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    Mellitidae 
      Stephanini, 1912, p. 749 
      
    Genre type : 
    Mellita L. Agassiz, 1841, p. 34 
    Description succinte de la famille : Appareil 
    apical monobasal avec 4 gonopores. ambulacres pairs disjoints sur la face 
    orale, ambulacre postérieur continu.
    Périprocte s'ouvrant sur bord interne 
    de la première paire de plaques post-basicoronale à la limite interne de la 
    lunule anale. Sillons 
    nourriciers bifurquant à la limite des plaques basicoronales et très 
    dichotomisés à leur extrémité. | 
   
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              |  |  Genre 
                     Mellita 
                  Agassiz, 
                  1841
                  Monographies 
                  d'échinodermes, deuxième livraison contenant les scutelles, 
                p.34  Espèce 
                  type  Echinodiscus 
                quinquesperforata 
                Leske, 1778, 
                (Mellita testudinata
                Klein,1853) 
                  par désignation subséquente de
                Pomel, 1883  
                
                classification méthodique et genera des échinides vivants 
                et fossiles, p.71  Extension 
                  stratigraphique (bibliographique, 
                  non vérifiée) : 
                  Pliocène - Actuel
                 |  |  | 
   
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    | diagnose 
    du genre par Agassiz | 
  
    | Monographies 
      d'échinodermes vivans et fossiles, des Scutelles, 1841, p.34 | 
   
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            DU GENRE MELLITA Klein 
            (Ag.) (*). 
            Ce genre tient en quelque 
            sorte le milieu entre les Rotules et les Encopes. Tandis que la 
            disposition des vacuoles le rapproche de ces derniers, sa forme 
            aplatie et l'absence d'un trou génital dans l'aire interambulacraire 
            impaire semblent au contraire le rattacher aux Rotules. Mais à côté 
            de ces affinités, les Mellites présentent plusieurs caractères qui 
            leur sont propres et qui justifient pleinement la coupe générique 
            que Klein déjà avait établie sous le nom de Mellita, et que je 
            propose de réintégrer, en en défalquant les espèces à deux entailles 
            que cet auteur confondait avec les véritables Mellites et dont j'ai 
            fait mon genre Lobophore. 
            Le genre Mellita, ainsi 
            circonscrit , comprend de grandes espèces très plates et de forme 
            subcirculaire, les diamètres longitudinal et transversal étant à peu 
            près égaux ; quelques espèces, tels que le M. pentapora et le
            M.  testudinata sont même plus larges que longues , comme 
            c'est aussi le cas de plusieurs espèces de véritables Scutelles. Les 
            lunules sont tantôt au nombre de cinq, tantôt au nombre de six, 
            suivant qu'il y en a une dans l'aire ambulacraire impaire ou non. 
            Les ambulacres pairs en sont toujours pourvus, ainsi que l'aire 
            interambulacraire impaire; la lunule de cette dernière est même pour 
            l'ordinaire la plus grande. Cette variation dans le nombre et la 
            forme des vacuoles constitue des caractères spécifiques dont il faut 
            tenir compte dans l'étude de chaque espèce. En général, les lunules 
            des Mellites sont allongées, grêles et presque toujours fermées, 
            tandis que celles des Encopes sont rondes , larges et souvent 
            ouvertes sur les bords. L'étoile ambulacraire est de moyenne 
            grandeur ; les pétales sont arrondis à leur extrémité. La rosette 
            apiciale présente une structure poreuse et finement granulaire. Les 
            pores oviducanx , au nombre de quatre , s'ouvrent à l'extrémité des 
            rayons du corps madréporiforme, au sommet des aires 
            interambulacraires. Les cinq trous ocellaires placés au sommet des 
            ambulacres, sont ordinairement trop petits pour pouvoir être aperçus 
            à l'oeil nu. La bouche est légèrement subcentrale ; elle est de 
            forme circulaire, mais les tubes des branchies qui font saillie sur 
            son pourtour lui donnent ordinairement une apparence ondulée. L'anus 
            est de forme ovale ou pyriforme, et d'autant plus rapproché de la 
            bouche que la lunule de l'aire interambulacraire impaire est plus 
            longue ; en général l'espace qui sépare l'ouverture buccale de 
            l'ouverture anale n'excède pas la longueur de cette dernière. 
            La face inférieure est aussi 
            accidentée que la face supérieure est uniforme. Les sillons 
            ambulacraires se ramifient de toute manière dans leur trajet du 
            centre à la périphérie ; les tubercules affectent également une 
            disposition très variée : ils sont ordinairement très développés sur 
            le milieu, tandis qu'ils sont beaucoup plus serrés et presque 
            microscopiques le long des sillons. Cette disposition des tubercules 
            se réfléchit nécessairement dans l'arrangement des piquans , en 
            sorte que les aires interambulacraires sont garnies de soies 
            beaucoup plus développées que les aires ambulacraires. Il existe en 
            outre une différence profonde, quant à la forme , entre les soies de 
            la face inférieure et celles de la face supérieure. Ces dernières 
            sont courtes et clavellées ; celles de la face inférieure au 
            contraire sont grêles et subulées. Une troisième espèce de soies , 
            de forme aplatie , entoure les lunules à la face supérieure ; ce 
            sont les plus grosses. |  | 
             La cavité intérieure 
            présente des particularités fort remarquables : du plancher 
            inférieur naissent, dans les aires interambulacraires, des piliers 
            plus ou moins développés, qui semblent destinés à supporter le 
            plancher supérieur. Leur forme n'a rien de régulier ; il y en a 
            ordinairement deux dans chaque aire , mais souvent aussi ils sont 
            soudés entre eux de manière à n'en former qu'un seul. Une membrane 
            est étendue autour de ces piliers et sépare ainsi la cavité buccale 
            de la cavité intestinale. Quoique les exemplaires dont je me suis 
            servi pour étudier les organes intérieurs ne fussent pas entièrement 
            frais , j'ai cependant pu y reconnaître la forme de l'intestin et le 
            poursuivre dans son trajet depuis la bouche jusqu'à l'anus. En 
            sortant de l'appareil masticatoire, l'intestin va s'attacher à la 
            rosette apiciale interne, passe par dessus la mâchoire antérieure 
            droite et de là se courbe à gauche ; d'abord très grêle , il se 
            dilate peu à peu et acquiert sa plus grande largeur vers le milieu 
            de son trajet. Après avoir parcouru le flanc gauche et envoyé des 
            processus dans toutes les cavités cellulaires , il arrive au bord 
            postérieur : ici les cloisons de la lunule de l'aire 
            interambulacraire impaire lui barrant le passage, il s'infléchit en 
            dedans, passe par dessus l'ouverture anale en traversant un canal 
            formé par les piliers de l'aire interambulacraire impaire, qui sont 
            adossés contre les cloisons de la lunule, et de là se dirige sur le 
            côté droit , remonte jusqu'à l'aire interambulacraire antérieure 
            droite , où il se replie sur lui-même pour regagner de nouveau le 
            bord postérieur et venir aboutir à l'ouverture anale (Voy. pour les 
            détails la fig. 6 de Tab. 3 , qui représente l'intérieur du 
            Mellita quinquefora, vu d'en haut). 
            L'appareil masticatoire est 
            composé de cinq mâchoires à charpente très grêle , mais garnies de 
            lames nombreuses et très allongées , surtout dans les mâchoires 
            postérieures. Les dents sont de petites lames aplaties, émaillées et 
            fixées verticalement dans le sillon de la face supérieure des 
            mâchoires; comme ces dernières ne sont pas très hautes , les dents 
            ne sont que légèrement inclinées de haut en bas. Chaque mâchoire 
            s'appuie sur une des cinq auricules qui entourent l'ouverture 
            buccale. 
            Je connais jusqu'ici cinq 
            espèces de Mellites , dont les unes habitent les côtes occidentales 
            d'Afrique, les autres les côtes orientales du centre de l'Amérique. 
            Celles qui ont conservé leurs teintes sont toutes vertes. (*) Ce mème 
            nom de Mellita a été donné plus tard à un genre d'insectes 
            hyménoptères. |  | 
   
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            Mellita tenuis 
            Clark,1940
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    | diagnose 
    originale de l'espèce par Clark, 1940 | 
  
    | A revision 
    of the keyhole urchins (Mellita), p.442 (8) | 
   
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            mellita quinquiesperforata 
            tenuis, new variety Plate 60, 
            Figure 2 ; Plate 61, figure 2      
            Description. - test notably light and thin, very nearly circular 
            but somewwhat norrower anteriorly and with slight reentering curves 
            at each end. The diameter along different axes ranges from 103 mm. 
            through III-5 to 109 mm. through I-3, but the usual measurement is 
            about 107 mm. Apex posterior to abactinal system, at or a little 
            posterior to center of test ; at that point the test is almost 10 
            mm. high. The slope from margin to apex is quite uniform and gradual 
            from all sides ; the pargin in III is barely 2 mm. thick and in 5 it 
            is just 1 mm. Genital pores 4. Petaloid area of moderate size, about 
            58 mm. long by 55 mm. wide ; unpaired petal (ocular pore to tip) 25 
            mm. long by 14 mm. wide, narrowed at tip and but little open there ; 
            petals II and IV 24 by 12 mm., narowly open, the inter-poriferous 
            areas quite straight ; petals I and V 30 by 15 mm., narrowed at tip 
            and scarcely open there. Lunules strikingly small and straight ; II 
            and IV 10 mm. long by 2.5 mm. wide, I and V 11 by 2.5 mm., and the 
            un paired lunule 18 by 3.5 mm., its posterior and 20 mm. from the 
            test margin. Periproct very long and narrow, 4.5 by 1.25 mm., its 
            anterior margin only 3.5 mm. from the posterior margin of the 
            peristome, which is small, rounded-pentagonal, only 3 mm. in 
            diameter ; the ambulacral knobs are small and inconspicuous. 
            Ambulacral furrows of oral surface well marked, but the intermediate 
            areas are rather narrow ; in II and IV these areas are 47 mm. long 
            but only 21 mm. in maximum width.      
            Primary spines of dorsal surface less than 1 mm. long, very slender 
            at base but swollen at the tip into a conspicuous ovoid head about 
            one-third the length of the entire spine. Surrounding the lunules 
            and around the margin of the test the primaries are elongated, 
            narrow, flattened, and blunt, but they are not widened at the tip, 
            rather they may be narrowed. On the oral surface the primaries are 
            slender and elongated and arranged so that they lie almost 
            horizontally and pointing in definite directions, as in the other 
            species of Mellita. No pedicellariae have been detected.      
            The color is uniformly brown ; orally the test is a brighter, more 
            yellowish, brown than on the upper surface.      
            Locality. - Northwest of lighthouse 2 miles outside of Sanibel 
            Island, Fla., from a sandbar in 3-4 feet of water ; W. J. Clench, 
            February 1929.      
            Holotype. - U.S.N.M. No. E.5656.      
            Notes. - There ar in the United States National Museum two 
            paratypes of this variety. The larger is from Tarpon Springs, Fla., 
            where it was collected b y Edwin J. Shadle. It is 98 by 102 mm. in 
            diameter and is a lighter and yellower brown than the holotype. The 
            other specimen, collected by Dr. W. H. Dall at Charlotte Harbor, 
            Fla., is almost circular, 55 mm. in diameter, and has the apex 
            unusually far back, just in front of the unpaired lunule. The color 
            is like the Tarpon Springs material. In the Museum of Comparative 
            Zoology collection are a number of specimens of this variety from 
            Sanibel Island, Fla., of which half a dozen are paratypes collected 
            with the holotype by Mr. Clench in February 1929. The smalledst is 
            only 44 mm. long and almost 44 mm. wide ; the test is very thin and 
            delicate, scarcely 3 mm. thick at the apex, which is very close to 
            the center of the test ; the color is a deep gray above, light brown 
            beneath, with many light   |  | greenish-blue lines and areas, 
            specially near the mouth. The larger specimens are like the holotype 
            in color and range from 74 to 104 mm. in length, with the width the 
            same or a millimetr more or less, except ont that is 99 mm. long ty 
            104 mm. wide. In all these specimens the apex of the test is at or 
            behind the center, and the lunules are uniformly small. Besides 
            these specimens the Museum of Comparative Zoology contains, also 
            from Sanibel Island, a bare but not bleached test 120 by 125 mm., a 
            water-worn test 78 by 81 mm., and a very young specimen only 19 mm. 
            in diameter in which the paired lunules are not yet closed in. There 
            are also five small specimens from an unknown locality of which the 
            largest is 71 by 68 mm., with the apex very evidently at the 
            anterior end of the unpaired lunule, while the other specimens, 
            48-57 mm. long -with width about the same), are rouded pentagonal, 
            more or less asymmetrical, and have the anterior margin notably 
            straight rather than curved. There are also 10 very young Mellitas, 
            23-36 mm. in diameter, dredged half a mile off the eastern en of 
            Sanibel Island in 1-2.5 fathoms by W. J. Clench oon April 6, 1933, 
            which are naturally to be considered the young of tenuis, 
            although of course in such immature specimens the varietal 
            characters are not conspicuous. But the posterior position of the 
            apex is a fairly distinctive feature. The Museum of Comparative 
            Zoology has also a paratype from Tarpon Springs, Fla., taken by 
            Edwin J. Shadle, 89-93 mm. in diameter, received from the United 
            States National Museum. Finally, it seems best to refer to this 
            variety three large specimens that Alexander Agassiz collected many 
            years ago at Captiva Key, Fla., near Sanibel Island. Theses 
            specimens range from 100 by 110 mm. to 129 by 129 mm. and are 
            notably thicker and solider than typical tenuis, and the apex 
            is evidently central or anterior. Such specimens prove that 
            tenuis is not a well-defined species yet. But typical examples 
            of this Mellita are so conpicuouly different from ordinary 
            quiquiesperforata that when the Tarpon Springs and Charlotte 
            Harbor specimens were first examined it seended quite clear that 
            they represented a well-marked species characteristic of the west 
            coast of Florida. The large series available of the common species 
            shows, however, that there are numerous connecting links, and the 
            conclusion was reluctantly reached that tenuis must be rated 
            as a variety merely. There are specimens at hand from the Carolina 
            coast that are so similar to those from Sanibel Island that they 
            cannot be distinguished by constant measurable characters. On the 
            other hand, there are the three large specimens from Captiva Key, 
            mentioned above, which are too much like ordinary 
            quiquiesperforata to justify specific separation. An interesting 
            point in the matter is that specimens from the coast of Texas and 
            western Louisiana are normal quinquiesperforata. 
            planches 60 et 
            61 (extraits) par Clark 
                       |  | 
   
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                Mellita 
                tenuis 
                Clark,1940 - 
                  Actuel, Gollfe du Mexique, Venice, W. Florida, 31 mm
               |  |  | 
   
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              |  |  Genre 
                     Encope 
                  Agassiz, 
                  1841
                  Monographies 
                  d'échinodermes, deuxième livraison contenant les scutelles  Espèce 
                  type  Encope grandis 
                  Agassiz, 1841, 
                  par désignation originale.
                  Monographies 
                  d'échinodermes, deuxième livraison contenant les scutelles, 
                  p.57  Extension 
                  stratigraphique (bibliographique, 
                  non vérifiée) : 
                  Miocène - Actuel
                  Syn.  
                   
                 
                   
                      
                      Moulinia Agassiz, 
                      1841, p.139.; espèce type : Scutella  cassidulina 
                       Desmoulins,1837 
                      ; synonyme subjectif plus récent  
                   
                      
                      Echinoglyphus Gray, 
                      1852, p.37.; espèce type : Scutella  emarginatus 
                       Leske,1778 
                      ; synonyme subjectif plus récent  
                   
                      
                      Ravenellia 
                      Lutken, 1864, 
                      p.168.; espèce type : Scutella  macrophora  
                      Ravenel,1843 
                      ; synonyme subjectif plus récent  
                   
                      
                      Macrophora 
                      Conrad, 1865, 
                      p.134.; espèce type : Scutella  macrophora  
                      Ravenel,1843 
                      ; synonyme subjectif plus récent  
                   |  |  | 
   
    |  | 
   
    | 
             | 
   
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    | 
      
      
        
          |  |  
                Encope 
                  grandis 
                  Agassiz   
                   ,1841 |  |  | 
   
    |  | 
   
    | diagnose originale 
        de l'espèce par Agassiz, 1841 | 
   
    |  
                Monographies 
                  d'échinodermes, deuxième livraison contenant les scutelles, 
                  p.57 | 
   
    |  | 
   
    | 
         
          | IX.
            Encope grandis Ag.Tab. 6.
      
            Cette espèce est construite sur le même plan que le E. 
            Valenciennesi , et quiconque ne verrait qu'une figure de la face 
            inférieure ou de la face supérieure , ne pourrait guère s'empêcher 
            de la prendre pour un jeune de cette espèce , attendu que le 
            principal caractère qui l'en distingue , consiste dans l'épaisseur 
            du bord, qui est plus considérable que dans aucune autre espèce du 
            genre (voyez les fig. 3, 4, 5 et 6 qui en représentent le profil). 
            L'étoile ambulacraire présente les mêmes proportions que dans les 
            espèces précédentes. Les pétales postérieurs sont sensiblement plus 
            longs que les antérieurs et légèrement fléchis de dehors en dedans. 
            Les entailles du pourtour sont peu profondes et largement ouvertes 
            ;• celles qui correspondent aux ambulacres postérieurs sont plus 
            grandes que celles qui correspondent aux antérieurs et notamment à 
            l'ambulacre impair. La lunule de l'aire interambulacraire impaire 
            est large et de forme ovale , ses bords sont très renflés et forment 
            une espèce de crête à la face supérieure. La face inférieure, 
            représentée dans la fig. 2, nous offre les mêmes détails de 
            structure que nous avons reconnus dans les espèces précédentes.      
            Les fig. 4 et 5 montrent l'intérieur du test vu de profil, 
            l'exemplaire étant coupé par le milieu, dans le sens longitudinal. 
            La cavité buccale occupe le centre ; elle est séparée de la cavité 
            intestinale par une cloison celluleuse qui n'est interrompue que 
            sur le devant pour donner passage à l'intestin ; une cloison 
            horizontale sépare également l'appareil ambulacraire des cavités 
            buccale et intestinale. J'ai indiqué par des lettres les différentes 
            cavités telles qu'elles se présentent dans les profils ci-dessus : t 
            est la cavité buccale ; o et p, sont des oreillettes;
            a, l'anus; n, la cavité occupée par la première anse 
            de l'intestin ; b , l'ouverture que traverse le canal 
            intestinal en passant du côté gauche au côté droit ; e, c,
            1, i, gh, d, trous conduisant sous les 
            ambulacres dans les cavités occupées par les tubes ambulacraires 
            lorsqu'ils sont rentrés ; m et g deux de ces cavités 
            ouvertes longitudinalement (m), et en travers (q); 
            k et f ouvertures conduisant dans la cavité des aires 
            interambulacraires. La fig. 6 est une section transversale du côté 
            droit , s est l'ouverture par laquelle le canal intestinal sort de 
            la cavité buccale pour  |  | s'engager dans les réseaux 
            calcaires de la périphérie du test; q est le canal qui 
            renferme l'anse externe et t celui qui renferme l'anse 
            interne du côté droit du canal intestinal. 
                 J'ai 
            représenté trois mâchoires par leurs différentes faces , afin de 
            donner une idée exacte de leur forme. Les fig. 7 , 8 et 9 les 
            montrent de profil , leS fig. 7', 8', 9' par la face inférieure et 
            les fig. 7", 8", 9" par la face supérieure. Les dents proprement 
            dites ont disparu. Elles étaient fixées dans le sillon qui est à la 
            face supérieure et qui correspond à la suture des deux osselets de 
            la mâchoire.      
            Cette espèce m'a été communiquée par M. Michelin ; elle provient 
            probablement des Antilles. 
            planche 6 
            (extrait) |  | 
   
    |  | 
   
    |  
        
          
             
              |  |  
                Encope 
                  grandis 
                  Agassiz   
                   ,1841 
                    - 
                  Miocène, Californie, 110 mm
               |  |  | 
   
    |  | 
   
    |  | 
   
    | 
             | 
   
    |  | 
   
    | 
      
      
        
          |  |  
                Encope 
                  angelensis 
                  Durham   
                   
          , 1950 |  |  | 
   
    |  | 
  
        | diagnose originale 
        de l'espèce par Durham, 1950 | 
  
        | 
        1940 E. W. Scripps 
        Cruise to the Gulf of California, part.II (1950) Megascopic Paleontology 
        and Marine Stratigraphy, p.43 | 
   
    | 
         
          | 
            Encope angelensis n. sp.(Plate 37, figure 15; Plate 42, figures 1, 3, 4, 10)
Test small 
            to medium in size, outline rounded, somewhat similar to E. 
            scrippsae n. sp.; margins thin, with three faint indentations 
            between ambulacral notches; central area of test raised, amount 
            variable on different specimens; petals elongated, extending one 
            third of distance to margins; on some specimens petals faintly 
            raised; ambulacral notches closed to form lunules, elongate oval, 
            fairly large; interambulacral lunule small, elongate, narrow, much 
            nearer to posterior margin than to a line connecting distal ends of 
            posterior petals; periproct slightly nearer to peristome than to 
            interambulacral lunule. 
              
              
                
                  | DIMENSIONS (in 
                  mm): | Length | Width | Height |  
                  | Holotype no. 14959 |  | 77.4 | 11.9 |  
                  | Paratype no. 14965 |  | 72.0 | 9.8 |  
                  |  |  | (estimated) |  |  
                  | Paratype no. 14962 | 47.2 | 50.1 | 7.3 |  Holotype no. 14959; 
            paratypes nos. 14965, 14962, and Calif. Acad. Sci. Paleon. Type 
            Coll. nos. 7846, 7847, all from loc. A 3590.  OCCURRENCE: locs. A 
            3588, A 3590.  RANGE: middle 
            Pliocene.  REMARKS: 
            This species may be distinguished from E. scrippsae n. sp. by its 
            shorter petals, narrower ambulacral lunules, smaller interambulacral 
            lunule, and the periproct being slightly nearer the peristome.
             |  | 
            planches 37 et 
            42 (extraits) 
              
              
                
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                Encope 
                  angelensis 
                  Durham   
                   
                , 1950- 
                  Miocène supérieur, Californie, 95 mm
               |  |  | 
   
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          |  |  
                Encope 
                  californica 
                  (Verril,1870) |  |  | 
   
    |  | 
  
        | description de 
        l'espèce par Verril, 1871 | 
   
    | 
    Notes on the Radiata of the Museum of Yale College, p.586 | 
   
    |  | 
   
    | 
         
          | 
            Encope Californica 
            Verrill.American Jour. Science, xlix, 
            p. 97, 1870.
 
            Plate X, figures 5 and 6.
 Test broad, thin at the edge, rounded anteriorly, broadest behind 
            the middle, sub-truncate or rounded posteriorly ; usually about as 
            broad as long, sometimes broader than long. Apex behind the center. 
            In profile the outline descends from the center to the anterior edge, 
            but rises from the center to the posterior foramen, from which It 
            descends rapidly to the edge. The posterior interambuhicrum is 
            therefore, swollen and the test is most elevated near its foramen. 
            Ambulacral rosette with the petals long-oval, somewhat obovate 
            broadly rounded outwardly; the anterior pair shortest and most 
            rounded ;  the odd anterior one somewhat longer and narrower 
            and a httle shorter than those of the posterior pair, which are of 
            about the same form and not curved. Posterior foramen variable in 
            form and size, usually rather small, regularly oval or rounded, 
            sometimes long oval, or even narrow and elongated, occasionally 
            quite large and broad oval, often obovate beneath, sometimes 
            constricted in the middle. Ambulacral foramina also quite variable 
            in form and size, but commonly small and rather regularly oval, 
            often at a considerable distance from the margin.
 Two specimens, showing the extreme variations, give the 
            following
 measurements :
 
      Of 
            this species there are 74 specimens in the collection from La Paz, 
            and I have seen others from Cape St. Lucas.It varies considerably in outline and in the form of 
            the openings, especially the posterior one ; the ambulacraf rosette 
            varies somewliat in the form of the petals, as shown by the above 
            measurements ; the ambulacral grooves beneath
 
 |  | also vary in direction. But 
            all the specimens agree in having their greatest elevation behind 
            the center, or the posterior interambulacral region swollen. This 
            peculiarity, which is found to depend upon a very different internal 
            structure, will readily separate this species from E. 
            occidentalis V. In the latter the greatest elevation is in front of the center, and there is a 
            regular slope from thence to the broad, thin, posterior edge, and 
            the sections show that the wide space between the central cavity and 
            the posterior foramen is filled with a pretty firm, alveolar tissue, 
            having comparatively small spaces, but in E. Califarnica the 
            same region is much less extensive (owing to the relatively larger 
            central cavity and jaws) and is filled with a much less firm and 
            more open tissue, with large cavities.
 The difference is therefore analogous to that which 
            separates E. Michelini from E. emarginata.
 
            planche X 
            (extrait) |  | 
   
    |  | 
   
    |  
        
          
             
              |  |  
                Encope 
                  californica 
                  (Verril,1870) 
                    - 
                  Miocène supérieur, Californie, 93 mm
               |  |  | 
   
    |  | 
   
    |  | 
   
    |  | 
   
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    | 
      
      
        
          |  |  
                Encope 
                  carmenensis 
                  Durham,1940 |  |  | 
   
    |  | 
  
        | diagnose originale 
        de l'espèce par Durham, 1950 | 
  
        | 
        1940 E. W. Scripps 
        Cruise to the Gulf of California, part.II (1950) Megascopic Paleontology 
        and Marine Stratigraphy, p.44 | 
   
    |  | 
   
    | 
         
          | Encope 
            carmenensis n. sp.(Plate 37, figure 5; Plate 40, figure 4, Plate 44, figure 1)
      
            Test large, fairly heavy, resembling E. micropora to which it 
            may be ancestral; ambulacral lunules closed, interambulacral lunule 
            elongate oval and moderately large; anterior end of interambulacral 
            unule nearer distal ends of posterior petals than to center of 
            abactinal system; test highest anteriorly, about midway between 
            abactinal system and margin; petals large, extending six sevenths of 
            the distance to ambulacral lunules; the central area of the 
            abactinal surface, nearly half the diameter of the test, is slightly 
            raised, beginning to take on the character of E. peruviana 
            Brighton (1926, p. 61–69) although not to such a marked extent; the 
            upper surface of the test between this raised area and the margin is 
            slightly concave; margins moderately thin.       
            Dimensions of holotype: length 117.8 mm, width 115.2 mm, thickness 
            13.6 mm.      
            Holotype no. 14896, paratype no. 14895, both from loc. A 3517.      
            OCCURRENCE: loc. A 3517.  |  | RANGE: upper Pliocene.      
            REMARKS: This species may be distinguished from E. micropora 
            and E. perspectiva by the central slightly raised area, the 
            concave upper surface extending out to the margin and the shorter 
            petals.  
            planches 37, 
            40, 
            44 (extraits) 
              
              
                
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                Encope 
                  carmenensis 
                  Durham,1940 
                    - 
                  Miocène, Californie, 85 mm
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    | 
         
          |  |   
            Encope 
              emarginata 
              (Leske,1778)
           |  |  | 
   
    |  | 
  
    | diagnose originale 
    de l'espèce par Leske, 1778 | 
  
    | Jacobi Theodori 
    Klein naturalis dispositio echinodermatum, edita et descriptionibus novisque 
    inventis et synonomis auctorem aucta. Addimenta ad I. T. Klein naturalem 
    dispositionem Echinodermatum, p.200 | 
   
    |  | 
   
    |  | 
   
    |  | 
   
    | description 
      de l'espèce par Agassiz | 
   
    | Monographies 
      d'échinodermes vivans et fossiles, des Scutelles, 1841, p.47 | 
   
    |  | 
   
    | 
         
          | I.  Encope 
              emarginata Agass. Tab. 10   
              Syn. Scutella emarginata 
              Lam. T. 3, p. 279, N°3. - E. Desl. Enc T, 2, p. 675, N° 3. - Encycl. 
              méth. pl. 150, f. 1, 2. - DeBl. Dict. sc. nat. T. 48, p. 224. - 
              DeBl. Zooph. p. 201. - Agass. Prodr. Echin. p. 188. - DesMoul. Tabl. 
              syn. p. 222, N° 5.  
                 
            Echinodiscus emarginatus Leske, N°53, p. 200, pl. 50 ; f. 5, 6.  
                 Echinus 
            emarginatus L. Gm. p. 3189.  
                 Grand 
            oursin de mer étoilé. Kl. Gall. suppl. du Cab. de Réaumur ; p. 
            231, 232, pl. 225, f. A. et pl. 26, f. B.  
                 
            Echinoglycus frondosus. Van Phelsum, p. 34.     
                 
            Quoique très rare dans les collections, cette espèce est cependant 
            connue depuis longtemps des naturalistes. Sa forme est 
            subcirculaire en avant et plus ou moins tronquée en arrière. Le 
            diamètre transversal et le diamètre longitudinal ont sensiblement 
            les mêmes dimensions. L'épaisseur égale à peu près le sixième de la 
            longueur (fig. 3). La surface 
            entière du test, lorsqu'elle 
            est dépourvue de ses-soies, présente une granulation très homogène, 
            surtout à la face supérieure. La face inférieure est plus variée ; 
            les tubercules y atteignent leur plus grand développement sur les 
            aires interarabulacraires, tandis qu'ils sont d'une finesse extrême 
            sur les aires ambulacraires. La fig. 6 représente quelques 
            tubercules spinifères des aires interambulacraires sous un 
            grossissement de.1.1/2 fois le diamètre et entourés de tubercules 
            miliaires qui occupent l'espace compris entre les aréoles des plus 
            grands.      
            J'ai indiqué, dans les fig.  1,  2 et 3 , les ouvertures du test par 
            des lettres , ayant trait au plan de position de l'animal. La lunule 
            de l'aire interambulacraire impaire (p) est 
            proportionnellement petite ; ses bords ne sont point renflés ; les 
            cinq ouvertures des aires ambulacraires ne sont pas non plus très 
            développées : celles des ambulacres postérieurs (.p d et p 
            s) sont habituellement fermées près du bord et plus grandes que 
            celles des ambulacres antérieurs (a, 1 d et 1 s); mais 
            comme il règne une très grande variété dans la forme et la grandeur 
            de ces ouvertures, on ne saurait guère les envisager comme des 
            caractères spécifiques. C'est ainsi que dans l'exemplaire figuré , 
            la lunule de l'ambulacre antérieur droit (1 d) est fermée , 
            tandis que celle du côté gauche (1 s) est ouverte. Dans 
            d'autres, les deux ouvertures du côté droit sont seules ouvertes, 
            dans d'autres encore toutes sont fermées. Il en est de même de la 
            lunule de l'ambulacre antérieur impair (a) : elle est très 
            ouverte dans l'exemplaire muré, tandis que dans la plupart des 
            autres exemplaires que j'ai sous les yeux, elle est fermée ; c'est 
            toujours la plus petite des ouvertures. L'étoile ambulacraire est 
            très élégante. Les pétales postérieurs sont les plus longs et en 
            même temps les plus étroits ; les antérieurs pairs sont courts , 
            larges et très arrondis à leur extrémité. Le pétale antérieur impair 
            enfin tient généralement le milieu entre les autres. L'espace 
            compris entre les zones porifères est sensiblement plus large que 
            ces zones elles-mêmes dans les ambulacres antérieurs ; dans les 
            ambulacres postérieurs en revanche , cette différence est moins 
            sensible; les zones porifères et l'espace intermédiaire sont à peu 
            près d'égale largeur. La figure 4 représente la moitié du pétale 
            antérieur grossi afin de faire voir la forme des sillons transverses 
            et la manière dont ils sont séparés par une rangée de tubercules. 
            Les pores ambulacraires se laissent encore poursuivre au delà de la 
            rosette ambulacraire. L'on remarque sur chacune des plaques du test 
            formant le prolongement des pétales, une paire de pores située 
            tantôt au milieu, tantôt au bord de la plaque; 
           |  | mais ils 
            sont souvent tellement petits, qu'on a de la peine à les reconnaître 
            à l'ail nu. La rosette apiciale présente une étoile pentagonale dont 
            les rayons s'avancent dans les aires interambulacraires , où ils se 
            terminent par les pores génitaux qui sont au nombre de cinq, comme 
            dans toutes les espèces du genre. Les trous ocellaires placés au 
            sommet des ambulacres , sont beaucoup plus petits que les trous 
            oviducaux , mais cependant très distincts , même à l'ail nu. La 
            surface de l'appareil oviducal ne présente point une structure 
            tuberculeuse comme le reste du test, et lorsqu'on l'examine à la 
            loupe , on la trouve composée d'un tissu spongieux, à la surface 
            duquel viennent aboutir une quantité de petits tubes. La face 
            inférieure est très élégamment accidentée par suite de la variété 
            des tubercules et de la ramification des sillons (fig. 2). La bouche 
            qui est un peu rejetée en avant , est petite proportionnellement à 
            la grandeur du test. On remarque sur son pourtour les cinq petits 
            tubes destinés à loger lés branchies buccales et dont les 
            extrémités, en forme de bourrelets, font saillie sur le pourtour de 
            la bouche (voyez la fig. 5 qui représente la bouche grossie). L'anus 
            , de forme subconique , occupe à peu prés le milieu de l'espace 
            entre le bord interne de la lunule interambulacraire et l'ouverture 
            buccale. Les sillons ambulacraires se ramifient d'une manière très 
            variée, et lorsqu'on vient à les examiner à la loupe , on trouve que 
            non seulement les rigoles principales, mais même les plus petits 
            canaux latéraux, sont parsemés de pores microscopiques. Il en 
            résulte que les tubes auxquels ces trous donnent passage, doivent 
            nécessairement être plus nombreux à la face inférieure qu'à la face 
            supérieure.       
            Les figures ci-jointes sont dessinées d'après l'exemplaire original 
            de Lamarck, le seul qui existe dans la collection de Paris; je n'en 
            connaissais pas d'autres, lorsque mon ami M. Stokes, de Londres, eut 
            l'obligeance de m'en communiquer toute une série, qui m'a servi à 
            compléter la description de cette espèce. Plusieurs de ces 
            exemplaires ont conservé une partie de leurs soies. Elles sont 
            petites et en apparence lisses. Mais lorsqu'on vient à les examiner 
            à la loupe , on trouve qu'elles sont toutes striées et hérissées 
            d'épines : celles de la face supérieure sont clavellées; celles de 
            la face inférieure sont cylindriques et subulées, à peu près comme 
            celles de l'Encope tetrapora (voyez Pl. 10 a). Les teintes de 
            la surface du test sont d'un brun-jaumitre ; mais cette couleur 
            passe au lilas sur les bords des lunules et du pourtour. L'habitat 
            de cette espèce n'est pas exactement connu ; elle paraît provenir 
            des Philippines.  Extrait 
              planche 10 d'après Agassiz |  | 
   
    |  | 
  
    | description de 
    l'espèce par Cooke, 1959 | 
  
    | Cenozoic 
    Echinoids from Eastern United States, p. 49 | 
   
    |  | 
   
    | 
         
          | Encope 
            emarginata (Leske)Plate 17, figure 5 ; plate 18, figure 1
 
            Echinodisous emarginatus Leske, 
            1778, Klein's Naturalis diapositio echinodermatum, p. 200, pl. 50, 
            flgs. 5, 6. 
            Encope emarginata (Leske). L. 
            Agassiz, 1841, Monographies d'échinodermes, Mon. 2, p. 47, pl. 10. 
            Encope emarginata
            (Leske). A. Agassiz, 1872, Harvard College Mus. Comp. Zoology 
            Mem., v. 3, p. 325, pl. 12, figs. 14-24 ; pl. 12b, figs. 1-3 ; pl. 
            12d, figs. 2, 3. 
            Encope emarginata (Leske). 
            Cooke, 1942, Jour. Paleontology, v. 16, no. 1, p. 
            20, pl. 3, flgs. 14, 15. 
            Encope emarginata 
            (Leske). Mortensen, 1948, Monograph of the Echinoidea, y. 4, pt. 2, 
            p. 438, pl. 62, fig. 2. Includes additional synonymy. 
                 Horizontal outline 
            elliptical, truncated behind; upper surface gently tumid, usually 
            higher in front than behind; lower surface flat; margin thin. 
            Posterior lunule long and rather wide. Five deep ambulacral notches, 
            which tend to become oval and to close at the outer end. Apical 
            system anterior; madreporite star shaped: 5 genital pores. Petals 
            broadly lanceolate, extending more than halfway to the margin; 
            poriferous zones wide, curved together at the outer ends but not 
            closed. Peristome below the apical system, circular, with five pairs 
            of buccal tubes. Food grooves diverging near the peristome and 
            curving together around the notches; several branches near the 
            margin. Periproct near the lunule. 
                 Occurrence.-Living 
            along the east toast of the Americas from Uruguay to Yucatan, 
            perhaps to South Caroline 
                 South Caroline : 
            Intracoastal Waterway canal near Little River in Horry County 1 to 
            1.5 miles southwest of the highway bridge on US 17 near Nixon's 
            Crossroads, about 15 miles northeast of Myrtle Beach (USGS 18759, L. 
            C. Glenn ; USGS 13377, C. W. Cooke ; USGS 13427, W. C. Mansfield and 
            F. S. MacNeil; S. F. Blake). Intracoastal Waterway canal 1 to 2 
            miles northeast of the Atlantic Coast Line bridge near Myrtle Beach 
            (USGS 18760, L. C. Glenn). 
                 North Caroline : Farm of 
            James Dawson 3 miles north of Grifton, Pitt County (USNM 166525, 
            Harvey Bassler). North shore of Lake Waccamaw, Columbia County, base 
            of upper bed (USGS 13379, F. S. MacNeil).      
            Florida : Tamiami Trail in Collier County 10.3 miles west of the 
            Dade County line (USGS 15224, 0. W. Cooke and G. G. Parker). Dredged 
            from Biscayne Bay at foot of N. E. 89th Street, Miami (USGS 13400, 
            G. M. Ponton). Big Pine Key, Monroe County, on railroad to Key West 
            (USGS 4954, Samuel San-tord ).      
            Geoiogic unit.-Late Miocene (?) to Recent.      
            Figured specimen.-USNM 562282, from USGS 18760, Pleistocene. |  | Remarks.-Most of the Recent specimens from off South America are 
            flat on top or slightly hlgher in front, but many from the Miocene 
            and Pleistocene of the United States, including the fignred 
            specimen, are higher behind. The open or closed notches distingnish 
            this species from the common Encope miche-liai of the Gulf of 
            Mexico, wbich usually has no notches. 
                 The 
            notches of the specimens attributed to the late Miocene are closed, 
            whereas those from the Pleistocene are usually open.     Extrait 
              planches 17 et 18 d'après Cooke |  | 
   
    |  | 
   
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          |  |  Encope 
              emarginata 
              (Leske,1778) 
               - Pliocène, Waccama formation, Caroline du Sud, 115 
              mm
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              |  |  Encope 
                  emarginata 
                  (Leske,1778) 
                    - 
                  Juvénile, Pliocène, Pinecrest formation, Californie, 35 
                  mm
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            Encope 
              micropora 
              Agassiz,1841 |  |  | 
   
    |  | 
   
    | diagnose 
      de l'espèce par Agassiz | 
   
    | Monographies 
      d'échinodermes vivans et fossiles, des Scutelles, 1841, p.50 | 
   
    |  | 
   
    | 
         
          | III. 
               Encope 
              micropora Agass. Tab. 
              10 a, fig. 4-8 et Tab. 19 a, fig. 7.      
              Très-voisine à bien des égards de l'E. emarginata, cette 
            espèce 
              n'en diffère que par quelques caractères en apparence peu importans, 
              mais qui n'en sont pas moins des caractères spécifiques, attendu 
              qu'on les retrouve invariablement dans tous les individus. Ces 
            caractères 
              sont : 1° la petitesse de la lunule de l'aire interambulacraire 
              impaire, que rappelle le nom micropora ; 2° lar largeur 
              considérable des pétales ambulacraires, qui s'arrondissent fortement 
              à  leur extrémité, sans cependant se fermet complètement. L'espace 
              compris entre les zones porifères de chaque pétale est notamment 
              plus large que ces zones elles-mêmes, surtout dans les pétales 
              antérieurs ; 3° la forme de la rosette apiciale, qui est moins 
              grande que dans l'E. emarginata. Les pores génitaux sont 
              aussi en général plus rapprochés, quoique placés à  l'extrémité 
              des rayons du corps madréporiforme. Ce dernier est d'un aspect 
              spongieux comme dans toutes les espèces d'Encopes (fig. 6). Les 
              trous ocellaires sont excessivement petits, mais cependant visibles 
              même à  l'oeil nu. L'épiderme, finement granulaire, présente, 
              sous un fort grossissement, les deux sortes de tubercules qu'on 
              retrouve dans presque toutes les Scutelles, les tubercules spinifères, 
              qui sont distinctement perforés et mamelonnés, et les tubercules 
              miliaires qui entourent ces derniers et sont très-nombreux (voy. 
              fig. 8). Dans les zones porifères des pétales ambulacraires, les 
              tubercules spinifères forment des séries transversales très-régulières, 
              séparées par les sillons transverses (voyez fig. 7). La face inférieure 
              ne présente rien de particulier : c'est la même disposition des 
              sillons et des tubercules que nous avons décrite dans l'espèce 
              précédente. L'ouverture buccale est petite et circulaire. L'anus 
              est pyriforme et |  |  allongé 
              dans le sens du diamètre longitudinal et le diamètre transversal 
              sont sensiblement égaux. Le bord postérieur est un peu plus 
            tronqué 
              dans les vieux exemplaires que dans les jeunes. La fig. 5 représente 
              le profil ; la plus grande épaisseur est vers le bord antérieur.   
                 La fig. 7 de Tab. 19 a représente la 
            cavité intérieure, telle que nous l'avons décrite à  l'article 
              du genre (voy. pag. 46). La différence spécifique de cette espèce 
              d'avec l'E. emarginata est encore confirmée par le trajet du canal 
              intestinal, dont les contours sont bien plus nombreux, notamment 
              sur le flanc droit.      
              Je possède plusieurs exemplaires de cette espèce, qui m'ont été 
            donnés par M. Stokes ; mais il n'en est aucun dont l'origine me 
              soit connue. Leur teinte paraît, à  l'état vivant, d'un 
              brun foncé, à  en juger d'après quelques traces qui en sont 
            conservées.  Extrait 
              planches 10a et 19a d'après Agassiz |  | 
   
    |  | 
   
    |  
        
          
             
              |  |  Encope 
                  micropora 
                  Agassiz,1841 
                    - 
                  Miocène, Californie, 104 mm
               |  |  | 
   
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    |  | 
   
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    | 
         
          |  |  
                Encope 
                  tamiamiensis 
                  Mansfield   
                   ,1932 |  |  | 
   
    |  | 
  
    | diagnose originale 
        de l'espèce par Mansfield, 1932 | 
  
    | Pliocene 
        Fossils from Limestone in Southern Florida, p.48 | 
   
    |  | 
   
    | 
         
          | Encope 
            macrophora tamiamiensis Mansfield, n. subsp.Plate 17, Figure 8
 
            In the report by Cooke and Mossom I referred this form 
            to Encope macrophora Ravenel, but I now believe, after more 
            study, that it represents a new subspecies of E. macrophora.
 
            
            E. macrophora tamiamiensis appears to be an 
            intermediate form between E. macrophora and E. grandis 
            (L. Agassiz). It differs from E. macrophora in having a 
            proportionately wider and thinner test, a concave instead of convex 
            posterior margin, and a much smaller interambulacral lunule. It 
            differs from E. grandis, a Recent species reported by A. 
            Agassiz  to occur in the Gulf of California, in having in 
            general a shallower anterior marginal notch and less incised lateral 
            marginal notches. The posterior margin on both forms is very similar 
            in the degree of convexity, indicating a close relationship.
 
            The test of the new subspecies is usually wider than 
            long, rather thin, but not having sharp edges. The region directly 
            in front of the lunule is the thickest part of the test. The lunule 
            is elliptical and is surrounded on its upper surface by a raised 
            border.
 
            Dimensions: Holotype (catalogue No. 371328, U. S. Nat. 
            Mus.), length, 84 millimeters; width, 87 millimeters; height, 11 
            millimeters; thickness of margins, about 6 millimeters.
 |  | 
                 Type 
            locality: Station 1/1177, Tamiami Trail, 5 miles east of Carnestown 
            and about 7 miles northeast of Everglades, Collier County. 
            Occurrence: Pliocene. Type locality (abundant), station 
            1/1180 (abundant), station 1/1178 (rare?). Small specimens that have 
            been referred to Encope macrophora, from the Pliocene 
            Caloosahatchee marl at Alligator Creek, Monroe County, Fla., appear 
            to be more closely related to the new subspecies than to E. 
            macrophora.
  
            Extrait planche 17 |  | 
   
    |  | 
  
    | description de 
        l'espèce par Cooke, 1959 | 
  
    | Cenozoic Echinoids 
        from Eastern United States, p.48 | 
   
    |  | 
   
    | 
         
          | Enoope 
            tamiamiensis Mansfield Plate 17, 
            figures 3, 4 
            Encope macrophora 
            tamiamiensis. Mansfield, 1932, U. 8. Geol. Survey Prof. Paper 170-D, 
            p. 48, pL 17, fig. 8. 
            Encope michelini 
            Agassiz. Berry, 1941, U. S. Natl. Mus. Proc. v. 90, no. 3113, pl. 
            65, fig. 4. 
            Encope tamiamiensis 
            Mansfield. Cooke, 1942, Jour. Paleontology, v. 16, no. 1, p. 20.      
            Horizontal outline subcircular, concavely truncated behind, with 
            four large lateral ambulacral notches and a weaker anterior notch, 
            and a rather small posterior lunule; upper surface nearly flat, 
            highest at the front end of the lunule; lower surface flat; margin 
            rather thin. Apical system slightly anterior, with a large central 
            star-shaped madreporite and five genital pores. The three anterior 
            petals lanceolate, extending about two-thirds of the radius, equal; 
            the posterior petals longer, curved around the lunule; poriferous 
            zones open, inner pores circular, outer pores elongated, pores 
            conjugate. Peristome slightly anterior, subcircular. Periproct near 
            the lunule, smaller than the peristome. Lunule oval. Food grooves 
            bifurcating near the peristome, branches slightly diverging, nearly 
            straight, obscure lateral branches near the outer ends.      
            Lengths of type and two figured specimens 89, 69, 54 mm; widths 
            87.5, 75, 55 mm; heights 13, 7, 7.8 mm.     
            Occurrence.-Florida Tamiami Trail 5 miles east of Carnestown 
            and about 7 miles northeast of Evergiadea, Collier County (type, 
            USGS 11177, C. W. Cooke, W. C. Mansfield, Stuart Mossom). Collier 
            County 16 to 22 miles aouth of Immokalee (figured specimens, USGS 
            13409 G. M. Ponton). Tamiami Trail 56 miles west of Miami (USGS 
            13410, G. M. Ponton). Tamiami Trail at Carnestown, 4 miles north of 
            Evergiades (USGS 11180, C. W. Cooke, W. C. Mansfield, Stuart Mossom). 
            Pit east of road to Immokalee, 6 miles north of Tamiami Trail (USGS 
            15050, C. W. Cooke and T. P. Kirby). East aide of State road 164, 
            9.5 miles north of intersection with US 94  |  | 
             (Tamiami Trail) (USGS 
            15223, C. W. Cooke and G. G. Parker). Five miles west of 
            intersection of Tamiami Trail and west end of road to Pinecrest (USGS 
            14187, W. C. Mansfield and P. S. MacNell).     
            Geologic unit.-Late Miocene, Tamiami formation.     
            Type.-USNM 371328 from USGS 11177. Figured specimens USNM 
            582284, from USGS 13409.     
            Comparisons.-Encope tarniamtensis has variable 
            proportions but it is usually shorter and vider than either E. 
            grandis or E. macrophora. It differs from both also in 
            the much smaller lunule. Its anterior paired petals are more broadly 
            lanceolate than those E. macrophora and do not extend in a straight 
            line but form an angle of approximately 154°.  
            Extrait planche 17 |  | 
   
    |  | 
  
    | Holotype, conservé 
        au Smithsonian National Museum of Natural History | 
  
    | figuré in
        Mansfield, 1932, 
        Pliocene 
        Fossils from Limestone in Southern Florida, p.48 | 
   
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          | Catalog Number: | USNM MO 371328 |  
          | Collection Name: | Echinodermata Echinoidea Type |  
          | Scientific Name (As Filed): | Encope macrophora var. 
          tamiamiensis Mansfield |  
          | Type Status: | Holotype |  
          | EZID: | http://n2t.net/ark:/65665/3ea101a26-2732-4d45-8a7a-b2790d992e86 |  | 
   
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              |  |  
                Encope 
                  tamiamiensis 
                  Mansfield   
                   ,1932 
                    - 
                  Pliocène, Californie, 88 mm
               |  |  | 
   
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              |  |  Encope 
                  tamiamiensis 
                  Mansfield   
                   ,1932 
                    
                - Pliocène, Californie, 58 & 54 mm,  
                spécimens 
                pathologiques
               |  |  | 
   
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    | 
      
          
             
              |  |  Genre 
                     Leodia
                Gray, 
                1851 
                New genera and species of Scutellidae and Echinolampidae, 
                p.36  Espèce 
                  type  Leodia richardsoni
                Gray, 1851, 
                  par désignation originale.
                 
                ibid.  Extension 
                  stratigraphique (bibliographique, 
                  non vérifiée) : 
                  Pliocène - Actuel
                 |  |  | 
   
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            Leodia caroliniana 
            (Ravenel,1841) 
            devrait être mis en 
            synonymie avec Mellita caroliniana 
            see
            Kier (1972), p.12 |  |  | 
   
    |  | 
  
    | diagnose originale 
        de l'espèce par Ravenel, 1841 | 
  
    | Description of two 
        new species of Scutella from South Carolina, p. | 
   
    |  | 
   
    | 
         
          |     
            Scutella 
            Caronilinana. Specifig character : Nearly round ; slightly 
            convex above ; posterior margin truncated ; ambulacra short, 
            elliptical, the two posterior slightly curved and nearly a third 
            longer than the others ; in a line with each there is an oblong 
            perforation extending almost to the margin ; between the two 
            posterior ambulacra there is another perforation, longer than the 
            others, and more central, at the extremity of which, beneath, near 
            the mouth, is the vent. Mouth central ; diameter about six inches. |  | 
            fig. in text |  | 
   
    |  | 
  
    | description de 
        l'espèce par Cooke, 1959 | 
  
    | Cenozoic Echinoids 
        from Eastern United States, p.47 | 
   
    |  | 
   
    |  | 
   
    | 
         
          | 
            Leodia caroliniana (Ravenel) 
            Plate 19, figures 1-3 
            Scutella caroliniana Ravenel, 1841, Acad. 
            Nat. Sci. Philadelphie Jour., ser. 1, v. 8, p. 333, text fig. Mellita 
            caroliniana (Ravenel). Ravenel, 1848, 
            Echinidae, Re-cent and fossil, of South Caroline, p. 4. 
            Mellita caroliniana (Ravenel). Tuomey and 
            Holmes, 1857, Pleiocene fossile of South Caroline, p. 8, pl. 1, 
            fige. 4, 4a-b. 
            Mellita caroliniana (Ravenel). Clark and 
            Twitchell, 1915, U. S. Geol. Survey Mon. 54, p. 204, pl. 91, figs. 
            la-b ; pl. 92, figs. la-b. 
            Leodia caroliniana (Ravenel). Cooke, 1942, 
            Jour. Paleontology, v. 16, no. 1, p. 23. 
                 The following 
            description is based on Tuomey and Holmes' figures, which appear to 
            be accurate : Horizontal outline subcircular or subtrigonal, 
            slightly wider behind; upper surface nearly flat; lower surface 
            flat. Apical system central with a large star-shaped madreporite 
            and four ( ?) genital pores. Petals nearly equal in length, 
            lanceolate, extending more than halfway to the margin. One small 
            lunule in each ambulacrum between the petals and the margin, a sixth 
            much larger lunule in the posterior interambulacrum. Peristome 
            central, circular, small, Periproct small, pear shaped, midway 
            between the peristome and the posterior lunule. Food grooves forking 
            near the peristome and having several lateral branches. 
            Length about 53 mm; width about 55 mm ; height 
            about 5 mm. Tuomey and Holmes report fragments twice as large. |  |   
            
            Occurrence.-South Carolina : The Grove 
            Plantation, Cooper River 5 miles northwest of Wando ; Goose Creek ; 
            Wadmalaw River (fide Tuomey and Holmes). 
            
            Geologic unit.- Late Miocene. 
            
            Type.-Unknown, possibly Charleston (S. C.) 
            Museum. 
            
            Remarks.-This species has proportionately 
            longer petals than Leodia sexiesperforata, and its food 
            grooves form a different pattern, diverging nearer the peristome. 
            
            A Leodia measuring 113 mm in diameter 
            probably representing Leodia earoliniana was obtained by Dr. J. 
            McGonigle from the Miami oolite of Pleistocene age at a golf course 
            near Miami, Rla. (USGS 4867, T. W. Vaughan). Another larger 
            specimen, 127 mm in diameter, from the Yorktown formation of Miocene 
            age at Days Point, James River, west of the month of Pagan Creek 
            about 4 miles north of Smithfield, Va. (USGS 16920, G. C. Barclay) 
            is too heavily coated with hard matrix to be identilied with 
            certainty.  
            Extrait planche 19 |  | 
   
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          |  | PERDU |  | 
   
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                Leodia caroliniana 
                (Ravenel,1841) - 
                  Pliocène inférieur, base fm Wacamaw, Shalotte, Cté de 
                Brunswick, Caroline du nord, U.S.A., 54 mm |  |  | 
   
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