 
    1885 
    Observations sur 
    l'appareil apical de quelques échinides crétacés et tertaires, p.1074 
    
    Espèce type
     Hemiaster nux
    Desor, 
    1853 
    Synopsis des échinides fossiles, p.374, par désignation subséquente de 
    Cotteau (1887) Paléontologie française, Terrains tertiaires, Echinides 
    éocènes, tome I, p.422 
    
    Extension 
    stratigraphique (bibliographique, 
    non vérifiée) : Eocène - 
    Miocène 
    Syn. 
    
     
      - 
    
    
    Distefanaster
    Checchia-Rispoli, 1902, 
    p.27. Espèce type : Distefanaster garganicus
    Checchia-Rispoli, 1902, p.30 ; synonyme 
    subjectif plus récent  
     
         | 
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    | 
     
    diagnose du genre par Munier Chalmas  | 
  
  
    | 
    Observations sur 
    l'appareil apicial de quelques Echinides crétacés et tertiaires., p.1074 | 
  
  
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          | 
              
          "   II. Disposition des ouvertures génitales. 
             
          "   Le nombre des pores génitaux a une grande importance 
          générique dans les Echinides tertiaires et crétacés dont je m'occupe 
          dans cette Note. 
             "  
          Plusieurs genres, très communs 
          dans les collections, ont été décrits et figurés soit en France, soit 
          à l'étranger, comme ayant quatre ouvertures génitales, tandis 
          qu'en réalité il n'en existe que trois ou seulement deux. 
          
          A. - Genres 
          ayant seulement trois pores génitaux. 
          
             "   
          1. Isaster Desor. - Dans ce genre, dont on ne connaît encore 
          qu'une seule espèce provenant du Danien des Pyrénées, l'apparil 
          apicial présente seulement trois pores génitaux, la plaque criblée 
          en étant complètement dépourvue. 
             "   
          2. Isopneustes Pomel. - Ce type, très voisin des Cyclaster, 
          renderme cinq ou six espèces sénoniennes et daniennes qui ont été 
          recueillies par M. Hébert dans les Pyrénées ; elles présentent le même 
          nombre de pores génitaux que dans les Isaster. 
             "   
          3. Cyclaster Cotteau. - Les huit ou dix espèces de ce groupe 
          sont toutes tertiaires, les pores génitaux sont également toujours 
          au nombre de trois. 
              "    
          4. Pericosmus Agassiz. - Ce genre, très répandu dans les 
          terrains tertiaires, a été également indiqué à tort comme ayant quatre 
          pores génitaux ; il n'y en a en réalité que trois. La plaque 
          criblée qui en est dépourvue traverse l'appareil apicial ; ce 
          caractère l'éloigne des trois premiers genres dont je viens de parles. 
           | 
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           B. Genres ayant 
          seulement deux pores génitaux. 
              "     
          5. Ditremaster Munier-Chalmas. L'Hemiaster nux Desor, si 
          répandu dans l'Eocène moyen des Alpes, a toujours passé pour avoir 
          quatre pores génitaux ; il n'en présente en réalité que deux, situés 
          sur les plaques génitales postérieures, ce qui modifie sensiblement le 
          forme de son appareil apicial. L'Hem. Covazii de l'Eocène moyen 
          d'Istrie est dans le même cas. Il est probable qu'une grand partie, 
          sinon la totalité des Hemiaster eocènes, doivent rentrer dans 
          les Ditremaster. 
              
          " On voit que dans les Echinides que je viens de passer en revue, 
          lorsqu'un premier pore génital disparaît, c'est celui de la plaque 
          criblée proprement dite, et que, lorsqu'un second vient également à 
          manquer, c'est celui qui se trouve situé sur la plaque génitale 
          antérieure opposée (gauche). Il en résulte nécessairement que la 
          disposition symétrique des pores génitaux par rapport au plan général 
          d construction se rétablit. 
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          Ditremaster nux
          
          (Desor,1853)  | 
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    diagnose originale de l'espèce par Desor  | 
  
  
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    Synopsis des échinides 
    fossiles, p.374, 1853. | 
  
  
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          | 
               
          Nux Desor Act. Soc. helv. des Sc. nat. 1853. p. 278. - Oursin 
          presque sphérique, de la grosseur d'une noix ; ambulacres très 
          inégaux, les postérieurs presque rudimentaires ; les antérieures assez 
          profonds. Sommet ambulacraire légèrement excentrique en arrière. 
          Fasciole inconnu. 
               
          V. 70. (Type de l'espèce). 
               
          Terrain nummulitique du Sauerbrunnen près d'Yberg. (Canton de Schwytz). 
               
          Mus. Zurich.  | 
         
       
      
     
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          Ditremaster nux
          
          (Desor,1853) 
          
        - Eocène, 
          Alicante, Espagne, 35 mm  | 
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          Ditremaster 
          covazii
          
          (Taramelli,1874) 
          
        - Bartonien, 
          Aragon, Espagne, 20 mm  | 
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    diagnose originale de l'espèce par Taramelli  | 
  
  
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    Di alcuni Echinidi 
    eocenici dell'Istria, 1874, p. 969 | 
  
  
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           22. 
          Hemiaster Covazii, 
          Tar. Tav. III, f. 8 - 11. 
               
          E une elegantissima specie, rappresentata da numerosi esemplari, che 
          raccolsi al M. Canus di Pisino. Ha il contorno subpentagonale e le 
          dimensioni di un nocciuolo. Il solco frontale, largo e non molto 
          profondo, si continua sino al peristoma, semilunare, bilabiato. La 
          sommità ambulacrale è leggermente eccentrica all' indietro, gli 
          ambulacri posteriori sono meno della metà più piccoli degli anteriori 
          ed i pori sono ampli e non congiunti. L'ambulacro impari presenta 
          talora i pori obliterati da una granulazione più fitta, che sul 
          rimanente del guscio. Il fasciolo segue da vicino il contorno degli 
          ambulacri. Il periprotto è collocato nella faccia posteriore, presso 
          il vertice di un rigonfiamento determinato da due solchi laterali che 
          dipartono dagli ambulacri posteriori. 
               
          Dimensioni : lungh. mill. 15 ; largh. 12 ; alt. 11. 
               
          Dedico la specie all' egregio signor D. A. Covaz di Pisino, 
          appassionato cultore della geologia istriana. 
           | 
         
       
      
     
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        figuré, conservé 
        au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris 
     | 
  
  
    | 
        figuré in
    Reguant & al., 
    1970,
    Echinides 
    de l'Eocène moyen de la région de Vic (Barcelone), p.906 | 
  
  
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          Ditremaster 
          covazii
          
          (Taramelli,1874)  | 
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        Ditremaster pellati
          
          (Cotteau,1863)  | 
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    | 
     
    diagnose originale de l'espèce par Cotteau, 1863  | 
  
  
    | 
    Echinides fossiles des 
    Pyrénées, p.(117) | 
  
  
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          70. Hemiaster Pellati, 
          Coteau, 1863. PI. VI, fig. 7-9. 
               
          Espèce de taille moyenne , sub-cordiforme , globuleuse , un peu plus 
          longue que large. Face supérieure renflée, presque aussi haute en 
          avant qu'en arrière, arrondie et à peine échancrée dans la région 
          antérieure, verticalement tronquée sur la face anale; face inférieure 
          sub-convexe. Sommet ambulacraire à-peu-près central. Sillon antérieur 
          apparent vers le sommet, très-atténué, presque nul à l'ambitus et aux 
          approches du péristome. Ambulacres pairs inégaux , les antérieurs 
          médiocrement allongés, flexueux , les postérieurs remarquables par 
          leur petitesse. Tubercules très-variables , fins et serrés à la face 
          supérieure, formant, sur les aires inter-ambulacraires, des séries 
          obliques très-distinctes, plus gros, plus espacés en dessous , en 
          avant du péristome. Péristome étroit , demi-circulaire , assez 
          rapproché du bord , recouvert par une lèvre saillante. Périprocte 
          sub-elliptique , aigu à sa partie supérieure , s'ouvrant au sommet de 
          la face postérieure. Fasciole anguleux en avant, suivant le contour 
          des ambulacres. 
               
          Hauteur, 49 millimètres; diamètre transversal , 9.5 millimètres; 
          diamètre antéro-postérieur, 9.6 millimètres. 
              
          Rapports et différences. 
          — Nous nous sommes assuré que cette espèce munie d'un fasciole 
          péripétale, ne présentait aucune trace de fasciole latéro-anal ; elle 
          appartient donc bien certainement au genre Hemiaster et, ne 
          saurait être confondue avec l'Hem. verlicalis qu'on rencontre 
          dans les mêmes couches. Cette dernière espèce , indépendamment de son 
          double fasciole, sera toujours facilement reconnaissable à sa taille 
          constamment plus petite , à sa forme moins globuleuse , plus déprimée 
          en avant et plus élevée en arrière , à ses ambulacres plus longs et 
          plus étroits. Sa physionomie générale rappelle davantage, au premier 
          aspect, le Schizaster Leymeriei que nous décrivons plus loin ; 
          elle s'en distingue cependant facilement par sa face anale plus large 
          , moins élevée , moins saillante et dépourvue de cette carène qui 
          caractérise les Schizaster, , par ses ambulacres postérieurs 
          encore plus courts, et par l'absence de fasciole latéro-anal. 
              
          Localités. — Biarritz (rocher du Goulet); falaise du phare 
          Saint-Martin. Très-rare. Éocène, groupe nummulitique, couche à 
          Serpula spirulaea et couche à Eupatagus ornatus.— Coll. 
          Pellat , Delbos , Kcecklin-Schlumberger, ma collection. 
              
          Explication des figures.- 
          PI. VI, lig. 7, Hem. Pellati, vu de côté; fig. 8, face sup.; 
          tig. 9, face inf. 
          
          planche VI 
          (extrait) 
          
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        figuré, conservé 
        au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris 
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        figuré in
    de Loriol, 1880,
    
    Monographie des échinides contenus dans les couches nummulitiques de 
    l'Egypte, p.102 | 
  
  
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          Ditremaster pellati
          
          (Cotteau,1863) - Eocène, Amer, Girone, Espagne, 25 mm  | 
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          Ditremaster pellati
          
          (Cotteau,1863) - Eocène inférieur, Aspe, Alicante, Espagne, 22 
          mm  | 
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          Ditremaster 
          scillae
          
          (Wright,1855)  | 
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    | 
     
    diagnose originale de l'espèce par Wright  | 
  
  
    | 
    On fossil echinoderms 
    from the Island of Malta, 1855, p.97 | 
  
  
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          | 
           Hemiaster 
          Scillae, Wright, n. sp.  Pl. VII. fig. 1 a-f.      
          
          Syn. Spatangus 
          crassissimus, Desmoulins, Etudes sur les Echinides, p.394. no. 30. 
          Echinus, 
          Scilla, Corp. Mar. pl. 10. fig. 4. 
          Test globular, 
          higher behind than before ; ambulacral areas short ; single ambulacrum 
          the longest, forming a deep sulcus on the anterior border ; antero-laterals 
          wide, diverging at an angle àf 44° ; postero-laterals not half the 
          length of the anteriors, forming an angle of 56° ; both pairs form 
          sulci on the sides of the test : posterior border squarely truncated 
          downwards and outwards : the anus high near the dorsum : base convex : 
          mouth at the anterior third, with a large projecting under lip. 
          Dimensions. 
          - Antero-posterior diameter 1 9/20 
          inch, transverse diameter 1 7/20 
          inch, height 1 4/20 
          inch. 
          
          Description. - Much confusion has arisen as to the identity of 
          this Urchin, occasioned probably by the circumstance of Scilla having 
          figured only the base of the test, and reblected to give either its 
          profile or the dorsal surface. In M. Agassiz's 'Prodromus' it was 
          entered as Micraster Goldfussii, but has been omitted from 
          Agassiz and Desor's 'Catalogue raisonné'. M; Desmoulins identifies it 
          with the Spatangus crassissimus of Defrance, but on referring 
          to the original description * of that species, we find that Defrance's 
          species came from "la craie chloritée near Havre," and as no species 
          of Urchin known to us passed from the secondary to the tertiary epoch, 
          we must reject the hight authority of this most accurate naturalist, 
          and consider the Urchin berore us as distinct from S. crassissimus. 
          The test inclines to an oblong form (1 c) ; it is higher behind 
          than before, and declines more rapidly from the disc to the anterior 
          border than from the disc to the anus. The ambulacral areas lie in 
          deep depressions ; the single ambulacrum (1 e) is the longest, 
          and forms an inconsiderable anteal sulcus ; the antero-laterals are
          4/10ths 
          of an inch in length, and form an angle of 44° , the number of the 
          pores (1 f) in the zones is fifteen and twenty : the postero-laterals 
          are scarcely one-half the length of the antero-laterals ; they form an 
          anble of 56° ; the number of pores in them is respectively seven and 
          ten ; the peripetal fasciole is broad, but feebly marked, and closely 
          embraces the bases of the areas : four sulci (1 a), nearly 
          destitute of tubercles, mark the course of the ambulacra from the side 
          of the fasciole to the mouth : the lateral interambulacra are rather 
          inflated, and marked by five or six angular elevations (1 c) of 
          the test : the single interambulacrum is elevated on the dorsum (1 
          a), squarely truncated on the posterior border, and convex beneath 
          : the small oval anus is situated very high up, about 
          6/10ths 
          of an inch from the disc : the sternal portion of the interambulacrum 
          (1 b) is convex and prominent, and is covered with close-set 
          tubercles, arranged in lines, proceeding like radii from a central 
          point of the base : the mouth has a large projecting under-lip. The 
          upper part of the shell is covered with small close-set uncrenulate 
          tubercles (1 d), which are larger and irregularly disposed on 
          the front and base : the apical disc is small and nearly central : 
          there are only two genital holes at the apices of the lateral 
          ambulacra : the five eye-holes are very small. Whether one pair of 
          genital holes may be a generic character of Hemiaster, we have 
          not the means at present of determining, as most of our specimens of 
          this group have the disc concealed ; but about the beautifl H. 
          Scillae now before us there can be no question. 
             
           Affinities and differences. - The absence of the dorsal 
          carina and caudal process seve to distinguish H. Scillae from
          H. Cotteauii ; the latter is likewise a more globose and less 
          elegant form of Urchin, and has the truncature of the posterior border 
          downwards and forwards, whereas in H. Scillae the direction is 
          downwards and backward. 
              
          Locality and stratigraphical position. - Collected from No. 4, 
          the calcareous sandstone at Malta, from whence the original specimen 
          figured by Scilla was obtained : this reason will suffice for the name 
          we have given it. 
          * Dict. Sc. 
          Nat. tom. 50. p.96. 
          
          planche  VII 
          (extrait) 
          
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          Ditremaster 
          scillae
          
          (Wright,1855) 
          
        - Middle 
          Globigerina Limestone, Glata i Gajda, Pointe W de St Paul's Bay, 
          Malte, env. 45 mm  | 
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          Ditremaster 
          scillae
          
          (Wright,1855) 
          
        - Miocène, Dwejra 
          Point, Gozo, Malte, 28 mm  | 
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          Ditremaster 
          scillae
          
          (Wright,1855) 
          
        - Miocène, Gozo, 
          Malte, 46 mm  | 
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